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lirik lagu coké – billi

[paroles de “coké”]

hey
billi

[couplet 1]
on m’a dit bombarde, là faut faire les sous
et pour du liquide j’cours dans tous les sens
rien n’est sûr, bah ouais le sang, on débarque chez toi, tu perds connaissance
les condés collent au cul du golf, à deux doigts du sitar j’ai gardé mon calme
on lâche pas un frère même pour dix mille e, et pour la daronne bah direct on canne
du rouge sur les mains, du vert dans la poche, de la blanche sous les couilles, du jaune dans la masse
fumée grise dans la tshop, là j’suis dans les temps et tous ces fils d’eup’ sont à la ramasse
hola ma chérie, j’sais qu’j’suis pas le premier, vu comment tu suces quand j’passe la première
comme une chienne en chaleur, elle veut qu’j’la promène
mais pour elle j’ai pas l’temps, j’dois tenir promesse

[pont 1]
j’me suis promis le million, million à claquer (billi, billi), million à claquer (billi, billi, mon mili’ mili’) des millions en paquet bébé (billi, billi)
j’me suis promis le million, million à claquer (billi, billi), million à claquer (billi, billi, mon mili’ mili’) des millions en paquet bébé (billi, billi)

[couplet 2]
on m’a dit fait du sale, des fois sois plus cool
si j’sors le machin, tous tes srabs ils courent
on va couper court à la discussion, soit c’est la guerre, soit on s’la fait cool
les p’tits chassent en scout sans poser la roue
on fait plus d’mi*tour quand on s’met en route
on s’endort en g.a.v, poto c’est la rue, à m’refaire les scènes j’y passerai la nuit
[refrain]
j’tire deux lattes sur le bedo (bedo)
j’bois deux ge*gor sur l’shefla (shefla)
j’fais le tour de mon ghetto (ghetto)
j’vois des larmes, j’vois d’la souffrance (souffrance)
ma tess j’l’aime, c’est ma ce*for (ce*for)
mais c’est elle qui m’a bloquée bébé
j’te répondrai plus tard (plus tard)
là j’dois répondre aux cokés bébé
j’tire deux lattes sur le bedo (bedo)
j’bois deux ge*gor sur l’shefla (shefla)
j’fais le tour de mon ghetto (ghetto)
j’vois des larmes, j’vois d’la souffrance (souffrance)
ma tess j’l’aime, c’est ma ce*for (ce*for)
mais c’est elle qui m’a bloquée bébé
j’te répondrai plus tard (plus tard)
là j’dois répondre aux cokés bébé

[pont 2]
s’ils savent qu’on est proche, ces fils de’ paniquent (s’ils savent qu’on est proche tous ces fils de’ paniquent)
c’est que pour m’gratter si tu m’tiens compagnie (ouais c’est que pour m’gratter si tu m’tiens compagnie)
chacun pour sa gueule, chacun pour ses poches (chacun pour sa gueule et chacun pour ces poches)
c’est pour t’voir tomber s’ils veulent t’accompagner (c’est pour mieux t’voir tomber s’ils veulent t’accompagner)

[couplet 3]
ouais tout ça, ça m’inspire comme le début de ma vie comme ces
choses qui se passent dans la vie
comme ce salir de nejau, comme cette pluie sur la vitre sur le haut du parking dans la nuit
j’te raconte ce que j’vois encore plus c’que l’on vit
j’me sens mal face à très peu de joie
j’ai mon flash et mon salir, là j’t’avoue j’ai envie, d’m’évier, qu’on n’parle plus de moi
tu sais ça m’en veut, j’sais même pas pourquoi (tu sais ça m’en veut, j’sais même pas pourquoi)
mais en vrai moi j’m’en fous tant qu’je vis pas pour toi (mais en vrai moi j’m’en fous tant qu’je vis pas pour toi)
j’me retrouve seul à bédave, j’remets tout à plus tard hey (j’me retrouve seul à bédave, j’remets tout à plus tard )
avant t’étais l’sang, là c’est plus pareil (avant t’étais l’sang, là c’est plus pareil)
[pont 2]
s’ils savent qu’on est proche, ces fils de’ paniquent (s’ils savent qu’on est proche tous ces fils de’ paniquent)
c’est que pour m’gratter si tu m’tiens compagnie (ouais c’est que pour m’gratter si tu m’tiens compagnie)
chacun pour sa gueule, chacun pour ses poches (chacun pour sa gueule et chacun pour ces poches)
c’est pour t’voir tomber s’ils veulent t’accompagner (c’est pour mieux t’voir tomber s’ils veulent t’accompagner)

[refrain]
j’tire deux lattes sur le bedo (bedo)
j’bois deux ge*gor sur l’shefla (shefla)
j’fais le tour de mon ghetto (ghetto)
j’vois des larmes, j’vois d’la souffrance (souffrance)
ma tess j’l’aime, c’est ma ce*for (ce*for)
mais c’est elle qui m’a bloquée bébé
j’te répondrai plus tard (plus tard)
là j’dois répondre aux cokés bébé
j’tire deux lattes sur le bedo (bedo)
j’bois deux ge*gor sur l’shefla (shefla)
j’fais le tour de mon ghetto (ghetto)
j’vois des larmes, j’vois d’la souffrance (souffrance)
ma tess j’l’aime, c’est ma ce*for (ce*for)
mais c’est elle qui m’a bloquée bébé
j’te répondrai plus tard (plus tard)
là j’dois répondre aux cokés bébé

- billi

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