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lirik lagu la volonté du a – amaz

{en construction}{en construction}{en construction}{en construction}
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je commence par le commencement, c’est peut être bon signe
j’ai le son dans le sang tu sais, et les mc’s sont des moustiques : ils pompent mon style
vois mon implication éclater le score
la concurrence est “lite” comme les applications gratuites de l’apple store

musique de ceux qui ont pas de cash
aujourd’hui le rap parait violent mais touche personne : c’est comme les coups dans un combat de catch
j’crois pas qu’raper c’est déguiser sa vie c’est tout
la zik’ indé est bonne, les da l’ont baptisée nafissatou

mon coeur se froisse quand j’écris et ça se ressent
garder mon sang froid, c’est facile, cette vie me glace le sang
les mc’s s’embr-ssent bien trop vite, puis s’descendent
conséquence je br-sse ces rimes terribles et c-sse le sample…

il faut que je cogne, brise, éblouit
a la fois sur doué, con et malin, un peu de malcolm, reese et dewey
faut pas que mon talent s’efface, enfouis sont mes sentiments
je dois noyer ma pudeur pour qu’ils remontent à la surface

dans ce monde y en a des tarés, ces mc’s qui jasent auraient
bien une place dorée dans le film “rien à déclarer”
carré, en théorie et en principe
ni noir, ni blanc, j’annonce la couleur a priori gris anthracite

(a.m.a.z.) sois pas fâché, tu seras bien peiné mais
une fois que le radar t’as flashé, ça sert à rien de freiner mec…
vas pas trop vite même si, il est vrai, on torture
tu sais lequel se mange une carotte entre le lièvre et la tortue

hors du commun, p-ssionné même j’en suis mordu là j’le vis
ceux qui prenaient leurs pieds se sont tordus la cheville
ce son sort du lot, j’évite. ces troupeaux de moutons
un lyriciste de plus mais pour eux c’est trop tôt? admettons

c’est parti tu vois t’as affaire à qui tu crois?
fini les coups de pression toi , tu gouteras au haki du roi
fais pas le pirate mais ton rafiot se disloque
sache que quand j’écris je fais des morts comme raito dans death note

beaucoup trop d’acteurs en écoute
david dis leur on a du apprendre les clés de bras avant d’se serrer les coudes
j’pense que là t’auras moins de doutes frangin
j’me vendrai pas, faire le trottoir ça paie pas c’est comme un horodateur au mois d’aout

explosif, les fans de missiles en deviennent barge
je vais transformer en boomerang les mcs qui n’en reviennent pas
auteur d’homicides car tous mes sons tuent
a domicile ou pas j’ai choisi entre mettre des fessées et donner son cul

la plupart a pété un fusible, ceux là ils s’perdent
ecoute ces phases, c’est la partie visible de l’iceberg
j’crache pas ce rap pour que les racailles l’avalent
ils parlent d’encre, de flow, de conquête… mais ils se font une bataille navale

rafale de pensées, l’insomnie me guette je suis la proie du soir
jsuis comme la famine en afrique, je broie du noir…
p-sse une prod, un casque et j’me tire
tu sais, j’parle avec des images pour que tu vois c’que j’veux dire

frangin, attends je gère… ma source d’inspi est un geyser
j’parle avec des images pour que tu vois c’que j’veux dire
african samourai ou le berbère armé d’un sabre…
j’parle avec des images pour que tu vois c’que j’veux dire

mlc, banlieue nord ouest, val d’oise est à l’honneur
j’parle avec des images pour que tu vois c’que j’veux dire
punchline de grandline… c’est la volonté du a
j’parle avec des images pour que tu vois c’que j’veux dire
amaz

- amaz

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