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lirik lagu le vide (cenosillicaphobie) – bernard adamus

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t’as toujours la main d’ssus ton cell ta graine ou ta bouteille
fais pareil, pis on monnaye, ah pis aweille, fais ton affaire
à chaque seconde tu manques d’air, tu te d’mandes de quoi j’ai d’l’air
j’aurais beau t’en faire accroire, mais ton miroir à quoi qui t’sert
toute toute toute a l’air si simple, tout l’monde court à en perdre haleine
sauf qui peut! à deux c’est mieux, si c’est pas toi ça va être eux
blanc ou noir on veut savoir, donald duck call les bœufs
malade ben raide, besoin d’un remède, un 5à7, un call de dieu?

j’pensais jamais m’rendre si bas, là ça peut pas faire que d’aller mieux
une question d’même, (as)*tu une place pour moi mais j’voudrais pas faire mon téteux
soyez à l’aise, mesdames, messieurs on va se faire un beau colleux
que’que chose qu’m’dit, que y’est midi, pis qu’j’ai affaire à faire mon lit
me lever l’cul, le doigt qui pue, arrêter d’scorer dans mon propre but
pis m’en défaire, pis penses*y pus, pis toutes les livres j’les ai toutes lus
j’ai parcouru toutes les menus, baissé les bras, crié hourra
chanté tout bas, pis tu peux m’croire que j’m’ennuie d’faire l’amour au soleil

besoin d’air! sans*façon, j’dis oui, oui, oui, autant qu’j’dis non
c’est pas clair, mon affaire, veux*tu qu’j’essaye une autre brassière?
ça peut être ça si tu préfères
on va arriver en r’tard au souper d’ta mère
c’pas poli mais j’commence à y croire
viens*tu ici ou j’m’en viens t’voir?
pis encore tes mains partout veux*tu qu’on s’couche? qu’on reste debout?
rien de plus gossant que ces osties*là qui parlent ben fort bandent tout mou
dis*moi donc à quoi ça rime, à chaque coin d’rue tu r’gardes les signes
qu’est*ce tu fais là mon beau garçon? l’ocytocine me donne bonne mine
j’avais oublié d’en prendre un peu pour moi…

cenosillicaphobie
sua p’tite ardoise y était écrit
les animaux qui vivent la nuit passent ben du temps le jour dans l’lit

fak le motton au fond d’la gorge, est*ce qu’on détruit autant qu’on forge
un monde meilleur mais sans saveur, pis on avance la peur au cœur
un pas devant l’autre ou ben on r’cule?
c’est qui l’colisse qui pète ma bulle?
la semaine à être chaud comme un pâté ça affecte ma régularité… pis mes totons à l’ipa
c’t’assez!

quand on scrute ces textes, on peut comprendre qu’y en a qu’ça vexe
fak ton eau sale pis ton pain sec tu sais comme moi oussé t’les mettre
mais c’est au pied pis à la lettre y faut reconnaître qu’est meilleure frette
dis*moi j’ai tu d’l’air d’un ascète la crêpe flambée dans mon assiette?
drôle de tempête quand t’ouvres la f’nêtre
le calme plat, repos d’la bête
la digue a’cède, y d’mande de l’aide
faut tu t’démerdes dans l’fond d’ton bled
t’aimerais ça qu’le monde remarque qui manque une rame dans l’fond d’ta barque
veux*tu ben m’dire c’que ça reflète? y a comme une tite odeur de pet
qui ressort souvent dans les manchettes le meurtre du noir qui se répète
le flic tout blanc tire la gâchette, crisse le feu, on brûle des pneus
la vie est laide, enfonce le pieu, cuillère en or ou mauvais sort
couleur de peau choix du ghetto, le méchant loup qui mange l’agneau
dans toute c’qu’on fait, du beau du laid
dis*toi qu’la grosse fait pas exprès, pis l’gars là*bas y court après
le plus sinistres des animaux, baiser aux lèvres on se fait la peau
vire de bord on s’tire dans l’dos
crime d’honneur y tue sa soeur
j’arrête ici pour l’heure passe ça m’écoeure

cenosillicaphobie
sua p’tite ardoise y était écrit
les animaux qui vivent la nuit passent ben du temps le jour dans l’lit

y passe toujours du coq à l’âne, rien qu’un p’tit verre pour m’délier la langue
les bombes tombent à chaque secondes tout l’monde abonde à la ronde
on tapote tout seul à l’ombre derrière l’écran ça d’vient prenant
tous les idiots sont réunis, caressent le chat, glissent la souris
faut nourrir les pauvres d’esprit, le nouveau dieu y’a d’l’appétit
pour tout c’qu’y est sale qui brise des vies tous les égos nagent dans l’eau
sul bord d’descendre d’son crucifix, pis faire de l’ordre dans toutes nos vies
fak on post pis on publie du beau du vrai du faux du laid
nos jalousies nous pompent l’ennui la belle lubie qui lubrifie
au doux son du cliquetis le samedi soir passe t’as pas d’vie
dur d’la feuille ça s’voit à l’œil, on est à veille d’atteindre le seuil
comme le petit proverbe chinois qu’on connaît tous sul bout des doigts
j’y pense en thérapie pis au criss de texte j’radote ici**
cenosillicaphobie
sua p’tite ardoise y était écrit
les animaux qui vivent la nuit passent ben du temps le jour dans l’lit

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