a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu outro – boulah

j’te crache à la gueule après que j’t’ai p-ssé à tabac…
je vais choper l’cancer à force de fumer ces tards-ba…
j’ai l’cœur sur la main mais ma main c’est un mbossé garga donc n’abuses pas d’ma confiance ou j’te fais une acupuncture faciale !
le seul qui peut rivaliser s’tient devant mon miroir !
lions et éléphants dans ma famille d’ici a la côte d’ivoire !
impossible de me voir j’suis trop loin, du tintamarre de ces vauriens
il n’y a qu’au sommet que j’amarre car je n’mets pas les voiles pour rien !
négro la plupart de mes liens m’ont fait du mal et du bien et ceux qui m’ont vraiment fait mal venaient de ceux qui m’faisaient du bien !
j’m’en suis voulu d’avoir fait preuve de tant de naïveté !
un vrai négro ça marche seul car sachant s’isoler !
pour se remettre en question ! opter pour la bonne direction ! planifier tout ses rêves ! procéder à la réalisation !
non ne vient pas m’faire la leçon, maîtrisard en théorie ! a priori ton hobby ce n’est pas l’acte mais bien la rhétorique !
n-gger j’commence par un middle finger puis un high kick middle !
f-ck le twerk ici on a sa mère qu’on appelle leumbeul !
négro j’ai grandi à dieuppeul ! j’oublie pas les pains thons de diogeul !
footballi tchi terrain ousmane socé après l’oustaz et son ndiogoneul !
j’oublie pas d’où je viens même si j’ai déménagé !
c’est vers mes amis d’enfance que se dirigent toutes mes pensées !
personnalité forgée entre entraide et rivalité !
c’est dans cette dualité que nos lames se sont affûtées !
tout près d’verser dans la violence mais recadrés par nos anciens ! sévères quand ils nous tançaient, sincères quand ils nous conseillaient !
la hagar ça paie pas mais bordel yen a qu’il a fallu saigner !
dans l’école de la rue l’enseignant était entrain de saigner !
un monstre en moi se réveille comme si j’m’apprêtais à piner !
comme hannibal je bute les mc pour préparer mon dîner !
j’rêves d’une kendall, ayant l’cul qui pèse un quintal, partir au pays du hola ! que tal ? -ssister à un barça real !
les meilleurs j’les mastiques de manière drastique y compris les fantastiques bien qu’ils soient 4 !
pas altruiste non négro j’suis audacieux ! je n’fais confiance qu’en ma clique j’n’ai peur que de dieu ! odieux je l’serais si tes critiques s’avèrent fallacieuses !
devant les yeux des autres je n’ai jamais changé ma nature !
c’est pas parce que j’me tape des barres tout le temps que je suis immature !
les apparences sont trompeuses, j’cache mon vrai moi comme tobi ! wesh atomique est l’niveau de ce game qui sans moi devient pourri !
j’ai tiré profit de mes chutes ! dans les mauvaises p-sses, provoquées par l’absence d’ozil mesut !
du nord au sud, ta tête ge-bou, les vrais exultent ! négro ‘vec att-tude, devenu une habitude !
j’prends d’l’alt-tude quand les ‘blèmes s’acc-mulent tels des c-mulo-nimbus !
ils garent le bus espérant résister à mes -ssauts !
dur d’admettre qu’économiquement de l’occident sommes des v-ssaux !
l’esclavage et la colonisation deux balles dans les pieds de l’afrique !
dans une course pareille handicap rime avec euphémisme !
mais j’garde espoir la terre mère jamais elle ne flanchera !
nous ses enfants devons tout faire pour la sortir de la !
nos ancêtres étaient des rois, traités comme des rats !
on r’prendra le pouvoir comme gennaro dans gomorra !
génération talentueuse négro j’fais parti d’elle !
avide d’objets luxueux car lui étant fidèle !
on mène une vie tumultueuse tellement indécis on est
trouver sa voie et s’y consacrer mais est ce qu’il y a d’la monnaie… c’est pour charbonner que nous sommes nés, bourgeois ou défavorisés, du p’t-t dealer au gros bonnet, au matériel sommes cramponnés, vrai reconnait vrai qui a connu la galère avant d’être reconnu !
big up à tout mes négros sûrs qui m’ont soutenus !

- boulah

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