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lirik lagu mayas – pyrorca

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de quoi on parle ?
des plumes des oies
c’est tout ce qu’il y a ?

maya…

c’est les quoi ?
c’est les quoi ?
c’est les quoi ?
c’est les quoi ?

j’te parle d’un truc pas trés récent
ça date au moins d’il y a plus d’mille ans
à l’époque des humains sauvages
bruler ravager des villages
kidnappant tout les hommes vaillants
laissant leurs femmes et leurs enfants
pleurer souffrir de ce ravage
c’était méchant c’était l’carnage

alors ils marchent vraiment longtemps
à l’heure d’une canicule brulant
aaah tout ces innocents
lachant l’courage de vivre
plus longtemps

arrivant dans la cité
voyant tout ces gens détraqués
la peur commenca à régner
dans leur entrailles de brave guerriers
des travailleurs, des m-ssacreurs
le genre de chose qu’on trouve a l’heure
d’aujourd’hui dans notre société
pourtant qualifié de civilisé

c’etait pas le moment de pleurer
la suite va pas reconforter
leur doux espoir de s’liberer
leur sort était déja tracé
les femmes vendu comme des truie
leur vie est la meme qu’aujourd’hui
pas de site de rencontre gratuit
tu t’fais acheter, tu t’fais violer ta vie

marchant le long du couloir
de la mort peinte au feutre noir
sur les murs était leur futur
c’est plus la peine de jouer les durs

ta civi t’a ratrapé
ça tue pour la prospérité
d’un dieu qui a d’ja deserté
devant tout ces desespérés

matte le ciel une derniere fois
attend l’miracle perd pas la foi
ton heure n’est pas celle que tu crois
p’t-t maya tsu ha

aaaah ! c’est pas finis
ça détruit sa propre civi

on va faire un pet-t jeu
une seule partie un seul enjeu
la règle est simple tu cours tu fuis
te retourne pas tu joues ta vie

là bas se trouve ta liberté
celle qu’ta vécu dans ta forêt
dans laquelle on t’as délogé
pour te migrer dans la cité

t’as ch-ssé toute ta vie
maintenant c’est toi l’gibier qui fuit
le corps s’déhanche, les jambes qui flanche
cours vite t’as du pain sur la planche

des lanciers, des archers
un -rs-nal inégalé
leurs arcs s’décochent, ta gorge se sèche
tu n’entends plus qu’le bruit d’la flèche

j’te parle pas de leur précision
à force de tuer par collection
une balistique venue d’ailleurs
s’est développé tel un sniper

ton pote est mort c’était son heure
ne commet pas la meme erreur
slalome vite dans cette pluie mortel
au libre arbitre accidentel

ouh

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