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ronaldo - tibadj lyrics

[paroles de “ronaldo”]

[intro]
quand tu découvres qu’un mec se sent nu dès qu’on lui retire sa femme, sers*toi d’elle. profites*en, prends*la, taquine*la, menace*la et il sera plus capable d’avoir la tête vraiment au geôle

[couplet 1]
ils débattent sur le prix du jean, c’est plus de deux balles, ma tre*mon, dix kilos d’beuh
ramène tes dix pièces, on liquide, on t’éteint les phares, j’ai toujours un pied d’dans
en 2000, l’époque dеs billes, on faisait la pure, détournait des billеts d’banque
tu bombais, tu faisais le dur, j’t’envoie dans le mur, t’es parti les pieds d’vant
j’me gare partout comme le maire, on a fait la dure à l’ancienne comme ruthless boys
de la guerre, le biff, c’est le nerf, j’suis dans tous les culs, en lumière comme le s*xtoy
et pour les hypo’, j’ai le fer, on tient plus les murs, 9nm sous l’intestin
au studio, fais couler la sueur, ils voient que le biff, on fait preuve de modestie

[pré*refrain]
on traîne en meute comme les loups, on fructifie comme l’élite
on te cloue le bec si tu l’ouvres, j’sais lire dans ton iris, j’vois entre les lignes
j’ai toujours un fer à la taille si tu pousses, pour te faire, j’suis patient, j’attendrai la nuit
c’est cardio, faut suivre, c’est normal si tu tousses, des années déjà qu’on ne tient plus les murs

[refrain]
j’suis toujours en machine comme ronaldo (j’suis toujours en machine comme ronaldo)
envoyer les ballons, tu m’as vu faire (envoyer les ballons, tu m’as vu faire)
en perso, j’ai tout pris comme rivaldo (en perso, j’ai tout pris comme rivaldo)
enchaîner le studio, compter du vert (enchaîner le studio, compter du vert)
j’suis toujours en machine comme ronaldo (j’suis toujours en machine comme ronaldo)
envoyer les ballons, tu m’as vu faire (envoyer les ballons, tu m’as vu faire)
en perso, j’ai tout pris comme rivaldo (en perso, j’ai tout pris comme rivaldo)
enchaîner le studio, compter du vert (enchaîner le studio, compter du vert)
[couplet 2]
tu sais que je vise dans l’mille, une erreur pour qu’on t’immole
n’ont toujours pas quitté l’nid, sincérité n’a qu’un œil
j’connais trop l’humain, j’connais bien leurs vices, t’es rodave, pourquoi tu nies ?
j’me suis fait tout seul, j’s’rai jamais leur fils, j’baise l’industrie, les marginaux
ils jalousent du buzz, ils envient nos vies, sont très loin d’imaginer
bats les couilles des streams, font des insomnies, je trinque à la mienne, j’en mets dans un verre
trop d’suceurs de bites, trop de calomnies mais tu connais, chacun son heure
en trois jours, dépense un salaire annuel, ils buguent sur nos poches et c’qu’on incinère

[refrain]
j’suis toujours en machine comme ronaldo (j’suis toujours en machine comme ronaldo)
envoyer les ballons, tu m’as vu faire (envoyer les ballons, tu m’as vu faire)
en perso, j’ai tout pris comme rivaldo (en perso, j’ai tout pris comme rivaldo)
enchaîner le studio, compter du vert (enchaîner le studio, compter du vert)
j’suis toujours en machine comme ronaldo (j’suis toujours en machine comme ronaldo)
envoyer les ballons, tu m’as vu faire (envoyer les ballons, tu m’as vu faire)
en perso, j’ai tout pris comme rivaldo (en perso, j’ai tout pris comme rivaldo)
enchaîner le studio, compter du vert (enchaîner le studio, compter du vert)
[outro]
c’est bien, c’est mieux. tu l’aimes ce cheval, n’est*ce pas ? tu aimes le voir faire des bonds un peu partout ? tu crois qu’c’est ton ami ? tu devrais surtout pas l’perdre, tu y tiens presque autant qu’à ta reine. mais tu dois utiliser ce pion comme tu utilises tous les autres. si jamais il t’en mange un, et ben, c’est la vie et pour rien. et si tu n’acceptes pas de jouer son jeu, tu n’le battras jamais

- tibadj lyrics

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