c'est pas si beau... - yslo fly lyrics
j’suis bowser, que des déceptions, 3 heures du mat’, gros, yah
j’me prends pique sur pique
j’me prends pique sur pique, j’ai l’impression j’suis bowser
que des déceptions, 3 heures du mat’, j’ai même pas r’gardé l’heure
(j’ai même pas regardé l’heure, gros)
j’imagine que c’est une sorte de paranoïa (paranoïa)
mais pourquoi à chaque fois les malheurs tombent sur moi (sur moi)
j’suis pas immunisé même après toutes ces peinеs
l’horloge tourne sans arrêt, j’contrôle pas toutе ma haine (haine)
rappelle*moi qui est là quand j’écris mes défauts (mes défauts)
quand j’suis à moitié mort, on dirait j’ai pas d’co’~
j’décris ma déception sur mon clavier solo (seul)
désillusion est telle que j’ai la tête sous l’eau
on s’bat jusqu’à la mort, à quoi ça sert hein (à quoi ça sert hein)
j’me consume comme une torche et j’crois que j’m’éteins
comment ils s’regardent, on dirait qu’ils s’aiment, eux
j’suis pas dans les calculs, moi j’suis problème
j’manque de batterie, à croire j’vais faire un coma (ronhpichh)
j’rentre pas tard car j’écris l’soir comme un trauma’ (trauma’)
j’suis plus trop sûr de c’que j’ferai l’été prochain (j’sais même pas)
j’sais même pas si j’vivrai encore l’été prochain (j’sais même pas)
pourquoi tu m’fais ça, on s’connaît même pas (on s’connaît même pas)
tu veux déjà m’détruire alors que tu m’as jamais vu (jamais vu)
chaque jour, la fin m’fait des signes avec ses mains (avec ses mains)
moi les “on dit”, j’les ai vesqui comme si c’tait rien (j’les ai vesqui)
j’m’imagine connu à freestyler d’vant tout l’monde (d’vant tout l’monde)
à lâcher des punchlines avec des gros cris
mais j’crois la réalité est bien différente (bien différente)
j’suis matrixé par mes rêves au point que j’m’oublie (j’m’oublie)
j’ai souvent passé soirée à écrire sans merci (sans merci)
à croire que le ciel et ses nuages, ils sont immersifs
j’ai l’impression d’manicurer l’cercueil
imaginons qu’le ciel s’apprête à m’faire seul hein (pah pah)
j’sors seul du terrain, l’impression j’perds tous mes repères (repères)
gros comme un téra, mon cerveau stocke des textes hors pair (hors pair)
j’tire sur l’ambulance, envie d’plomber l’ambulancier (priw priw)
j’suis pas très différent, tous ces moutons nuancés
j’passe mes soirées sur l’ordi à taper sur l’clavier
si c’est ça l’futur, bah putain, il est claqué
démotivé toute la journée à cause des réseaux
un puits d’mirage parce que ma vie, bah, c’est pas si beau…
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