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lirik lagu cendrier – eric eract

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[paroles de “cendrier”]

[couplet unique]
si j’vide pas mon sac ici je vide l’armoire à pharmacie
peut être ça pass’ra c’coup ci, les doses je sais ce que c’est
elle est trop ouuuh, j’oublie tout discours magique ataraxique
si j’me pends passez mon froc à la machine (merci)
elle a c’truc antipathique qui m’anime ce visage froid
elle dit qu’j’suis maladroit, je sais, j’suis dyspraxique
pardonne*moi connasse que j’touche du doigt tes cicatrices (encore)
dessine*moi une croix au bic sur lе front
désolé pour toutes les entorsеs à ton mode de communication
j’m’emporte dans la rogne de mes prédications
mais j’m’en moque pas d’ce que tu traverses
t’as pas les mots mais t’as une âme saine, ça se sent
elle me manque tellement à cogiter aux quolibets
vous s’rez autorisés à vous moquer à mon enterrement
si mon frère est présent, bravo pour l’effort
l’ambiance est plus clémente dans un caveau sous les hommes –
dalleux cherche rapport pour s’esquiver
douleur cherche rappeur pour s’exprimer
chez moi c’est l’heure, cette douleur touche les filets
elle a trouvé l’filon, cette douleur j’vais l’enfiler
j’vole au auchan même si tout est filmé
traine mes grolles dans les champs quand j’suis tout déprimé
j’rentrais saoul épuisé, j’suis onze mois sobre
j’garde un besoin pesant de m’opposer pardon d’accord
elle est trop belle, pour se faire des idées
elle est trop belle pour se faire dessiner
elle est trop belle ça laisse à désirer
elle est trop belle j’pourrais vous décimer pour elle
putain j’suis lessivé
j’me sens toujours ciblé
j’me sens à peine ciller
le ventre et la psyché débordent, les tripes à ramper
ça m’a dégouté comme repu j’vais plus aux putes
j’mords mes lèvres j’en fais d’la pulpe
j’mords ma main comme un autiste, j’attends l’instant propice
idées en spirale, mon p’tit crâne une rôtisserie
j’sais pas fermer ma gueule, j’fantasme à l’idée d’fermer la leur –
comme des commerces
ça m’démange comme l’eczéma sur mes paupières –
j’y pense et j’dérape dans la neige et la slush
qui est*ce qui perd les valeurs pour faire flamber les prix (putain)
i’ faut engrainer vite
t’es idéale si j’mets ta trogne sur la pochette de l’album
j’remplis des salles avec tes pommettes
t’es ineffable rare, précieuse et toutes les notions connexes
t’es spéciale elles sont spécieuses
t’es sublime surdouée, putain j’ai rien surjoué, putain j’ai tout couillé
ça les dépasse ils veulent écourter
sonder fouiller, corrompre et souiller, rompre et dépouiller
enfant perturbé le gosse d’un bipolaire
j’ai hurlé sur les profs et la vie scolaire
j’ai éloigné mes proches avec mes p’tites colère
je vide mes poumons mes poches, reprend de l’innovair
assis à lire la bile d’un mort
parmi les sourds et leur babil trop fort autour
j’ai installé une barre de traction, l’intention
n’était pas de foutre une corde autour
pour les droitards j’suis une fiotte, pour les gauchistes un néon*z* –
j’les emmerde, j’veux juste faire une gorge profonde à une carabine
à chaque époque son autoritarisme
la liberté c’est dieu, c’est l’os qu’on révèle au canif d’un mieux
quand on s’éloigne des forces et qu’on témoigne d’efforts
fouille*merde comme pétrolier, fait les liens comme psychotique
parler tout seul, sangloter en public
le discours s’engloutit dans l’pupitre
hé putain bordel de merde quand est*ce qu’j’pourrai m’apaiser
quand j’trouve une meuf que j’aime mes potes essaient de la baiser
ok j’impose pas l’respect, en fait j’impose rien
toucher les gens, pas les convaincre
et j’contiens mon propre dieu dans l’pectoral comme les frères moraves
faut que j’aille paître et voir qu’est*ce qui m’arrive autre part
écrire un putain d’roman, un putain d’bouquin
j’en peux plus de rimer, j’en peux plus d’ce boucan
j’crache différemment (j’crache différemment) depuis que j’crèche plus route des romains
t’sais c’est comment, je me sens plein, pleinement envie d’crever
faut avancer, j’m’en doutais bien –
à peine entré faut pousser hein …..
le bout d’ses seins au bout d’mes mains, le pouce et l’index tournent et pince
tout est simple, jusqu’aux journées grinçantes
celles d’un mou déclin, quand elle boude et s’absente
alors j’touche trois fois mes poches et j’regarde sous mes s’melles
avec mes tocs i’ pourront pas venir me couper l’herbe sous l’pied net, c’est mort
le croupier guette les donnes
un choc : dieu ouvre des portes, une bouffée d’air déborde
moi j’ai détruit ma chance elle ne revient que tard
j’ai loupé perséphone
divination dans les grumeaux avec mes queutards et mes puceaux
tous deux t’expliquent sans gène et r’mords que tout pénètre ces connes
bouffe mes assonances bourrées d’fautes de français
allez nique pas l’ambiance, tu vas pas commencer
j’avais qu’à arracher le chancre, dev’nir romancier
(arrêter le chant j’ai jamais commencé)
les mêmes latences, j’perds patience avec un jeu lagué
les mêmes idées de texte sans arrêt genre delavier
j’suis largué putain, mais regardez putain
le gras d’mes doigts a repassé les lettres de ce clavier
tout m’apparaît comme exalté, le caméscope va cramer et claquer
ça y est
mon voisin s’met runaway d’kanye à point nommé pour m’am’ner à chialer , le mur est écaillé
à mon image, il laisse tout passer
corne les pages, cherche les codes pour passer un stage
pas su garder une tchaï, dès qu’j’suis affectueux elle s’taille –
jamais pu tenir un taf, j’suis impudique et instable
j’suis béni, j’suis maudit, hiatus ensuite raptus
dépassé l’point d’rupture, pourtant toujours tendu
une odeur de taudis, un bruit de papier bulle
j’sais pas trop quoi te dire, je n’parle que d’jacques ellul
j’réveille tout l’immeuble, si je hurle
si je m’immole c’est ridicule (hé)
recouvrement de guigne sur guigne
c’est pathétique j’ai d’jà des rides j’te jure
le cerveau recouvert de friture
j’me creuse la caboche il en reste que tchi
trop d’amour elles prennent la fuite alors c’est fastoche
j’ai qu’à dev’nir un gros con violent
j’ai qu’à m’forcer à être pas moche
pour l’moment, l’anxiété comme un hi*hat sur tous les temps
comme des barrages de flic des coups d’volant
des embrassades d’une douceur ontologique
garde ce marquage permanent dans ma banqueroute
parfois ça gratte faut gratter
souvent vaut mieux gagner sa croûte
sacrément décharné ça craint
des mythomanes et des démagogues, moi
j’ai pas d’message et j’ai qu’une parole
j’escalade la barrière, l’éch*lle, le toit
et j’me jette en arrière comme un test de foi
l’enfant lance sa pierre sur le lampadaire
il touche au but, ne s’fait pas fourgonner
bande de putes, laissez*nous un peu d’cette fougue
ok, j’me crève dans la semaine si j’retourne dans un centre d’appels
ok j’calcule c’qui vaut la peine ok
j’accumule des infos et j’en fais rien
j’accumule du stress et j’entérine en mesure(s)
traîne la jambe, perce l’engelure

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