lirik lagu le jour me nuit – deadi
[paroles de “le jour me nuit”]
[intro]
ok, han, dala [?] dans l’âme
c’est le d*e*a*d*i, han, allons, allons*y
han, han, alors, alors, allons*y
allons*y, allons, allons*y, gouiller ces saloperies
[couplet 1]
cultivant recul et reclus jusqu’à la rupture d’anévrisme
d*e*a*d*i mène la vie d’une machine à écrire
aussi visqueux qu’une anguille qui glisse entre les mailles du filet
de la maille et kick des lyrics salées, sale et maléfiques
ici, le rap, c’est dur, y’a pas d’astuce, travaille ta plume
c’est soit ça bute ou soit ça pue, si c’est “pas mal”, c’est nul
et, si tu crois qu’ça paye, s’te plaît, arrête ta blague
ça fait une paye que j’paierais ma peine à même la paille
un sacré bail que j’baigne dans ces saletés d’marécages
lassé d’voir le moral de la mère stagner à marrée basse
“être un vrai”, j’sais pas c’est quoi, parle à mon cul, ma tête se soigne
je n’suis qu’un mec loin d’être intact et incapable de suivre un thème
un tête*à*queue sans queue ni tête et le secteur est quadrillé
je n’suis pas né mauvais, je l’suis devenu par solidarité
traumatisé par ceux qu’la largeur dans l’art fait qu’de saliver
si mes amis m’aimaient pour mon salaire, ils me haïraient
[refrain]
le rap : ma p’tite mort, mon meilleur ennemi
mon pire pote, né sous x, fignolé sous hypnose
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
encore un magicien de l’ombre encombré de ses mauvais tours
le jour me nuit et j’attends la nuit pour me montrer sous mon vrai jour
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
[couplet 2]
t’as voulu d’l’humanité, on t’a répondu : “y’en a plus”
avec la même sincérité qu’un invité d’chez delarue
y’a eu l’*rs*nic et l’cyanure : moi, j’évacue de la pénicilline
mixée à des hallu’ si tristes et limites kitchs, et éjacule un
crochet d’wanderlei contre la joue d’saku’
[?] comme aznavour, j’savoure ma vie d’bohème
caché sous une capuche de [?] plus d’problème
si nul en maths qu’il n’y a qu’ceux qui comptent à mes yeux qu’je calcule
est*ce que t’as vu l’état d’mes yeuz’ ? ma colère est paresseuse
et s’introduit des produits vénéneux par intraveineuse
ici, les grands [?] qu’des armes blanches
maint’nant, les p’tits rêvent d’armes à feu et d’sniffer des rails de blanche
désolé mais [?] pénétrer
et ceux d’face ont répété : “j’doute que tes larmes le changent”
bête pensante sans stress et sans pense*bête, j’encaisse
vos grandes règles, les transgresse, te l’retranscris et l’transmets
[refrain]
le rap : ma p’tite mort, mon meilleur ennemi
mon pire pote, né sous x, fignolé sous hypnose
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
encore un magicien de l’ombre encombré de ses mauvais tours
le jour me nuit et j’attends la nuit pour me montrer sous mon vrai jour
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
[couplet 3]
t’épargner serait trop con [?] de son pochon
en effrite le contenu et s’extirpe de son cocon
déchirer comme une vierge nécessite de réfléchir
chaque rime de mon texte reste, résiste comme une flèche
mais pas celle de cupidon d’ce bidonville aux piloris
qu’il vise au pif, ironie d’mes opinions d’bicot vif
c’qui m’motive, ma gueule : ignorer les conflits
m’circoncire la gueule, un beat en guise de guillotine
c’pays sous antibiotiques comme les cyclistes [?]
où les bédos sont souvent gras et la marmaille au congélo
quand j’articule mes sales manies sur la ‘zik par habitude
et j’ai pas eu b’soin d’matricule pour être un sacré numéro
appelle*moi “robert paulson”, gosse du “projet chaos”
[?] le gong sonne, allez, à ciao, bonsoir
[refrain]
le rap : ma p’tite mort, mon meilleur ennemi
mon pire pote, né sous x, fignolé sous hypnose
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
encore un magicien de l’ombre encombré de ses mauvais tours
le jour me nuit et j’attends la nuit pour me montrer sous mon vrai jour
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
[pont]
c’est le rap, ma p’tite mort, mon meilleur ennemi
mon pire pote, né sous x, fignolé sous hypnose
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
encore un magicien de l’ombre encombré de ses mauvais tours
le jour me nuit et j’attends la nuit pour me montrer sous mon vrai jour
ici, l’humour dépasse les tours, mec, les vautours volent bas
et demander pardon et pardonner ne pardonne pas
[outro]
han, d*e*a*d*i, le style est illégal et stylé, qu’est*ce qu’il s’passe ?
le flow [?] les faux
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