freestyle étoiles montantes - vink (fra) lyrics
[parlé]
[…]
[intro]
c’est encore vinka
[parlé]
pour underground, étoile montante, j’ai d’jà oublié
il va rapper dans ta teu*cha
hey, hey, hey
[couplet]
et c’est encore ce flow qui vient te prendre par la fif
c’est c’t’allumé d’allumette débrayé qui met des gifles
poser toujours, quand j’vais poser, j’suis confiant d’mon track
j’suis sous pack, encore ce flow qui vient déposer des claques
j’vois des goat partout depuis qu’les normies le disent
la plupart sont bancals, c’est des goat dе pise
tous les jours des nouvеaux trailers et des nouveaux teasers
jusqu’à qu’la cancel culture en ait un dans l’viseur
ça va encore tomber, ça va encore drop demain
l’album sera flop, mais il f’ra assez de gains
petite controverse et promo radio*télé, t’enchaînes
vendre à balle de merch et t’inquiète, on r’fait l’année prochaine
art et industrie c’est pas compatible à la base
j’veux faire plus de musique, y veulent qu’on fasse plus de marge
le talent d’un humain ça s’convertit pas en nombre
moins une question d’son qu’une question de gens qu’tu rencontres
j’vais pas t’raconter des fables et te conter des contes
à combien t’estimes le temps qu’il reste sur ta montre ?
si t’as pas répondu “inestimable”, tu te trompes
le temps c’est des sous mais tu peux pas racheter les secondes
hein ? ça fait quoi d’être le meilleur ?
ça fait rien d’être le meilleur si personne n’est au courant, putain
on s’observe qu’à travers les regards des gens autour
c’est comme : “j’vais voir le médecin, j’étais bien
maintenant j’resors mourant”, putain dur !
moi j’suis un gamin sage
le jour j’noircis des pages et la nuit j’me fais plus d’un pur
solo tranquille dans mon coin
j’suis pas dans les drama fous
mais j’ai pris la grosse tête comme si on parlait d’moi partout
c’est moi l’best et je le pense
tous mes couplets traumatisent
je porte un verre à mes lèvres
et c’est un honneur pour la tease
j’suis un cadeau pour la france
et c’est pas d’l’arrogance
j’suis un soleil pour le rap donc
j’appelle ça d’héliocentrisme
bande d’ignares, j’vous apprends des mots
j’ai jamais vu d’compétiteurs qui n’avaient pas d’égo
t’as bossé pendant des années, tu sors toujours pas des bombes
les mots sont venus du cœur et c’était quand même pas les bons
pauvre noobar, pauvre tache, va t’cacher
tu peux t’acheter un corps mais pour l’esprit y’a pas d’cash
écouter vos rappeurs c’est corriger un taf bâclé
j’ai— j’ai pas les mots, y’a que d’la rage dans ma trachée
yeah yeah yeah
[outro]
c’est encore vinka
[parlé]
mon nom c’est vink bande de fils de putes
il va rapper dans ta teu*cha
[parlé]
c’est juste pour la vanne…
[…]
[intro]
hey, wo wo
yeah yeah yeah, yeah yeah
[couplet]
mon pessimisme n’remet pas en question mon aisance
j’vais pas vivre vieux, mais si j’arrive vous n’avez pas de chance
coup du sort, qui s’abat encore, je prend, c’est mon essence
j’suis prêt pour la fin du monde depuis avant ma naissance
j’suis pas pieux, si c’est à dieu qu’on doit rendre nos corps
j’vais l’défoncer avant d’monter pour qu’il m’déteste plus fort
lui et moi c’est pas la joie, on s’ra jamais bro
prendre soin de quoi ? j’suis déjà mort donc ça s’ra jamais trop
empêche moi de faire des folies si tu veux m’garder plus longtemps
bébé j’crois pas que j’puisse t’aider, je dois assumer mon plan
et c’est dur, tellement dur, tellement d’choses dont j’peux pas parler
vue sur la zone indus’, on aurait p’t’être pas dû s’rappeler !
bordel dans ma teu*té, pas d'”à peu près”, je fais qu’du concret
ma cervelle j’fais sauter, mais c’est comme ça qu’j’suis concentré
tu pars en un demi, j’en ai pris deux et j’te carry
j’suis fait pour cette de*mer, j’crois bien qu’suis né pour m’foutre en l’air
j’accepte les faits, gros
j’attends plus l’été, gros
j’ressens plus l’effet pourtant
j’reprends d’la md
j’ferme les yeux j’vois les tiens
putain qu’est*ce qu’ils puent l’amour
tu sais rien, tu m’regardes
comme si tu m’avais percé à jour
j’sais qu’tu me veux près de toi, dans ce pieu, tous les soirs
mais si on avait c’qu’on veut, y’aurait déjà plus d’espoir
combien d’matins j’dois m’écrouler avant même d’être debout ?
j’ouvre les yeux, t’es pas là sur l’côté, ton absence me dégoûte
c’est ce v.i., ce miel, un poète bourré dans un treillis
j’adore la france mais si j’fais c’biff je quitte le pays
manu a déjà fini l’jeu, il collectionne les rolex
si j’ai l’malheur d’faire un peu, il prend 40% d’mon bénéf’, et c’est mort
merci à ceux qui m’précédaient, mais
f*ck les vieux, on va pas s’laisser faire
laisse le fruit d’mes efforts, gros
j’entasse les corps
mc putréfiés dans l’placard
bande de bâtards
à jeter des cordes j’ai plus l’temps d’faire la bagarre
que rajouter dans ce jus, qu’il soit bien goûtû ?
quelques litres de mon lait, quelques*uns de pue
quelques grammes de rappeurs éclatés, quelques*uns de plus
pour finir une 8.6 entamée vient sublimer le truc
[refrain]
ce soir je me bute, ce soir je me bute à fond
substance me brusque, envie d’taper trois cartons
ce soir je me bute, ce soir je me bute à fond
j’prends encore le bus, au moins j’bosse pas à decathlon
ce soir je me bute, ce soir je me bute à fond
substance me brusque, envie d’taper trois cartons
ce soir je me bute, ce soir je me bute à fond
j’prends encore le bus, au moins j’bosse pas à decathlon
[outro]
hey, hey
jazy on t’a dit !
[parlé]
[…]
[intro]
hey, hey, hey
yeah
même dans l’moteur j’dois rester froid
alors j’allume un teh
j’t’aime de tout mon cœur mais muselle*moi
tu s’ras célibataire
contre les pleurs et les mauvais choix
j’suis constamment en guerre
le compte est bas, j’fais que des barres
j’suis constamment à perte
ils partent à l’autre bout du monde
là j’ai plus un frère
j’suis loin d’ma femme, j’ai aucun soutien
et des sous à faire
c’est la compagnie qui importe
j’emporte pas d’affaires
repartir comme j’ai drop
ouvre la porte et j’suis un courant d’air
j’vais pas t’mentir t’es mimi
mais tombe plus dans le piège
si je file qu’à mon feeling
j’serais tombé avec la neige
toi et moi c’était fini
depuis avant que je t’tège
envoie la mèche
les qué*cho pour quitter la dèche
j’fais que glisser
comme si j’conduisais en propulsion
tu sais qui c’est
les rimes sont aiguisées, j’suis pro du son
j’ai pas pris l’melon
quand on m’a dit poto t’as un don
faire du sale c’est long
travaille le fond, si tu fais l’marathon
j’suis à ma place, s’ils sont pas là
j’quitterai pas ma case
y faut qu’tu repasses, te passer l’salam
qu’on s’voie à l’occas’
faut qu’t’arrêtes de m’mettre rabat
j’bois même plus la tasse
une fois qu’l’abus est devenu b*n*l
tu vois plus la casse
j’continue comme un con
alors qu’j’me suis cassé la voix
j’suis passé aux quiconces
et j’ai encore pensé à toi
tu t’fais casser un onze
t’as beau être un malabar
il suffit d’une mauvaise rencontre
en pleine nuit à la gare
alors gars, tu sais quoi
j’me prends plus la tête
tu vas au bout c’est tout
même quand tu comprends pas la quête, ça peut tomber
sur chacun de nous
y’a rien qui nous répare
c’était mort
même dans un monde où y’a rien qui nous sépare
vapeur de canette nous égare
ça nous empêche pas d’bosser tard
j’vois des marches de progression
ils voient que l’fossé qui sépare
danger, il s’écarte, je saute
même si j’sais pas nager
ça fait longtemps j’m’envoie des vodkas
comme tu bois l’panaché
prends ton temps pour flairer c’qui marche pas
le perds pas à rager
on veut hack le distributeur au lieu
d’acheter à manger, y’a rien qui marche gros
y’a rien pour oublier
faut espérer
que c’qu’on met dans le teh
nous permet d’roupiller
en attendant ça bosse, bosse
j’vais mériter mes vacances
les taxes haussent
y veulent nous forcer à quitter la france
y’a tout pour ceux qui parle
il reste quoi pour celui qui veut ?
de toute façon dans la vie
celui qui tue c’est toujours celui qui peut
le chien peut critiquer
et répéter qu’j’suis dans l’abus
j’vois des qualités dans
les défauts que tu m’attribues
espèce de pute, ho
espèce de pointeur
on t’a vu de loin
j’suis pas violent mais j’te ferais bien
si j’dois mettre la main
j’me mets en bien, t’as vu j’ai refait la coupe
j’me suis acheté des fringues, taillé la moustache et le bouc
cette année c’était dur, c’était de loin la pire
ouais mais j’en fais des albums à défaut de pouvoir en rire
t’inquiète pas j’suis parti loin
de moi ton cœur est plein
on s’revoit pas, me demande pas pourquoi
j’me pète un joint dès l’matin
j’suis passé par [?]
j’ai tourné dans le centre
en essayant d’taire ton nom
j’avais encore la boule au ventre
putain c’est pas facile
mais faudra rester fort
c’est t’rejoindre à l’asile
ou rester seul dans mon décor
l’aventure, c’est mignon c’est beau
mais j’ai plus 17 ans
tu m’demandes si j’suis bon ou mauvais
j’te réponds “ça dépend”, alors j’ai beau
avoir fermé l’œil
le troisième reste ouvert
pour faire ton bonheur de merde
j’aurais tellement souffert
nique sa mère, j’ai besoin d’personne
j’ai qu’b’soin d’un salaire
tu peux r’tourner tourner dans des caves avec les fesses à l’air
fils de …
chiiche !
[parlé]
[…]
[intro]
hey, hey, hey
[couplet]
je n’vois que des insects
je n’vois que des taches
j’ai tout d’suite l’air mon sec
quand ma voit se fâche
t’as posé une instru
j’ai fumé mon pétard, merde
y’avait ton équipe dedans
my bad j’ai pas fait gaffe
les deux pieds dans le plat
en toi y’a mes deux bras
acquiescer tu vas, qu’tu l’veuille ou pas
t’incliner tu devras
pas dans ça d’habitude
l’attitude et la rime sans le fond
c’est sabri qui touche les sous du son
donc je taille dans le gras
tu connais ton gars
je cafarde, le sous, le fond du train
j’écris d’la merde
et j’gagne plus que ceux qui font du pain
c’est pas une dinguerie ? frère
j’ai pas grand*chose à faire
quelques proses et projets, quelques gros g
ça devrait être interdit
mais tu constates que j’fais le taf
donc y’a pas d’galère
j’décris les seins d’ta mère
pour gagner un salaire
mes chevilles font qu’enfler, gros
qu’est*ce que tu veux qu’j’y fait
tu m’vois qu’en 1080p, donc
tu peux pas m’giffler
j’ai dit pas ce soir
j’ai quand même fini à terre
j’suis ressorti dans un bar
j’ai fini bite à l’air
et pourtant devinez quoi
actuellement j’suis fier
car ça fait une minute
et c’est la première fois qu’mentionne la bière
j’ai mes vices, j’ai mes démons
j’en ai bien assez
ça fait longtemps qu’j’ai lâché l’idée d’les cadenasser
j’ai fermé les yeux
le marchand d’sable est pas passé
la vie est tellement plus simple quand on est fracassé
qui dit quoi ?
j’en mets partout, qui nettoie ? hein ?
vu c’que j’envoie
qui m’en voudrait si j’y crois ?
commence ça, gros j’suis que dans ça ?
pas toi, qu’est*ce que t’en sais, hein ?
tu m’dis quoi faire mais ton vaux*cer
dit*moi qu’est*ce que t’en fais, gros
laisse*moi m’concentrer
tout c’temps qu’est*ce que j’ai montré
comme un con
j’ai cru qu’j’avais toute une da à monter
c’était pas moi, cent pour cent
que l’ancien v repose en paix
le vrai est bien assez bizarre comme ça
donc autant m’resembler, nan ?
faut qu’ça groove
faut qu’ça saute
faut qu’ça bounce à mort
j’fait que d’doubler mon niveau pour mettre tout le monde d’accord
depuis qu’suis rentré dans c’bail je n’fais qu’en abuser
tu m’as rentré dans l’freestyle, t’es resté médusé
faut qu’ça kiff
faut qu’ça shine
faut qu’on gagne à mort
j’apprécie mieux mon travail quand il est sans efforts
pour qu’on pénètre le billboard, il m’faut 40 k
c’est qu’ma bite est trop énorme si jamais ça rentre pas
[parlé]
[…]
[intro]
yeah yeah, hey, hey
[couplet]
j’étais jeune, j’étais bien trop jeune, ça m’a rattrapé, gros
les potes qu’il faut pas, quand t’es sur le point d’craquer
fallait pas, fallait pas croquer, fallait pas taper
j’sauve ma vie tous les jours où j’décide encore de pas t’rappeler
pas d’estime, ils ont pas d’estime, ils ont pas d’respect
le pays tourne moins bien qu’un putain d’camion 4 op
il a voulu prôner la paix, miskine, il s’est fait matraquer
quand donald parle de palestine il doit être bien coké
qu’est*ce tu veux qu’j’te dise
j’ai même pas pu voter
j’ai vu la gueule, l’histoire de leur ministre
et j’préfère me protéger
faites attention à vos fils
à qui leur sert la main
faites attention à vos filles
si elles croisent gérald darmanin
est*ce qu’ce sera de bons esclaves
ou bien de bons ariens
t’façon vu l’état du sol
à quoi bon penser à demain
t’appelles ça un gouvernement
je vois qu’des sales canins
qui font qu’aboyer, aboyer, aboyer
à la fin font rien
hé, crachez sur le rap, bande de salopes
ici on règne
quand on s’ra nouveaux riches, à l’étranger
irons nos payes
c’est comme ça qu’ça marche
tu parles et les gens partent
jusqu’à parler d’ton argent
et il restera les gens qui grattent, bref
[refrain]
des kilomètres
du sang, des larmes sur ma route
rien dans la tête
et j’crois bien qu’j’en ai plus rien à foutre
quand j’ferme les yeux
la seule chose que j’vois c’est ton visage
le ciel est bleu
mais y’a plus d’couleur sur mon image
des kilos d’sh*t, des kilos d’beuh
j’veux dans mon crâne
tu croyais quoi ? on éteint pas les voix
au doliprane
tu feras quoi ?
tu feras quoi quand vient la foudre ?
rien dans la tête
et j’crois bien qu’j’en ai plus rien à foutre
[couplet]
dieu merci d’avoir eu une famille soudée
j’en viens à regretter les fois où j’descendais pas pour l’souper
j’ai d’plus en plus de mal à voir c’qu’il y a d’mes parents en moi
j’ai d’plus en plus de mal à croire qu’mes regrets ne sont pas des choix, bref
j’me pète une canette
et j’lève encore à la tienne
j’accepte pas mon destin
mais j’sais qu’y’a pas d’happy end
sami disait parle*moi d’tes peines
mais fais*le en rappant
pas d’problèmes, j’fais saigner mes plaies
et j’m’en sers en grattant
plus 20 ans, et j’en suis content d’pas grandir maintenant
bientôt les cartouches remplaceront les flashball, les balles à la blanche
on n’est pas encore au bout, certes il reste de la latence
mais c’est pas nous, dis*moi c’est qui alors ? fils deup y’a pas d’avance
les directives c’est bien, c’est mieux d’les mettre en pratique
et chaque jour c’est un combat, lâche pas si tu fatigues
qu’tu l’veuilles ou pas, on y va et on s’applique
tu fais c’qui faut ou tu l’fais pas, y’a pas de question d’principe
[refrain]
des kilomètres
du sang, des larmes sur ma route
rien dans la tête
et j’crois bien qu’j’en ai plus rien à foutre
quand j’ferme les yeux
la seule chose que j’vois c’est ton visage
le ciel est bleu
mais y’a plus d’couleur sur mon image
des kilos d’sh*t
des kilos d’beuh j’veux dans mon crâne
tu croyais quoi ? on éteint pas les voix
au doliprane
aahh
…
rien dans la tête
et j’crois bien qu’j’en ai plus rien à foutre
[outro]
aahh
[parlé]
buvez moins d’8.6, plus de goudal !
[parlé]
[…]
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