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lirik lagu sentiments s’alignent. – butor répressif

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[1ᵉʳ couplet]
l’masculin bascule, quand il voit un nouveau cul, sans pouvoir éjaculer dessus
créant la jaculation, craignant à présent, un nouveau refus, il devient l’abstrus des sorcières et sa saudade s’emble abattu
le point de bascule se situe à l’arrière*garde des femmes, de par laquelle, elles gardent leurs chiens de gardes
au même degré que ce que leur attribue la culturе, sans occulter, oh non pas leur lippu
cettе partie où même les émasculés ont l’habitude de se mettre à nu pour y avoir
la bite dure, c’est culotté de leur part quand même !
porter des habits ridicules, pour ces rats d’écume, c’est assurer leur radicule !
voici leur sinécure, au pinacle des traites, on trinque aux tétons !
voici le point culminant des émotions
la mort lente, accroche au cul de la mort subite
l’attente orbite, autour du couple qui repose sur bite
l’âme atteint de ténuité, s’effrite quand l’improbité arrive avant la cellulite
alors la bitension s’abrite sous le regard lointain, sans plafond, s’élèvent les stalagmites. (1000 mètres plus loin)
pour toucher les rayons si chauds, si fin
les piques habitent dans ce qu’on appelle le tourbillon sans fin
le tourbillon sans fin
de ressasser, que j’débite, sous elles
et même sans ailes, j’grimpe à ce froid infernal, sans air b*st**l
bien sûr que je voulais tout lui faire dire !
qu’importe si elle fait une attaque
que j’aimais ses zygomatiques
que le passé compte pour mon espoir devenu dystopique
comme à sparte, mes souvenirs sont dyarque
contraignant mon auto*critique à devenir bucolique
femmes inoubliables, oxydent plus mes pensées systoliques
si stoïque, je n’pensais plus que ça arriverait, ces soirs si nostalgiques
au lieu d’être asthénique, je promène de plus en plus ma bête
l’excuse est d’être plus sthénique, j’lui transmets ma dette
d’un air laconique, j’emmerde l’être ithyphallique pris/à/pique
pris à temps, où à cours, le temps
j’ai offert 20 minutes, pour notre futur enfant
la seule erreur, fut mon soliloque
la prochaine qui gigote, sera disloqué
en rappelant à la barre, mon rire sardonique
une dernière fois à la charge, contre son existence mnésique
[interlude]
(lutte, lutte, lutte grecque, grec, moi, dieu grec, moi, moi, moi, moi !)

[pré*refrain]
acrimonieux, les courbes s’abritent
l’crime odieux, c’est le cri aux dieux
pour les grecs antiques
pas de répit pour le sport olympique
apriori, la pratique enlève notre partie patraque
beaucoup de patriotes, peur s’empare de leur éternité
semperfi au refrain sempiternel, “où sont*ils ?” non pas: “combien sont les ennemis ?”
peu terrible, le courage reporter au sur lendemain, vous êtes pitoyable ! (hein!)

[2ᵈ couplet]
thésée vous hais ! t’es dévoué à l’échec d’être voué
d’en haut
davout s’arrache les yeux
dévergondés, les jeunes s’prélassent des vieux
dans l’ombre
davos arrache nos avenirs
d’applaudiss*m*nt, les branques nourrissent les écornifleurs
thébaïde l’idéal, ouais guy, on t’offre d’être intrépide
dilapide*toi l’*n*s en attendant qu’une compagne t’y accompagne !
dépêche*la, de te fournir un gus !
amphiarès, né pas si son père n’est pas, tout seul
donc n’est pas sans elle, qu’il n’ai pas sa femme
de toute façon, tant qu’il a son usine qu’il hait !
d’essors ton lait décide, petit à petit, puis, je te laisse tomber
pas sur tes fesses, qui me permettent de me vider
primauté sera mise sur l’adresse de sa prise de logorrhée
de combats, il naîtra peu commun, d’affrontements, il sera surplombé
d’importances à son inconfort, les mots juste pour seule compagne
batêche! sacrebleu ! c’gosse va y goûter, les envies d’servir sur dames et s’y imprègne
des esprits, ses soutiens, pas ses soucis, éphèbe rejette la duègne
en montrant qu’elle est indigne, les pères tremblent devant son éther
pas de besoin sanitaire, sensible à la réussite de son hégémonie délétère
fière d’être impair, surtout fière auprès de son père
légation de bréviaire, pour vitupérer sa belle guerre
plus de place pour considérer vétilles, victime qu’il atterre
il s’exprimera en vertudieu ! en vertu des kères, que d’esp*ce pour arès

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