lirik lagu compressé – béobé trumendous
(intro)
tacleur, notre feu t’éclaire frappe fort
brûle, t’ écœure, attrape l’immense à bras le corps
se méfie du sky qui dort
mon épaule droite, c’est un schlague à baltimore
le rap me connaît pas, je l’ignore
parce seul le silence répond à celui qui se répand, j’me dis que
les blagues les plus drôles sont celles de ceux qui rient peu
la moitié du game c’est des trentenaire sous sky
qui croient que leur style sont des putain de trouvailles
j’enterre ces trous d’balle ou que j’aille
vu que c’est toujours le plus crédule qui m’jure qu’chuis naïf
alors qu’il structure sa vie comme un truc à but lucratif
souvent je clos le débat
même si fermer les yeux sur la folie ne t’en protège pas
j’observe, prose et pose mes cartes
technique ancestrale, aubaine vengeresse calme
troque un flow de qualité contre un sommeil d’entrée de gamme
c’est ça ou j’ouvre que des bières
on peut pas se r-ssurer seul mais ma gueule il se trouve que c’est tout c’que j’sais faire
j’ai un an de sommeil à récupérer
dans la machination de l’ivresse
j’fly c’est clope dans les draps
skype ou navigation privée
palpitation numérique, abdication du mérite
se balader avec un stick, palabrer avec un flic
changes de chaîne, tu restes esclave des mêmes programmes
perdant à domicile, malgré toutes nos belles occas’
c’est trop naze. quoi? j’m’en étonne c’est tout
demande pas pourquoi les gosses de mon ex seront laids comme des poux
depuis j’ai l’impression que pour voir clair il faut que je ferme les yeux
que j’explique à ces pouffes qu’ça vide pas les couilles d’être un mec merveilleux
quoi? on m’a dit que parler c’est bien mais qu’faire c’est mieux
chacun ses aigreurs, ses violences et ses excès de sérieux
j’trimballe le veuvage de mes vœux
chaque foi qui me dicte le procédé du bonheur de ce monde
évite de le sujet quand on m’dit de me projeter
j’ai qu’une odeur de blonde roulé
productif dans l’altération comme un auteur de contes bourré
refrain x2 :
il est de ces cas précis
où je me fous d’être compris c’est
juste un texte capricieux
sorti d’un crâne compressé
rejoint par d’anciennes tourmentes
fin de 16 barres je m’esclaffe
🙁
2.0.1.4…
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