a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu medley discret – daar inc

[intro]
eh yo eh
si tu reçois j’espère tu capte b*tch
c’est turasel pour tout casser surtout la scène
eh ye ye

[couplet 1]
j’descends cette prod comme une piste de ski
j’veux que ces b*tch me stream
tes textes sur des post*it, ma vie sur un disque
raf de c’que les snitchs disent, ma parole vaut du biff aussi
et puisqu’on vit du ki, j’m’entraîne au sommet à la k!ll bill
avant j’étais discret, aujourd’hui c’est la même
mais j’évite d’écouter les hommes ravagés par la haine
on découpe la plaquette, c’est du bon chocolat mec
qui nous envoie sur namek, gars cette navette quitte la planète
gros si y’a la déter on crache le feu jusqu’à l’ulcère
depuis tout petit j’suis discret, j’suis dans la lune
j’peux crever à tout moment, la boule au ventre, j’suis comme la bulle d’air
moi j’suis dans l’ombre mais j’veux monter au rang des lumières
la nuit j’me réveille avec des habits sales
j’écris des 16 trop profonds, mes phases sont abyssales
ça parle de sales histoires ou bien d’assassinat
mais pas besoin d’être nagisa pour planter comme nabila (nan)
tu vas pas m’aviser, mon couteau j’aiguise
pour vite t’éliminer j’ai plusieurs lames dans ma levis
on n’achète pas tes disques, on cautionne pas tes vices
en plus tu sais pas viser, moi j’ai le flow d’artémis (ok)
[couplet 2]
je boxe avec les punchlines, tu sais qu’le stylo cogne
j’veux ma rolex mais j’ai pas leur time, donc j’mets mon style au propre
tous les soirs sous psychotropes, le rap c’est un psychologue
l’orage vient du microphone, tu captes, pas de tir au sort
f*ck, j’ai mis cette b*tch en cloque, mais dieu merci j’suis pas addict aux drogues
bloque quand y’a les flics aux portes, levé à six o’clock
et s’ils me chopent j’vais pas snitch, moi j’suis habile au poste
oui j’ai la cote car j’suis un type en or avec un style hors*normes
donc j’élabore un flow élastique, baise ta go en plastique
et j’mets tout ça sur le net pour générer la masse cliques
retrouves moi sur un tas d’sites, eh oui j’écris des classiques sh*t
j’ai roulé 4 sticks, même dans ma tête c’est la street
h*llo, même ma pétasse kick, askip
c’est frais, ouais c’est l’antarctique, moi j’suis un gars fantastique
mes gars sont sur la tracklist, j’envoie les tiens au casse*pipe
en soirée on balance nos impros sur des nas beat (enfoiré)
c’est une affaire durable, j’crée ma propre entreprise
nouveau flow quand je tise pour monter plus haut dans l’showbizz
ok on va leur montrer la ce*for, oui l’équipe s’déplace
voyage en business class, j’ai plusieurs montres sous la main
car je suis jetlag, toujours avec mes confrères (ok)
de genève jusqu’à montreux, qui va m’faire dire le contraire ?
tu m’pompes l’air, dégage, t’as faim ? on t’sert des baffes
fais gaffe si tu viens gratter ta place de concert, pétasse, car
c’est l’retour de la prose d’élite qui baise tout même vos progéniteurs
j’crame le mic, les prosélytes, j’suis discret face aux gros éditeurs
est*ce effrayant ou excellent ? j’sais pas
mais ma putain d’rime est payante et ton cul vend pas du rêve nan (salope)
mon flow c’est du tonnerre (ouais), tu respires plus l’bon air
depuis qu’j’suis dans la pièce tu vas jusqu’à l’embolie pulmonaire
on fait ce cheesecake, je vois tout comme un x*ray mais
avant j’étais discret, j’me répète comme un disque rayé
[refrain 1]
on fait ce cheesecake, je vois tout comme un x*ray mais
avant j’étais discret, j’me répète comme un disque rayé
avant j’étais discret, j’me répète comme un disque rayé
avant j’étais discret
discret, disque rayé

[couplet 3]
les putes s’engagent en politique, je sais pas si c’est trop l’éthique
ou si mon thème est clair alors dites moi si j’deviens trop limite
en équipe au micro mais petit j’étais un peu timide
j’fais pas crédit, ceux qu’ont du flow me payent en liquide
j’me sers ma part du jour, tes potes veulent le morceau d’l’année
on tourne en rond sous les tours ré*bou pour faire des morceaux carrés
avec eux on est barrés, moi j’ai pas d’reufs pareil
et depuis qu’les connais j’fais l’trajet place*neuve * palettes
j’vous lâche tout d’un coup mais je sais qu’personne va écouter
j’suis ken kaneki mais toi tu commets pas les coups
être sur mon tel ça m’a dégoûté, faire des tests ça m’a fait douter
j’te sers mon rap au déjeuner car tu digères mal mes couplets
j’suis à dam ou budapest, t’as pris ta dose, j’ai bu la tise khey
pas très bavard mais j’raconte ma vie sur la piste
j’ai dis avant j’étais discret, j’me répète comme une disquette
euh… pardon j’étais distrait, j’me répète comme un disque rayé

[refrain 2]
tu finira seul en cellule si tu penses au fric
mais moi j’suis là pour faire le miel comme une oligodendrocyte
gad*mn, il faut qu’la famille grimpe aussi
serrer des miss comme tom, ici c’est mission impossible (impossible)
tu finira seul en cellule si tu penses au fric
mais moi j’suis là pour faire le miel comme une oligodendrocyte
gad*mn, il faut qu’la famille grimpe aussi
serrer des miss comme tom, ici c’est mission impossible (impossible)
[couplet 4]
quand je crache sur ardisson c’est que j’ai fait ma part du son
moi j’écris en partie sobre pas des textes mais des partitions
si on s’évade de la fiction c’est qu’j’ai fait l’tour de la question
et si j’éclaire mieux ta vision alors j’ai rempli ma mission
j’manie ces mots du bout d’ma boca, tura aka l’acrobate
ton gars fait trop d’la peine, j’ai trop d’appels dans ma boite vocal
ok j’ai les yeux rouges dans l’aquarium c’est le trocadéro
je sens que j’me répète quand je tourne en rond dans mon bocal (frérot)
j’suis le poisson dans le cours d’eau, le poison dans ta gourde
j’suis dans la crème comme un coup d’soleil pour m’barrer j’attends l’jour de paye
b*tch y’aura pas de courte paille, et quand les doutes se mêlent au biz
on t’met des coups d’semelles et jusqu’à c’que tes couilles se perdent
j’ai pris la hache, si ya des lâches on les déloge
tu m’verras pas lécher l’carrelage, mon blaze est gravé dans la roche
j’ai toujours pas tourné la page, j’continuerai d’rouler ma bosse
ici j’suis un guerrier apache, j’connais le quartier comme ma poche

[couplet 5]
j’sors du ventre de ces putes comme de l’antre du cyclope
pour descendre les stups j’le fais sur periscope
ils voudraient voir mon skeud, qu’on discute, j’ai dit stop
y’a des cendres dans le stud mais c’était juste hip*hop
c’est tout, j’étouffe, quand je bé*flam l’anti*pop ré*bou
tu vas te prendre des coups, les gens t’ignorent
si t’as pas les anticorps en tes cordes, appelle qu’en masqué pour
pas qu’on te crame, écoute, j’casse les gens qui codent des antipodes
t’es gentil pote, mais reste en dehors de ça
j’ai pas la force à dosseh ni le bateau de mandossa
beaucoup d’entre eux m’ont déçu, mais moi j’ai gardé mon dossard
si j’veux je peux te crosser pour 10 keus et ouais mon lossa
t’es qu’un ti*peu qui bicrave, tej’ quand tes pupilles s’dilatent
tes vieux amis oublient qui t’es comme le riche de city lights
j’écris de justesse, des putes naissent quand des amis cannent
donc sur son cul j’laisse mon empreinte digitale
j’suis san goku et végéta (les deux), va check vg, gars
dans mon slip c’est pas la jungle mais ça sent beaucoup l’végétal
pour quelques pesetas ils vont visiter ces tasspé
moi j’aime pas cet aspect, y’a des choses qu’on n’peut pas acheter
prévois des sparadraps gars si t’agis par lâcheté
j’étais discret, j’voulais manier la mana comme hp
depuis c’temps j’ai level up, écoute mes rimes en hd
moi j’ai pas qu’une équipe, comme ken appel qu’en masqué frère

[refrain 3]
ya ya
mon esprit plane quand l’herbe je fume
ok je freestyle au clair de lune
mon esprit place quand l’herbe je fume
c’est juste un freestyle au clair de lune
et mon esprit plane quand l’herbe je fume
ok je freestyle au clair de lune
et mon esprit plane quand l’herbe je fume
ya, freestyle au clair de lune
et mon esprit plane quand l’herbe je fume
et je freestyle au clair de lune
ya, mon esprit plane quand l’herbe je fume

[couplet 6]
j’écris à genève ou a kathmandu avec mon squad, mon crew
avec mes gars j’ai fait les 400 coups, au mic ça part en couilles
loin de ceux qui s’tapent en groupe, mais chez oim y’a pas d’embrouille
posé on rap en boucle et mon passe*temps rend mes parents fous
j’ai l’talent pour gratter du fuego, ok ouais j’avoue qu’c’est frais gros
à la base personne m’écoutait, today c’est l’deux double zéros deux
qui prend l’mic pour les coucher, une latte, commence à tousser
deux lattes, tu sais plus où t’es, trois lattes, t’arrêtes de bouger, bouche bée
genre tu kiff mes couplet, ok j’vois qu’tu fermes les paupières
c’est bon, tu quittes l’atmosphère, genre mes paroles t’ont touché
genre là c’est bon t’es boosté, on a roulé un gros zdeh
j’voulais pas toucher tout c’blé mais n’pas vous ressembler ça coûte cher (cash)
j’arrive en forme comme si j’venais du compton
j’ai pas fait la moitié des trucs chiants à faire qu’on m’ordonne
si t’as fait des vues, calme toi, si t’as fait des thunes, donne, donne
elle dit qu’on n’devrait pas s’voir, mais il me reste des condoms
la vie c’est dur comme le barreau du p’tit matin
j’écris des hits à 5 du mat’, très précis comme un tir alpin
turasel en replay, partout sur les streams
j’ai la streed cred d’un x*men, mais discret, tcht, disque rayé
de quoi tu parles ? même ta famille m’a validé
tu disais qu’j’pourrai jamais rapper, qui l’eut cru, c’est arrivé
on sors en kuruma blindée, ouais c’est ça la vie qu’j’mène
ton rap c’est le corona, ça nous donne la migraine
j’fais pas partie des gens qui mentent
y’a des accords qui diminuent, y’a des valeurs qui s’incrémentent (y’a des valeurs qui s’incrémentent)
les bons présidents sont dans l’ciment
les plus riches pourraient sauver l’monde, comme quoi c’est pas l’argent qui manque

[couplet 7]
j’arrive basket au pied comme si j’faisais du foot
tu fais du beach*volley, tura le pistolet qui va te shooter
j’vise le nez sans discuter et y’a ton sang de c’coté
gros tous les grands disent que t’es pas disculpé, j’viens te scalper
moi depuis p’tit j’ai qu’une idée en tête : avoir le qi des grands prêtres
le 3e œil, sans prendre de pilules, des amphètamines
des restes de c dans les narines, qu’en penseraient tes ancêtres ?
une rime carabinée, bim, et mon texte est rafistolé
retournes la dashcam, c’est mes gars l’accident
t’es juste un grain d’sable, moi j’suis la galaxie dans l’esp*ce
et j’passe un stade, c’est la putain d’catharsis quand j’rap
j’suis toujours à l’ouest moi, mais c’est pas l’occident
ok yo ,yo, j’fais pas du rap mais du yoyo
j’démonte ton équipe en solo, polo ralph ou caïman
rap costo, je m’abreuve je m’alimente, gros !
flow en cascade infinie, j’t’ai dit ta feuille va prendre l’eau
j’suis dans l’sac de couchage, le son fera du bouche à oreille
j’m’ennuie quand ça parle de cash ou tass, je casse encore un bouteille
le daron demande des nouvelles, mais j’recherche encore l’innovation
en manque d’inspi et mode avion j’ai encore une acouphène
n’attends pas que l’inspi vienne et si j’me pique j’ai l’aspivenin (wouh)
frôlon, je brasse des yens eh ouais dans ma team que des félins
j’écris mes textes à vélo, je roule des pets sans les mains
et si j’m’en tire à bon compte, moi j’suis pas l’premier des gredins (nan)

[refrain 4]
les te*pu sont partout je l’assertis, hey hey hey
toujours en première ligne comme sur clavier azerty
une fois dans la pyramide c’est difficile d’en sortir
et même en été sors couvert car dans ma rue les lasers tirent (paw paw)
les te*pu sont partout je l’assertis, hey hey hey
toujours en première ligne comme sur clavier azerty
une fois dans la pyramide c’est difficile d’en sortir
et même en été sors couvert car dans ma rue les lasers tirent (paw paw)

[couplet 8]
si tu fais l’fou on t’assassine, j’m’en bats les couilles de la sacem
j’verse tout ton sang dans la bassine et j’te finis au jack daniel’s
mais j’t’ai d’jà dit, j’suis plutôt discret et mon rap c’est la m13
au mic j’ai pas d’adversaire, ils s’planquent tous dans les vestiaires
laisse faire le pro, j’vide mon chargeur sur la caisse claire
qu’est c’que t’espérais ? mes rhos prennent que les sesterces
est, ouest, j’navigue, mais retourne pas ma veste levis
ma vie dans un western, elle baise sans anesthésie
tura le mc, magenta et cyan : mc
tu vas m’écouter même si j’écris pas ça pour
percer
trouve moi sur mc, au studio ou en rc
sur p*rnhub ou sur m6, ma vie un film sur netflix
même*euh mon ex flex, on s’est quittés genre express
t’as un peu trop la confiance, réglage de comptes dans un tex*mex (paw paw)
seul face aux némésis pendant que tous ces mecs stressent
que leurs futurs gosses naissent fils de pute, c’est pas s*xiste ?
(hein, sérieux, c’est pas s*xiste ?)

[couplet 9]
j’rap en 4 mesures, on a du scotch en cas d’blessures
tu veux rajouter ton grain d’sel mais sur mon dos tu casse le sucre (ouais)
je squatte le stud même si ça rapporte pas max de thunes
mais j’aime mieux faire ça d’mes journées plutôt qu’un taf de pute
ma vie un film, si y’a un but ici on a le sens critique
tu dis qu’tu joues les carte sur table, mais caches un carré d’as de pique
j’aime pas ta face de uq, on va te hack si y’a un hic
pas d’anti*pop, tu fais ton truc comme à l’époque des bars à pipes
ok j’ai pas de plan d’attaque, gars si tu viens, tu prends ta claque
dans mon clan je fais bande à part, à part quand on boit dans l’appart
j’écris dans la marge, mais j’ai pas la daronne à bart
on vit pas dans le même bateau, mais si t’es chaud monte dans ma barque
flow à la carte, j’suis pas méchant mais conquérant comme bonaparte
j’les mets cord*da quand j’accorde plusieurs cordes à l’arc
rajoute la popo dans la batte, si tu m’écoutes ap, prends la porte
si y’a un keumé qu’a mes tech au micro, qu’on m’l’apporte

[couplet 10]
si tu t’entraînes à être lucide, le marchand d’sable te vend du rêve
mais le gars du squar vend du sh*t, alors peu vont s’aventurer
dis moi parmi tes relations, combien vont durer ?
nous on voit la vie comme un jeu et les plus riches inventent des règles
donc j’veux pas lancer les dés, ptetre qu’ils ont truqués les deux
s’ils proposent de l’aide c’est pas pour grimper les ladders
f*ck être un des leaders pour des dollars, ou l’un des leurs
tu nous prêtes pas l’oreille, alors viens pas demander l’heure (alors viens pas demander l’heure)
et s’évader comme un délit
ils voudraient qu’on s’éloigne de nos rêves car c’est pénible
j’taf chez moi, loin de leurs castes débiles
on s’imagine gérer des litrons, alors on boit des litres
hélas, le joint tourne, la beuh s’tasse, peu d’places
et ceux qui s’aiment se l’masquent, alors j’écris, mais l’heure passe
l’époque veut qu’on mette des télés à la place des billes
je l’arrache, moi, j’tourne pas la page des livres
eh yo
wouh
okokokok écoute
ya ya ya

[couplet 11]
j’vis ma vie avec désintérêt comme ça j’suis pas déçu
et j’obtiens tout c’que j’veux pas : l’amour des tass, des thunes
car si tu t’bats pour tes rêves, la vie te crache dessus
c’que tu désires entre les mains d’un autre fils de pute
j’me suis détaché d’mon égo, d’mon espoir, d’mon désir
d’la séduire, j’ai même cédé à ma propre lâcheté
rappelle toi de c’texte, rappelle toi cette salope l’a jetté
les premières erreurs, ouais ça commence à notre âge mec
besoin d’esp*ce, pour laisser place à des spasmes
qui font surface depuis qu’j’ai du vécu et que j’encaisse, lassé
elle a le même casier, j’lui laisse un mot juste pour demander :
“t’es dans quelle classe ? j’espère tu foires tes tests tasspé !”
tu feras pas long feu si tes comme moi et qu’t’as un casier vierge
envie d’tout casser gars, alors on crame des cierges
alors on gratte des 16, alors on crache des textes
j’ai reçu assez d’pierres, j’espère que là c’est clair (paw paw)
j’espère que là c’est clair ya
j’ai reçu assez d’pierres hey
on fume la wax des tehr
écoute, ya, ya

[couplet 12]
punchline sur punchline, même l’ingé*son est offline
j’fais l’amour au mic, tu peux m’appeler dominique strauss*kahn
j’pe*ra que des grosses lines, et gros j’casse tes côtes
lâche des proses classes et trop sales qui cognent fort à la boxe thaï
ça c’est l’anecdote mais assez cordiale babylone gagne
gars je casse les codes des classes d’école, j’suis dans la bonne vibe
oui c’est déprimant mais donne du love avant qu’tes gosses partent
et qu’on devienne des bandits, des brigands avec des grosses barbes
trop de problèmes, trop d’maille, trop tard, trop d’imposteurs
j’te vois sur mes posters ou ma reus à force de trop t’voir
j’passe mes nuits sous drogue, car tous mes rêves c’est des cauchemars
j’rap comme de funès, tout en finesse, ramène mon oscar, biatch

[outro]
ramène mon oscar, biatch
hey hey hey hey
turasel, daar inc
wouh

- daar inc

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