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kaon - falcko lyrics

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[paroles de “kaon”]

[intro]
eh

[couplet 1]
moi, c’que l’temps m’a appris, souffrir ensemble, ça fait s’aimer
qu’la trahison, ça fait si mal, qu’même dans tes rêves, ça fait saigner
on reconnaît le vrai quand tout s’écroule, j’me dis qu’c’est cool, un peu d’soleil
en vérité, j’attends qu’la pluie, j’m’en bats les couilles
partir sur les côtes, on regardait les autres
parfois le ciel pleurait tellement que j’croyais qu’il était des nôtres
on se prêtait nos douleurs pour faire comme si c’était peu
parfois j’encaissais tellement que j’faisais comme si j’étais deux
j’ai vu des fils qui côtoient que le banc
j’ai vu des mères vieillir deux fois plus vite que le temps
on a passé nos vies dehors comme si on était sans maison
alors on avance sans saison, certains veulent se fumer sans raison
les nuits sont longues comme la liste des promesses qu’on ne tient pas
et si tu crois que tu comptes un peu, tu peux partir, on te retient pas
petit, tu donnes, en grandissant tu finis par prêter
et tu te rends compte que l’amour, c’est que du bluff bien marketé

[refrain]
j’cherchais la chance, je l’ai jamais vue
j’ai écrit des regrets sur des pages que personne n’a jamais lues
j’esquissais des faux sourires que ma mère n’a jamais crus
et des “je t’aime” dans ma tête que mon père n’a jamais su
j’cherchais la chance, je l’ai jamais vue
j’ai écrit des regrets sur des pages que personne n’a jamais lues
j’esquissais des faux sourires que ma mère n’a jamais crus
et des “je t’aime” dans ma tête que mon père n’a jamais su
[couplet 2]
j’comprenais pas mes rents*pa
moi, j’voulais pas ramper ni mettre les p’tits dans des grands plats
j’passais des jours à faire semblant, j’passais mes nuits sur des bancs froids
à pas rentrer, j’ai vite compris qu’tu fais le bien, on te le rend pas
petit, on disait “stop” dès qu’un regard était fâché
vingt ans plus tard, on te fout dans l’coffre, tu finis en pièces détachées
négociation, fusil à pompe, reste courtois
la loyauté, c’est un ami qui te suit sans demandé “pourquoi ?”
tous les jours sur des plavons, ces p’tits pédés y jouent les gravons
tu penses avec ta tête quand t’as le cœur en mode avion
t’es parti, jamais pris et même si t’es pas con
quand y a d’l’ego, y a toujours des putains d’pardon jamais dits

[pré*refrain]
j’cherchais la chance, je l’ai jamais vue
j’ai écrit des regrets sur des pages que personne n’a jamais lues
j’esquissais des faux sourires que ma mère n’a jamais crus
et des “je t’aime” dans ma tête que mon père n’a jamais su

[refrain]
j’cherchais la chance, je l’ai jamais vue
j’ai écrit des regrets sur des pages que personne n’a jamais lues
j’esquissais des faux sourires que ma mère n’a jamais crus
et des “je t’aime” dans ma tête que mon père n’a jamais su
j’cherchais la chance, je l’ai jamais vue
j’ai écrit des regrets sur des pages que personne n’a jamais lues
j’esquissais des faux sourires que ma mère n’a jamais crus
et des “je t’aime” dans ma tête que mon père n’a jamais su

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