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lirik lagu les emmerdeuses – black taboo

toutes les emmerdeuses
peuvent s’la mettre en veilleuse
moi m’en va m’c-sser l’tête
pis m’a m’caller des m-sseuses
m’a t’être le contremaître
de toutes le p’t-tes p-sseuses
j’baise comme une bêtise
j’brise des cœurs de coiffeuses
chu l’bonhomme 7 heures
le bone settler
un bonne-femme ça teurd
quand ça p-sse dans l’tordeur
on peut pas vivre avec
on peut pas vivre sans
s’apparente à la secte
c’est contrôlant
les hommes viennent de mars
les femmes de vénus
si y reste de la place
j’pogne la prochaine bus
m’a venir faire mon tour
pour mes bas instincts
entre chaque aller-retour
esti que j’vas être ben

word to the mother (bis)

on peut pas vivre avec
on peut pas vivre sans
drette après l’premier bec
on veut leurs rentrer dedans
parfois mis des gants blancs
pour satisfaire mon gland
floper de l’argent au restaurant
pour la mettre sur le banc
arrière de mon char
tu m’excuseras trésor
le j-zz peut sortir de mes gosses
mais pas black tab de richard
gros porc gros cochon
j’connais la chanson
plus tu mords à l’hameçon
j’te trolle comme un poisson
en boisson tu joues aux dards
tu veux pogner l’bull’s eye
ben rond j’sors du bar
trois heures et quart j’mange ta blaye
si césar parle aux chiens
moi j’dis d’la marde aux chiennes
pis tes fesses frappent ma bedaine
tu j-ppes j’te pète la cenne
f-ck les emmerdeuses
rock toutes les cireuses
chanceuses sont ceuzes
qui font valser mas valseuses
une plotte c’t’une plotte
moi chu loin d’être myope
ma queue a des yeux
parce j’ai pogné la plus hot

word to the mother (bis)

chevauchant leurs balais
noircissant leurs palais
les sorcières exaspèrent
les hommes fiers désespèrent
perdant tous points de repères
la boussole en déroute
le mépris aux enchères
l’enfer coûte que coûte
la coupe à ras la goutte
qui fait déborder l’vase
tu m’parles pas quand j’t’écoute
tu finis pas tes phrases
en avoir plein son c-sse
comme un dépôt à neige
quand à fin du mois de mars
les trucks pleins repartent à lège
le ménage pris au piège
pis c’est de la faute à qui
pour c-sser l’sortilège
on s’paye des sièges de psy
la p-ssion débarr-sse
laissant place au dégoût
les chatons les minous
ont rejoint les égouts
on s’embr-ssait partout
on s’embarr-sse pour rien
même les p’t-ts becs dans l’cou
sentent comme la gueule du chien
ça sent la marée b-sse
c’est laid comme les drolet
avant qu’ça manque trop d’cl-sse
déchirons la couverte

blasphème ô blasphème
aux pierres qu’on nous lapide
comment pourrait-on se plaindre
de la gent féminine
car sans elle nos vers
seraient insipides
c’est grâce aux mégères
qu’on peut être stupides
y’a celles qui s’offusquent
pis ceux qui s’amusent
alors que les rustres
abusent de leurs muses

êtes-vous des suceuses
ou yienk des crosseuses
restez silencieuses
écoutez ma berceuse
la gent féminine
chiale pour nous changer
qu’on devienne sage femme
capable de bander
voulez un bad boy
qui a d’l’air d’un p’t-t monsieur
j’en ai vraiment ras-le-bol
de vos désirs capricieux
toutes des claudine durocher
qui veulent tout changer
si tout l’monde reste lui-même
ça devrait ben aller
fendre les cheveux en quatre
pour pas grand chose
plusieurs p-ssent au bat
à cause d’la ménopause
le féminisme laisse des traces
entraînant la névrose
l’homme qui s’cache perd la face
en serait la première cause
mais dites-vous ben une chose
adam porte les culottes
pis l’bon dieu j’vous l’rappelle
vous a graillée d’une plotte
voir ça d’même c’est simple
c’est simple comme bonjour
ève a toujours f-cké le chien
depuis l’premier jour

word to the mother (bis)
ahaha!

- black taboo

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