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lirik lagu sur le pont – dents tranchantes

[refrain 2x]
je suis sur le pont, ils m’appellent
je brandis le son qui martèle
et je voudrais bien qu’ils m’apprennent à tenir les longes de la peine
un jour faudra bien qu’ils admettent que l’exil existe dans les têtes
toujours essaieront de t’la mettre, à bout portant, à moins d’un mètre
c’est important de faire la fête jusqu’à en finir dans les toilettes
pour changer vitessе de la bicyclette mais jamais l’élèvе ne dépassera le maître

[couplet 1]
jamais l’élève ne dépassera le maître
jamais la trêve ne déplacera la haine
jamais la sève ne trompera ces traîtres
jamais le sang ne se donnera la peine
et j’suis partout, gros j’ai pas le temps, j’rappe en 4 temps dans la décadence
f*ck tes cadeaux, ça fait 4 ans que je baise tout, il me faut des vacances
fait de vagues transes, nique vos vaines traces
sabre à ventress dans le bas ventre
dans ma peine brasse, pas que le bat qui blesse
forêt d’argent, nique un penthouse
j’écoute un peu d’house dans les bas*fonds
peu d’house dans les bas*fonds
23 qui te parle depuis le baffon
j’suis def, j’suis dans le plafond
j’ai mis les pieds dans le plat à fond
si proposé comme ça, à fond
misères qui sont bas à fondre
nouvelle génération à pondre
[pré*refrain]
et j’fais mal un tas d’bails mais ce bail j’le fais salé
j’me taille puis j’reviens faire du sale avant d’aller plus mal, avant qu’deux nuit sans plumard ne puissent plus m’aller, avant qu’ils m’appellent

[refrain]
je suis sur le pont, ils m’appellent
je brandis le son qui martèle
et je voudrais bien qu’ils m’apprennent à tenir les longes de la peine
un jour faudra bien qu’ils admettent que l’exil existe dans les têtes
toujours essaieront de t’la mettre, à bout portant, à moins d’un mètre
c’est important de faire la fête jusqu’à en finir dans les toilettes
pour changer vitesse de la bicyclette mais jamais l’élève ne dépassera le maître

[couplet 2]
des échos depuis la vallée
j’entends pas mensonges qu’on veut nous faire avaler
t’inquiète pas, prends celle là tu l’auras pas volée
mon tout se révèle et dans une grande envolée
tout l’monde se réveille, tout s’émerveille
ouvrir ses volets et voir ces merveilles
toujours étonné rester pareil
et c’est parti j’démarre l’appareil
comme le choléra, le monde est colérique
tu t’y colleras, le nôtre est onirique
regarde pas les autres qui se donnent l’air
j’aime quand ça dénote et je fredonne l’air
mélanger des notes et créer tonnerre
faut pas s’étonner si c’est ton heure
des tonnes de bonheur dans des tonneaux
ma lame est émoussée, j’frappe avec le pommeau
coup d’pied dans le pommier (pommier)
fonce droit dans le panneau (panneau)
charbonne dans l’atelier (atelier)
pour briser les barreaux (barreaux)
coup d’pied dans le pommier (pommier)
fonce droit dans le panneau (panneau)
charbonne dans l’atelier (atelier)
pour briser les barreaux
délie des phrases dans des mélos
dt dans le gaz rajoute de l’eau
du vin dans le vase pour mes élus
mais rien pour ceux qui sont délus
j’étais dès lors dans mes délires
dt veut de l’or pour écrire jusque dans l’au*delà
on veut des dollars
et merde alors
on veut des dollars (dollars)
[refrain 2x]
je suis sur le pont, ils m’appellent
je brandis le son qui martèle
et je voudrais bien qu’ils m’apprennent à tenir les longes de la peine
un jour faudra bien qu’ils admettent que l’exil existe dans les têtes
toujours essaieront de t’la mettre, à bout portant, à moins d’un mètre
c’est important de faire la fête jusqu’à en finir dans les toilettes
pour changer vitesse de la bicyclette mais jamais l’élève ne dépassera le maître

- dents tranchantes

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