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lirik lagu feu à volonté ! – baculum

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sur la pointe des pieds
gros orteils dans ta chatte
ongles incarnés
mycoses pires que les tiennes

femmes, je vous haine !
en attendant la bonne j’fais des pâtes !
oh cette parano
puristes : c-ssez vous !

nos ambitions par la fenêtre
donnent sur de sombres jardins
ambiance cimetière communal
on a rien à perdre, tellement qu’on est moches !

pas si seul : des tiques squattent notre caboches
elles parlent, et t’sais quoi ? t’es con ! les autres aussi !

28 grammes plus tard…

ne faisons rien, allons nulle part

putain, le doom… c’est de la merde

à chier…

c’est à chier !

je suis né, j’existe et bordel je vis, quel embarras, j’me défonce sans cesse
il est 6 heures, j’ai pas dormi, me fais violence de chaque seconde qui p-sse
remet en cause le jour ou j’suis venu au monde en tirant la gueule
j’réfléchis, mais bon, agir ou s’branler, très franchement y’a aucune diffs’

zero
nada
que dalle
r

tu peux fléchir, trop lourd pour toi même, dans les volutes du spliff
continuer d’fumer tes idées pures
me cherche pas la merde, c’est moi la sale gueule !

cours pas la mort, tu fuis la naissance, chie dans ton froc
premiers instants : si t’es vivant t’es qu’infirme, qu’une loque
de l’inconvénient d’être né s’est forgé ma volonté de n’être
qu’un escroc du… gouffre !

si tu pige pas le golri du mal être
que berle-tu, tout -ssombri ?

moi trop déçu pour être bouddhiste
j’veux juste être lamentable comme dieu
je me veux né d’un kyste

la tyrannie du temps n’épargne rien n’y personne, pas même vos idées excrémentielles
le nombre de vos tombes : exponentielles
mais… mais, le temps n’existe pas ma belle !

salope pute pute pute salope salope pute salope pute salope pute
salope pute pute salope pute salope salope salope pute pute
pupupute pute salope pute salope salope pute pute pute pute
salope pute pute salope pute salope salope salope pute pute

” ce soir je ramène une gonzesse à la maison, bien plus belle que toutes les autres, tu vas voir…
elle travaille à brico elle aussi
en fait ça fait des années que je la connais
des années qu’elle mouille sur mon corps de gitan derrière sa caisse enregistreuse…
tu lui joueras de la guitare ? elle devrait aimer ce que tu joue, elle est fan de maria callas
c’est pas comme avec nathalie, on en parlera pas à ta mère cette fois, okay ? celle-là, elle est bonne
elle a un beau cul, elle a deux gamins aussi mais on s’en branle, hein
ce n’est pas comme si elle allait rester éternellement…
juste un soir, ou deux, okay ? ”

okay ?

des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf… 4 ans
et ses morveux avec

des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf… 4 ans
et ses morveux avec

la nuit et ses couleurs s’effacent, sonnent le crépuscule
( qui t’encule. )
vie fade, tenter la mort ? toujours raté !
illettré : t’as raté ta vie !

j’ai la vision noir caviar
mes hummers sont des corbillards
là où les gens marchent, je m’y couche, c’est pour ma diarrhée
ma bite : surpuissante, mes piscines sont des marais
dans mon jardin il y a toutes les morts, arrosé de milles nuits, ici tout est rance
oui, c’est le doom : mes arbres sont des potences
on est blancs, sales, et pauvres

des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf… 4 ans
et ses morveux avec

des soirs, elle en resta trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf… 4 ans
et ses morveux avec

ton colon n’est plus qu’un linceul frêle
ma lance tête rouge vermeille, est fière !
elle se tient droite dans la cohue
rouge incandescente de ton intestin grêle !

nos ambitions par la fenêtre donnent sur de sombres jardins
notre lumière, notre dieu, notre mort !
torturé, à vif ! perché, au plus profond du naze
incroyable, traversant les métaph0r-s topaze
on a évité tout ça, on a frôlé la vie !

ni-hi-liste, c’est le propos, il blague comme un cadavre, et lorsque tu dérive
dans ton kanoé de pet-t fou, les yeux gonflé, le cerveau endormi, vessie maladive
il donne au vent la rumeur de ses rires acides
récompense gr-ss-m-nt mon teint livide

si c’était si nul à chier, personne oserait mourir
on s’amuserait à mater le christ pourrir
lentement, tranquille, dans son éternité
troquer la croix pour une chaise électrique remplie de vanité

fier de cet absolu, fier de mourir, car ici tout est provisoire !

ou sont les couilles ? et leurs morpions ?
ou sont les couilles ? et leurs morpions ?
ou sont les couilles ? et leurs morpions ?
ou sont les couilles ? et leurs morpions ?

vivre
c’est prendre des risques
on laisse ça aux tétraplégiques
ici, ambiance cimetière communal
dans l’salon : 3 cadavres !

et ça tire la gueule !

tu sais quoi jean-cule ?
la musique c’est merdique !

feu à volonté !
feu à volonté !
feu à volonté !
feu à volonté !

tuer, tuer, tueeeeeeeeeeeeeeer !

feu !
feu !
feu !
feu !

ad
majorem
baculum
gloriam

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