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lirik lagu comme un classico – galaburdy

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[intro]
eh
quartier libre
bec blanc, jim, anacho, galaburdy
manrey à la prod
ecoute
c’est comme un cl-ssico

[couplet 1 : galaburdy]
trop de mes feuilles se sont ent-ssées
trop d’potes dans la tentation, l’amour j’m’en suis vite l-ssé
car dans la zik je me suis perdu
l’inspiration d’écrire des textes a pris l’dessus et jamais rien n’me fera reculer
j’voudrais voyager dans ce monde où y’a pas d’comptes à rendre
les cons attendent le succès et croient qu’il arrive quand on xxx
le boule au ventre
j’ai pas eu l’bac, mon père m’a vite nié
des disputes et mon sac posé sur l’palier
j’vis pas dans le vertige car sans mes frères, ce monde est putain d’vide
avide d’esprit mais j’écris la nuit
et j’agis la rime doucement
mes potes d’algérie sont fouillés par les flics, askip on appelle ça la douce france
que dieu vous garde, parce que moi j’ai pas l’temps
je noie mes peines dans un étang en un été promis
je toucherai pas à ces six timp’
seulement j’c-sserai la tempe à ces six types
puis j’taperai la balle dans le city
y’a moins d’salades dans mon cheese naan que c’que raconte valls sur l’système
inspi à fond, j’pourrai rapper si t’aimes
en moins d’une heure, j’peux changer d’humeur comme changer d’formes
non j’rigole, j’veux juste voir mon premier cd dans les bacs

[couplet 2 : anacho]
mon esprit s’vide, c’est l’abandon
la police abat des badauds
mes bandits fument des bédos en bas dans l’sous des xxx
bientôt vont brûler des bidons
c’est les enfants de la patrie
baiser marianne sans débander, lui faire enfanter l’anarchie
les descendants d’ce paradis traînent en bande, c’est la débandade
ont décidé sans la marquise xxx
en descendant, j’suis xxx
mais ma sentence sera l’asile
xxx semblant qu’j’fais qu’étaler xxx si y’a la manif
j’te fais valser, c’est mon talent
cheval de troie contre étalon
deux-trois megra dans la semelle et l’estomac dans les talons
moi ma botte, c’est pas l’italie, y’a des pet-ts trous sous mes baskets
que des conneries à la télé, j’pense aux pyramides des aztèques
les piranhas lâcheront pas l’steak, xxx autre chose que des pasta’s
les yeux rouges et remplis d’eau, on vaut pas mieux que des pastèques
j’connais pas c’texte mais j’peux pas m’taire, j’troue les oreilles comme l’écarteur
la mauvaise graine pousse au soleil, xxx roundup et sécateur
j’représente même ceux xxx, on a tous perdus la raison
sur les deux rives de fleuves boueux, j’écris moi-même mon oraison
on ferait tout pour l’or ici, vend la résine, taffe à l’usine
personne écoute ma musique en boîte, j’me rapproche d’une boîte à musique
la nuit, les vautours crient quand nos mouvements sont épillés
dans les alentours gris, tu t’demandes où sont tes billets
mets-toi au taffe mec
on met les bouchées doubles pour que nos couplets bougent et pour pas finir aux xxx
voilà l’as des rimes
ouais on s’éclate mais quand j’me l-sse, j’t’évite, j’apprécie
le luxe, c’est pour ma mère, j’veux l’acheter vite
j’lâche des gifles et sur toi les rapaces tombent
si tu dép-sses l’équipe, mamène fais gaffe aux carapaces rouges
ouais nos modèles nous tuent
xxx poto si t’es al dans c’monde moderne où tu
t’y fais mal si les flics débarquent
j’ai besoin d’air, j’joue plus l’cinéaste
moi j’récite des fables et j’modère l’coup dur, hein
le matricule gravé sur les temps ouais j’ai l’apt-tude poto, j’articule calé sur les samples
et j’veux pas cané sur les champs
donc j’reste dans l’secteur
tu veux brailler sur mes gens ? avant prouve-moi qu’tu sais l’faire
j’ai des rêves pleins la tête et la tête pleine de fumée verte claire
un jeune con qui transportait le poids du monde sur ses vertèbres
on en a vu des trucs bizarres, des trucs sordides
pour s’échapper, faut pas rater l’train fréro, t’as qu’une sortie, hein
et c’est trop tard quand la foudre tombe
laissez-moi faire mon rappeur, rien à foutre de ton blé
des défis et des bluffs, j’décris mes larmes avec des grandes strophes
pour débiter mes punchs, j’écris mes lines avec des gants d’boxe

[couplet 3]
j’suis comme le xxx, j’en ai marre
d’avoir du foot sur mon écran
depuis tout pet-t, j’ai pas les même rêves que les grands
ils veulent des b-tchs et des gamos
moi j’veux un frigo plein d’filles, ma gueule en tête d’affiche, pour ma princesse un carrosse, ouais
voilà mes carences
j’t’explique les xxx
les faux mc’s et moi, c’est les caresses et les carottes
t’as pas compris ? ok
prends un quart temps ou un cartable
j’ai pas le temps, j’suis important
j’ai un portable et un port d’arme, ouais
métaphorique bien sûr
des tas d’folies, j’-ssume
mec je temporise, f-ck la police et les racistes absurdes
cette mécanique n’a ni queue ni tête
les flics sont mythos mi traîtres
j’fais ça vite, faut qu’j’clique, nique en vitesse, hein
un hypocrite en cravate vaut pas mieux qu’un xxx sans gardav’
en cas d’panique, j’préfère une prière que des tirs de rafales
la théorie d’la naïveté, j’ai jamais dit qu’j’en raffole
j’aiguise les crocs de l’opprimé contre les griffes du rapace
tout c’que j’dis sous un ciel gris cousin, c’est dur à placer
c’est plus dur à plat, c’est une tuerie dure à cl-sser
c’est pour les miens qui ont jamais peurs de s’lancer
les chauds bouillants, les vrais penseurs, pas ceux qui tapent la c
parce que quitte à clamser, autant qu’j’le f-sse à ma sauce
j’suis pas p-ssé chez xxx
non mais tu m’as vu chez xxx
tu cries pour trois fois rien, moi j’écris pour quelque chose
t’as kické pour quelques gosses
j’te fume en quelques prods
j’te fournirai quelques doses ouais
de mon talent, oh
tu veux une b-tch avec des incroyables talents
faut qu’je talonne le succès, que je m’étale après une fusée végétale
mes écrits sont en métal, ouais c’est marrant, hein
lyricalement calibré dans le quartier libre
pas d’soucis, j’te check mec, même si tu parles hébreu
pas d’chichi mon gars, dis pas qu’les balances parlent peu
ils veulent nous baiser par la peur
les pleures guérissent par la beuh hein
j’ai jamais touché un gun de ma vie
mais j’connais les vices et les dilemmes de ma ville
tous les charboneurs sont les dealers de ma rime
hein !
alors dis-leur qu’on arrive, ouais
si t’es pour le quartier libre, ouais
on est posé dans la ville, ouais
on est violent dans nos dires, ouais
alors ferme là bien

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