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lirik lagu tous les deux – brass

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[refrain]
je me dis qu’il serait temps que l’on oublie ces tensions, moi je n’avais jamais voulu voir la vie sous cet angle
j’avais pas dix*sept ans, que mon ennui s’étendait
t’as retrouvé la flamme en moi que j’ai trop vu s’éteindre

[couplet 1]
cette voix intérieure est pour moi un boulet je connais tous
les secrets des mots qui pourraient te bourrer le crâne de bêtises
a quoi bonsi la mort qui viendra nous emportera tous les deux ?
toi tu m’avais menti je le rappelle, et pour m’en tiré je partais
j’ai pris la bonne décision maintenant que je vois que vous avez les dents qui rayent le parquet
quand les uns trouvent du réconfort dans les cristaux, d’autres dans leurs convictions antéchristique, toi dis*moi qu’est*ce que tu fais quand tu es triste ?
pour ma part c’est ce qui fait que j’écris ce titre
cette trahison a pressée un départ incident, tes excuses me paraissaient fausses j’ai répondu par un silence

[refrain]
je me dis qu’il serait temps que l’on oublie ces tensions, moi je n’avais jamais voulu voir la vie sous cet angle
j’avais pas dix*sept ans, que mon ennui s’étendait
t’as retrouvé la flamme en moi que j’ai trop vu s’éteindre
j’avais, j’avais
même pas dix*sept ans à l’époque mais
jamais, jamais, j’aimais
me dire qu’on était potes tous les deux
tous les deux
tous les deux
tous les deux
tous les deux
tous les deux
tous les deux
tous les deux

[couplet 2]
il est très rare que je me dévoile mais soyons clairs des fois tu me déçois. non soyons clairs, invité dans les soirées : la dégaine est
soignée, la moustache est soyeuse
dans les moments douloureux j’avais connu des
bads, t’as déjà retrouvé mon corps livide comme une épave
et tu m’avais carrément trouvé trop nul et paf!
t’as eu raison, il fallait vraiment que tu me colles une baffe
le succès n’apportera rien à un homme qui mène sa quête
je préfère le corps de ma femme à celui d’anissa kate
elle avait besoin de voyages, donc on a pris la volkswagen
puis roulé dans les rues où l’on se plaisait à zigzaguer
amitiés dilettantes, et mon esprit est en lutte
a trop jouer on fini par griller ses cartes..
mais j’ai plus dix*sept ans, cet ennui ne s’étend plus
pourtant vois*tu cette étincelle qui brillait s’éteindre?
j’aurais du savoir qu’on s’éloignait, toi ce que j’entends par “défunt”, qu’importe j’en témoigne
pourquoi tu partais loin quand tu me voyais? l’absence est un meurtre effroyable dont tu portes les artefacts, même que des fois tu me mentais lorsque tu avais peur de te dévoiler

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