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lirik lagu les criquets, ces thérapeutes – sawyer compton

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de sérieuses histoires ici se suspendent aux bouches des serveuses
des bas*résilles en dentelle aux yeux des merdeux
des garettes*ci fumées en deux*deux
des pères tis*par paraît*il (et ils reviendront pas)

ethanol, protoxyde d’azote et gélules ou alors kétamine succèdent aux drogues douces
un glock est dans la bouche de mon adolescence et mon adolescence est la douille d’où une balle de revolver arrive
qu’importe où sont mes bougs : aussi peu qu’j’en connais, j’ai pas manqué d’amis

d’anciens potos pensent encore l’être
c’des connaissances comme les voisins que j’croise mais sans dire ” bonjour ”
à la fenêtre, y’a ce mec en chemise dans une chevrolet corvette
les pompes cirées, lourdes sur l’accélérateur
une mauvaise conduite et c’est l’coccyx, les rotules
qui sont dégommées sous l’poids*zer des moteurs
qui traversent le d’vant de l’habitacle (aïe)
espérons qu’on ‘seille lui serve dans son siège roulant
quand les camés ont les naseaux secs
les dealers encaissent le blé, les scrupules peut*être pour les plus amateurs
j’suis pas bourré d’puces, un mois d’versé et m’en reste encore alors merci dieu
même si les nuits sentent encore la moiteur et qu’eux réduisent à moins qu’ça nos objectifs
j’demande juste à mi*dor à mes insomnies mais ces salopes m’emmerdent
elles connaissent l’odeur du justin bridou et celle du pain perdu dans le salon d’grand*mère

des seringues ou des bonbonnes dans l’corps comme des chansons sans refrain
j’étais gamin comme un fantôme, à l’adolescence absent en classe
pas d’flingue ou de bonnes notes en cours, m’connaissant j’rappe ça encore
alors à la leur ! quand j’croise un mec ivre, j’trinque avec mais j’souhaite pas la santé
car j’sais qu’il a autant d’chance que jacques mesrine de voir au dessus d’la barre des cinquante piges
le foyer m’pourri à l’intérieur mais c’est toujours mieux qu’être chez les darons même si les verres d’alcool ont remplacés le perrier
j’devrais en consommer moins car ça m’aide pas
trois quarts d’un litre de vin, c’est d’la merde en témoignent les croutes sur mes mains
mais si mon égo m’surmenage encore, sur ma mère que j’bois des choppes jusqu’au malaise
un gosse tombe du manège, un jeune homme se relève dans une faune virulente
que des mots crus sur les miennes, pas de baume sur mes lèvres
j’trouve les fins d’soirées laides et retours à pattes apaisants
j’m’arrête sur le terrain vague d’un paysan et l’calme et mon thérapeute

des seringues ou des bonbonnes dans l’corps comme des chansons sans refrain
j’étais gamin comme un fantôme, à l’adolescence absent en classe
pas d’flingue ou de bonnes notes en cours, m’connaissant j’rappe ça encore

de sérieuses histoires ici, se suspendent aux bouches des serveuses
des bas*résilles en dentelle aux yeux des merdeux
des garettes*ci fumées en deux*deux
des pères tis*par paraît*il (et ils reviendront pas)

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