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lirik lagu la berlistique – billy joe (redneck family)

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[introduction : billy joe]
hein, hein, hein, hein
mister doggy diouf
c’est pour mes rastas gwers
[xxx] top, [xxx]
mes rognures de couilles, alcooliques, peleurs d’ongles, les arlequins, la niche à oreille
les espadrillés à [xxx] et mes caleçons rris-pou, les tains-pu, les tympans qui dégoulent et qui pus

[couplet 1 : billy joe]
allume les phares c’est le far west, retourne ta veste et les manchettes, fait pas la manche si t’es manchot, l’ambiance est chaud, chaud
fais l’tour des bars à [xxx] comme des animaux, j’me gratte le cul, j’ai plus d’pécule, que toute la bourgeoisie s’encule
are you ready ? ça sent [xxx] les grosses cuites et les grosses queues dans les grosses cuisses, ouais c’est dégueul-sse
c’est pas du rap de mormons mais du rap de morveux, vas-y [p-sse / pince ?] bien ta gueule que j’t’envoie toute ma morve
c’est l’pétage de câble d’un alcoolique anonyme, mets les doigts dans la prise que j’te baise électrique
c’est élégant d’avoir la trique, une belle bat de baseball, j’ai la teub qui s’promène comme dans dragon ball
bam, bam, fays toutes ces pét-sses en short, je chie sur la place et pose tout ça en one shoot
j’ai la coupe à bronson, [tu fais ?] check la bande son, c’est la perle -ssurée, continue à m’sucer

[refrain : billy joe]
il est onze heure et demi et mes gars t’niquent, mélodie empruntée d’orange mécanique
c’est pour mes canins qui niquent leurs canines, c’est pour les coquines qui veulent des calins
envoie la cocaïne que j’limite mon terrain, langage infernal pour toutes les mères aux gros seins
gros, sensationnel dans la picole, plus j’entends les sirènes et plus je rigole

[couplet 2 ; billy joe]
j’me dégueule sur la chemise, la dégaine d’un toxico’, j’ai foncé dans la vitrine, j’ai le son de jimmy spliff
j’dors sur l’paill-sson, la main dans l’caleçon, j’ai perdu mes pompes, pour finir j’ai l’haleine d’une tombe
t’es comme moi si t’approuves ces soirées dégueul-sses, j’préfère qu’elle me lèche les boules que chercher du taf
j’me cure le nez sur la terr-sse d’un bar branché, j’suis complétement bourré, j’m’amuse à tout renverser
j’prends ma caisse même si j’y vois plus que d’un œil, j’ai bu l’équivalent d’une vie, j’ai niqué l’porte-feuille
j’p-sse au feu même si j’y vois plus les couleurs, rien à branler qui soit vert, orange ou rouge et
si ils veulent me péter tant qu’c’est bien arrosé, j’p-sse la night à gueuler, à chier sur l’parquet
nique les pistonnés, les gros fils de putain, baise ta soirée [huppée ?] j’lui crache sur les seins

[refrain : billy joe]
il est onze heure et demi et mes gars t’niquent, mélodie empruntée d’orange mécanique
c’est pour mes canins qui niquent leurs canines, c’est pour les coquines qui veulent des calins
envoie la cocaïne que j’limite mon terrain, langage infernal pour toutes les mères aux gros seins
gros, sensationnel dans la picole, plus j’entends les sirènes et plus je rigole

[couplet 3 : billy joe]
j’fais des pompes seulement une meuf sous les couilles, j’arrive en tracteur, une paille dans la bouche
rageur, c’est l’équipe de [poules overs sales ?] ça tâte le skateboard, mes potes over side
on a des tronches d’alabama, au fond l’anaconda, conditionnel sous champignons, on a l’sourire d’obama
vamos à la foire des gros nibards, la tête niquée on rentre en corbillard (blaah)
tu m’roules une pelle pendant qu’j’dégueule, j’suis tatoué du tibia jusqu’à la gueule
voix c-ssées, voie d’garage, v’là les misérables, pas d’papier, pas d’chewing-gum, v’là l’haleine qui charge
whisky sec, lève les bras si t’es dégueul-sse, j’me rase pas j’veux qu’tu m’lèches la barbe à papa
j’suis comme trevor philips ; rien à foutre de la loi, j’dévore toutes les chattes qui miaulent ou qu’aboient

[refrain : billy joe]
il est onze heure et demi et mes gars t’niquent, mélodie empruntée d’orange mécanique
c’est pour mes canins qui niquent leurs canines, c’est pour les coquines qui veulent des calins
envoie la cocaïne que j’limite mon terrain, langage infernal pour toutes les mères aux gros seins
gros, sensationnel dans la picole, plus j’entends les sirènes et plus je rigole

[outro : billy joe et rico weed]
yeah
[xxx] j’ai la [cale qui boîte ?], monsieur burns [xxx] à les doigts qui [xxx], hé, hé, la belle faille
yo, les portes de pénis entier, (le pénis entier), ça sent la rouille, ça sent la mouille, (ça sent la rouille)
j’ai les doigts qui farfouillent, (le doigt qui farfouille)
yeah, yeah, équipe de pirates
ok, c’est les cow-boys [xxx] lagune, on est là le pénis entier, le pénis entier, (le pénis entier), blaah, blaah, (le pénis entier, perlimpinpin)
ah ah ah ah…ok
on l’a, on l’a, là c’est bon mon [xxx] on l’a dans la boîte, on l’a, on l’a

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