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lirik lagu freestyle the purge – corbuland

[paroles de “the purge”]

[refrain]
[?] les bacqueux trainent tard le soir
on fait des trucs most, most, remplis d’sales histoires
c’est chacun sa mort, mort, c’est chacun sa gloire, gloire
c’est chacun sa mort, mort, c’est chacun sa gl—
[?] les bacqueux trainent tard le soir
on fait des trucs most, most, remplis d’sales histoires
c’est chacun sa mort, mort, c’est chacun sa gloire, gloire
c’est chacun sa mort, mort, c’est chacun sa gloire

[couplet 1]
j’compte sur plus personne, j’t’écoute pas, toi, tu mitonnes
après un calumet, les mauvais esprits me raisonnent
ça passe sur l’parisien tant que c’est des kilos et des tonnes
on est plus des mômes, tout l’monde veut sa somme
en bas du bât’, bât’, son à fond dans l’4×4
nique les keufs, les voisins, on est rhabates
découpés d’la résine dans un appart’
bas les couilles, on a tout et même des meu’*ar
qui veut la rre*gué ? nous, on a fait que ça
on est mal aimés, tu vois pas ou quoi ?
j’aime faire de lové, compter ma kichta
toi, tu racontes quoi ? on est venus chez toi
y a d’l’argent qui m’appelle
même pas d’temps pour les femelles
dans l’lotos ou jack daniel
y a tout c’qui faut, c’est nickel
partez d’ici, vos grand*mères
courez sans guetter derrière
j’aime les billets jaunes et verts
j’aime les billets jaunes et verts
on fait passer des tonnes
baiser ces tass*pé trop bonnes
9.5 je garde, c’est la zone
on vend du sh*t, des bonbonnes
de la [?] dans mon jeans
normal je passe la douane
deux*trois barres sur mon spliff
c’est d’la frappe, ça t’étonne
elle et moi aussi juste cette nuit
j’l’ai chée*bran, qu’est*ce qu’elle est conne
j’suis dans l’binks, j’roule un cône
spliff sur spliff, j’enchaîne
tu m’parles de tes frères, ramène
j’suis vraiment chaud, t’as la haine
wallah, tu fais trop d’la peine (miskine)
c’est chacun sa mort, mort, c’est chacun sa gloire
la*la*la concu’, on la soigne
et comme on l’assassine
si tu veux pas qu’ça saigne
bah, écoute mes consignes
elles aiment tous c’qui vaut cher
pas besoin d’te faire de signe
et des kilos de br, [‘caller ?] chez la nourrice
le charbon, c’est fatiguant
mais j’aime pas quand y a pas d’argent
j’roule un joint et sale colonne
et sur l’terrain, j’suis nonchalant
on s’aime pas donc ça part en couille
et là, et là, ouais, tu quines
tu mouilles, tu mouilles comme une queen
je garde city, ça t’tartine
le jour on part aller au bobo
j’visser encore à 52
il m’reste huit minutes dans l’bendo
il m’reste des dix et des zeu’*dou
ferme, l’avocate, donne les sous
donne les sous, ouais, donne*moi tout
les billets, ils sont pour nous
j’recompte, j’recompte, j’suis comme un fou
pas besoin nous envier (toi)
va faire ton papier (casse*toi)
j’ai pas l’temps t’épargner
si tu touches un reu*fré
je viens d’la commune
putain, ouais, c’est ma cité
je viens d’la commune
putain, ouais, c’est ma cité
9.5 je garde que des loups
on rentre chez toi, on pète à tout
j’ai les gants, j’ai la cagoule
les meu’*ar l’arrière du [?]
j’enchaîne les [?]
je pense qu’à mon [?]
j’ai fait quatre fois l’tour du bendo
ces fils de pute s’déguisent en clicos
[pont]
[?] les bacqueux trainent tard le soir
on fait des trucs most, most, remplis d’sales hi—

[couplet 2]
matricés comme migos, parle en cas si tu veux ta dose, dose
parler sur mon équipe, poto, dis*moi comment tu oses, oses ?
tous vénères comme les blues, vénères comme les chicanos
[?] l’argent du rrain*té, [?] dans un gamos
assez, maintenant, cours après
j’aime pas ces gens ni les côtoyer
dans l’gamos j’sors du [?]
visser, visser qu’la soirée
j’me trill, j’me trill, j’les écrase
dans la vie c’est soit pile ou face
au quartier que des chiens d’la classe
[?], j’me casse

- corbuland

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