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lirik lagu tu veux que je fasse quoi – dyno

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[intro] :

ouais ouais ouais, ouais ouais ouais
dy, genesis gros
ça dit quoi hein ?
1-4, 2-7-4

[couplet i] :

ouais dans dix ans, j’sais pas c’qu’on va devenir
la pute, la clope, la tise, un cran m’habite envie d’chavire l’avenir cabisé (?) dans l’navire
et si peu d’cl-sse, à mes trente ans, j’vivrai toujours du son
non, gros, j’déconne, j’vivrai des grosses factures et des couilles d’mon patron
toujours l’haleine de bière, ouais ! paraît qu’j’affole les sens
et j’serai qu’un daron d’merde qui s’trouve en pleine crise de l’alcoolescence
pour eux ça vit d’la fête donc pour eux j’crois qu’ça vit très bien
et j’évite les emmerdes t’sais comme les femmes, ouais gros ça part, ça vient
l’abus c’est non-stop vu qu’mes gars sont lessivés
on ferme la porte à clef avant qu’la mort vienne nous faire toc-toc
j’méprise l’avenir dans ma feuille de cristal depuis qu’c’est dur
imagines-moi dans l’gouffre avec une page, un bic et zéro tune
et l’illicite vient s’inviter dans la valse gars
des m-ssacres, té-ma, j’débarque et parle d’ma vie puis basta !
des baffes sales et puis j’te pète depuis qu’j’tortille l’cro-mi
grave des torticolis car mes homies toujours se prennent la tête

[refrain] x2 :

on vient t’péter sale rat
mon ambition raisonne, la nuit j’ai grave le seum étale mes punch sur un livre pour t’abattre
à part le son tu veux qu’j’f-sse quoi ? hein !?
car à part lui y’a rien qui suit, avoue qu’tu kiff l’attaque

[couplet ii] :

habitué à la ( ?) j’dérive et j’ ( ?)
débile ces vices ( ?)les flics évitent les fils des lignes
alors j’manie des rimes dans ma chambre tard le soir
j’vous dis des choses, personne ne l’crois comme un bluffeur qui parle d’son heure de gloire
et si tu bouges la tête, t’inquiète pas, télécharge
j’viens d’yverdon, j’ai d’jà fais l’tour, le soir c’est dur d’s’taper des barres
mais j’aime ma ville et puis le son, j’compte pas l’lâcher
j’ai les yeux rouges, l’odeur de beuh et du goudron dans la trachée
j’donne un salut pour mes vrais gars, qui noient leur tristesse au fond d’un verre
qui partent au texte au bout d’un pète et bougent la tête quand ça peu-ra
les jours sont nazes au bout du compte j’étale vlà les soupirs
c’est dur de s’confesser, y’a qu’les pét-sses qui arrivent à s’ouvrir
et si demain j’me c-sse, seul deux trois potes à l’enterrement
le p-ssé j’le vois plus, quelques bouteilles pour mes antécédents
attends que j’tire une taffe (pfff) on oublie tout
marre des kouss qui l’ouvrent t’es sur le trône, j’arrive pour prendre la place !

[refrain] x2

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