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lirik lagu en i – c’typeencostume

check
c’matin, j’suis parti d’chez moi, hein
c’matin, j’suis parti d’chez moi, hein
c’matin j’suis parti d’chez moi, hein
et ça m’a pris comme une putain d’envie d’envoyer l’106 [?]
assonance en “i”, ducoup j’le fais tranquillement vite fait
en gardant la main dans l’slip
j’ai hâte de voir c’que t’en dis
bon j’avoue, j’ai menti
en vérité quand j’écris
bah j’me concentre à la mort
ouais y’a qu’ça qui compte
j’t’assure dans la vie j’anticipe un peu tout
surtout nada
à part le prochain kick, j’fais ça avec la précision d’un scientifique
putain le bordel devient pas mal, ouais
sur ce tatami, j’tе mets des patates
si j’rappе devant ta tatine
tu finis avec un cousin
et elle auras déjà gobé
avant d’avoir criée “à table”
oui je sais c’est salace
bref, allez passons
tu peux ranger ta marchandise
la drogue ça m’a cassé les couilles
ça revient à étaler d’la chantilly sur d’la merde
mais j’compte pas non plus donner des leçons, non
c’est pas mon doss si tu t’la mets
t’as tes problèmes, j’ai les miens
d’ailleurs on en a surement en commun
car entre humains, c’est fou comme on s’ressemble
t’es plus merdique que des bâtiments de drancy
au musée du quai branly
on a le même génome à quatre*vingt*dix*neuf pour cent
alors dis toi que quand tu fais l’enculé, bah t’es entrain t’auto*niquer
perso ça m’a jamais fait kiffé d’manipuler les gens
c’est un teubé celui qui pense qu’à la fin du film
le ventriloque s’en tire
ce s’rait comme vouloir une relation consentie
avec une poupée en cire
ici, ici tu veux réussir
askip et bah il faut rester gentil avec les photographes
putain c’est mort, j’compte pas défigurer l’propos d’base
t’es fou ou quoi
j’reste imperturbable à la maitre hu, boy
j’suis dans mon coin
et j’fais du bruit vu qu’le vide c’est ma hantise
pour moi ça va avec sentiment triste
au moins je transforme mon seum en art pour éteindre l’incendie
sans ça j’ai l’impression d’être ankylosé dans d’immense cage
de janvier à dimanche
adrien s’est senti bosser dans cette immense cage de janvier à dimanche
check
plus kandisky que bansky
plus kino der toten que tranzit
plus l’étranger que candide
plus louis armstrong que franck sinatra
ah gars, j’suis plus guerrisol que balanciaga
r.a.f de porter les meilleurs sapes
j’reste complétement obsedé par la sémantique
ainsi que par tous ce qui entoure les mots
de près ou de moins, près
c’est vrai j’y trouve un coin vert [?]
même si c’est devenu particulierement dure d’articuler
depuis que la chirurgienne c’est occupé de ma mandibule
mais nique ça, j’ai des putains d’anticorps
intransigeant avec le keumé d’vant la glace
quand il s’agit d’gueuler d’vant un mic
et le reste du temps
bah j’suis pensif, anxieux
j’ai une piscine à boules dans l’bide
ouais, j’ai les mains moites
la bite sèche
j’péra pas pour gérer amandine, margot, julie, clémentine ou qui sais*je
même si ça m’dérangerait pas d’chécra ma crème frangipane
dans une fente fine, ouais
cette phase était sponso ferrandi
mes lyrics dans ton veaucer, miam, miam, friandise
trouve*moi emmitouflé dans une toile de flemme
je pr*nonce souvent les mots “travailler” et “tanpis” dans la même phrase
paradoxalement, j’ai aussi une détermination tangible
qui prends de plus en plus de place
mais ne rien faire c’est inspirant, bilan
j’ai toujours pas résigné mon abonnement divant [?]
sort une p’tite prod, je ne peux pas dire “nan”
j’vibre en kickant bien
ils veulent me faire, qui ne tente rien n’a rien
j’mets pas 10 balles si c’est pas sur adrien
mais allez, nique sa mère
je rallume un teh
du moment qu’j’fais c’que j’ai à faire
deux albums ou une balle dans la tête
je sais c’qui m’reste à faire
et j’leur ai dit que j’travaillais
j’fais qu’pilonner à vélo
j’kiff paname, j’mis balade
heureux de voir qu’on sait tous très bien
comment faire pour gaspiller l’temps libre
mode de vie répréhensible
ça s’enivre
s’enquille des teils de coolal jusqu’à choper l’engine
à cligny en cours, les dealers font la cour aux ienclis
tandis qu’à paris centre, aux alentours de la station sentier
des artistes en herbe gobent des skittles
avoir la rétine dilatée, ça les faits kiffer
et pendants c’temps là, le yi [?] s’inspire avec le nez, ouais
moi ma drogue, c’est l’rap
moi ma drogue c’est cette putain d’musique
et j’adore quand elle est vrai, ouais
alors j’écoute pas ce rappeur masqué, c’est un bandeur de cité
tu vous très bien d’qui je parle, pas besoin de le citer, hein
adolescent, j’me faisais niquer par les grands
adrien c’est un chat
j’me suis déjà sauvé
et pour sauver mon honneur j’me suis déjà battu
mais je viens pas faire la rue
je regarde ratatouille sur mon ordinateur
j’suis dans ma bulle auto private joke
toute ma vie en équilibre sur une raille d’métro
et c’typeencostume il est bon, ils se sont passés l’mot
j’me fait masser l’dos, j’ai mis assez d’moi
j’ai mis assez d’moi et j’trouve ça rrant*ma
j’passe mon temps à m’définir
alors que j’ne suis qu’une coquille vide comme toi, hein
dans l’fond p’être que ça m’dérange pas
un pauvre gland qui frime doubler d’un intelligent timide
calé devant mon écran avec du pop*corn
j’golri devant des meufs sous misandrie
les gars en p*sse au lit
pendant qu’les discours nuancés sont au niveau des p*ssenlits
c’est genre “on s’fait la guéguerre entre nous, ainsi font, font, font”
la banquise pendant ce temps.. hein
alors y’en a c’est des cisgenre, y’en a ils ont 6 genres
et j’lâche un bisou pour mes camés cramé au sh*t
j’ai bon nombre de reufré qui n’ont jamais trop su parler aux chattes
si tu veux, j’donne des conseils mais ça vaut rien la théorie
il fait beau, hein, hein
il fait beau, j’flirte un peu
j’presque content, j’rappe bien, j’fais un câlin à maman
tout est carrée dans l’axe sauf cette fin d’rime
j’suis singulier, j’ai du talent, ils ont faim d’moi
ah et au faites, mon gars, ma go
en c’qui concerne les conseils
crois moi, j’en ai un tas que t’oublieras dans la seconde, bon
j’suis certainement le millième connard qui t’le dis
mais j’te redis, ouais l’important c’est d’avancer
sinon tu t’enlises à force de t’languire
moi j’ai choisi l’rap poto
sans ça j’ai l’impression d’être ankylosé dans d’immense cage
de janvier à dimanche
adrien s’est senti bosser dans cette immense cage
de janvier à dimanche
de janvier à dimanche j’ai l’seum
ça fait longtemps j’ai l’habitude, hein
j’me sens pas bien dans mes paires
en vrai de vrai, j’me sens mort, j’me sens mort
j’ai l’habitude et ça fait des années
qu’on me félicité cinq fois plus que les autres
mais je rentre encore en regardant l’sol
j’sais pas c’que, j’ai pas compris, j’suis un bouffon
j’sais pas c’que, j’ai pas compris, j’suis un bouffon, putain
j’ai dessiné un point d’interrogation dans ma chambre
vert comme le riddler, j’rêve à la don quichotte
tabac dans ma chambre et si on m’a péta mon feu
j’técla ma garretci avec la plaque chauffant de la kitchen, jeune
tanguy inventif, j’partirais de la maison
quand j’aurais 4 chiens et un plan bif [?] et allez mates, mates
un peu le bail, placements bizarres
je kiffe ça, j’esquisse un smile
bah ouais j’te sors des schémas rimes alambiqués
j’resplendie, qualité garantie, og comme l’antiquaire ou l’antiquité
c’est plus du peura, c’est des mathématiques quantiques, hein
des mains pour gratter sur le papier j’en ai quoi, trop, hein
common, common [?] non, c’est plus une trachée c’est une gatling
l’ingé fait un badtrip
l’instru m’fait une gâterie
bref, trêve de plaisanterie
mon dieu, qu’il est excentrique
c’est pas moi c’est c’t’étrange vie qui m’a rendu déganté, hein
la vie m’a rendu perplexe
j’te chie dessus moyennant financier
y’a d’l’or dans ce gis*m*nt pile en dessous d’cette merde
j’ai des pensées lancinante, crispante qui rentre entre vif
dans mon crâne sans toqué
parfois j’en ai rien à foutre, parfois je m’en fiche en p’tite quantités
beaucoup trop agité, je crois que je préfère faire de la manutention
que d’poser mon cul dans un amphi, défoncé dans un bureau
un directeur me dit “t’es sur une pente glissante”
j’aimais le skateboard et les pentes glissantes
on n’a jamais su se parler, le daron veut m’voir grandir
j’pense comme un gars sous champis
j’connais pas vraiment valentine
j’achète une pétasse au franprix
j’l’emmène faire un tour chez francis
juste avant de la remplir avec mon zizi extensible
t’as capté j’tais marginale, hein
t’as capté, j’tais marginale
t’as capté, j’tais marginale, hein
le spectacle a commencé, j’ai les yeux collés aux rideaux
t’as capté, j’tais marginale
le spectacle a commencé, j’ai les yeux collés aux rideaux
et si j’ai l’air béat, c’est qu’mon âme a une cigarette a la boutche
j’ai fait des pompes dans un marcheluzzo [?] au milieu de la cohue
j’me suis pas mis à trouver la vie étrange et dérangeante récemment
j’ai l’seum depuis minot
j’ai le seum depuis minot
hein, faut s’en sortir comme samuel dans c’film de tarantino
oh et puis nan
j’ai perdu la force de parler sérieus*m*nt
j’me calme au sh*t
quasi tous les jours depuis qu’j’ai 14 piges
j’emmerde ces droitards intolérant
et j’encules toutes ces feignasses de gauchistes
et rangé tous vos leçons de morale, hein
j’ai l’démon des gens qu’on fait les bons quasi toutes leurs vies
y’a qu’une parcelle de la population qui est capable de comprendre ça
je lui demande pas son avis, le grand public m’adopteras
sans ça j’ai l’impression d’être ankylosé dans d’immense cage
de janvier à dimanche
adrien s’est senti bosser dans cette immense cage
de janvier à dimanche, hein
j’en ai encore un peu
t’as compris j’ai l’seum
t’as compris j’ai l’seum
t’as compris j’ai l’seum
t’as compris j’ai l’seum
et heureus*m*nt
souffrir ça rend riche de l’intérieur
tu veux tester, prend l’risque
j’aurais pas conscientisé tout ça
j’serais pas aussi grandiloquant
ouais j’l’avoues lyricalement j’me trouve géniale
je ne fais que des grandes prises de judo à la prod
j’envoie des pistes de ton logiciel de son à la morgue
et les mc se font gober comme des flanbys
putain j’ai tellement craché l’feu
j’me suis mécra mes gencives
mdr, tu m’as pris pour un apprenti
qu’t’aimes, t’aimes pas, j’m’en bats les couilles
ça t’laisses pas insensible, hein
et si tu voulais écouter quelques choses d’autres franchement désolé
dans tes oreilles j’arrives en “i”
allez dis*moi c’que t’en dis
tu peux compter sans les répétitions ça fait 106
plus ou moins, enfin plus, plus que moins
j’ai mis du rab
allez la bise

- ctypeencostume

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