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lirik lagu de nos jours – galen

couplet 1:
cette réalité est fausse, oui, il n’en reste plus rien (nan)
mon prénom ne vaut rien, vaurien, je suis: un mal, pour un bien (pour un bien…)
ou un bien, pour un mal, je suis bon dans le mal
ouais, bon dans le mauvais et le mauvais du mauvais du mal
je crains la vie active bien plus que mon passif
je sais qu’il faut que je m’active et que je donne un sens à ma vie (ouais)
je sais ce que je donne et ce qu’il me reste à donner
mais tranquille, je vois même que star wars déconne pour de vrai (enfin bref)

refrain:
ouais, mon son est explosif, attention, ils provoquent même des acouphènes
bats les c’ du monde extérieur, devant la feuille, c’est moi qui gouverne
la mort est un prêt à porter: chacune de nos âmes en est recouverte
la vie, c’est comme une boîte de chocolats et chacun a son propre couvercle

couplet 2:
je crains tout ça car tout ça, ça va bien me changer d’avant (d’avant)
c’est marrant mais j’suis partant quoique je me méfie constamment
en plus, de la pression des gens, en plus, de ne jamais faire à temps
je n’veux ni la vie d’un potter, ni la coupe de nathan
on te bassine depuis petit, avec des calculs
qui te conforteraient dans quoi tu postules
mais y’a toujours ‘frayeur de se rendre ridicule
‘frayeur de faire un truc niais et nul
et les darons constituent une large pièce du puzzle
lorsqu’ils te guident, voire t’imposent, leur mauvais œil
et c’est aussi le cas dans la vie, c’est casse*gueule
mais, si tu aimes tes gosses, laisse*les aimer ce qu’ils veulent (ce qu’ils veulent)
refrain…

couplet 3:
en tout cas, ça fait peur, la musique, l’art du fric (yeah)
mais pas d’panique, j’ai toujours mon côté onirique
car qui peut dire qu’il peut vivre sans love, qui
il veut dire qu’il veut vivre en boss, oui
en tout cas, je reste anxieux, ambitieux mais, mon esprit est parti
j’sais même plus si j’suis de capital city ou de paris
ce que je sais, c’est que leur discours sont soporifiques
et que j’ai enfin compris pourquoi y’avait « poli » dans « politique »
et j’ai enfin détruit l’ennui, j’ai créé pas mal d’horizons
de nos jours, chacun a ses bagages et ses provisions
je saupoudre tous mes loisirs de dix partitions
de nos jours, le savoir*vivre est en voie d’disparition
tu veux changer mais, comment veux*tu réussir mon frère
avec un casier plus épais que l’annuaire de bombay?
laisse tomber, même l’orgueil est devenu censé
de nos jours, l’appétit vient en regardant les autres manger (oh)

refrain…

- galen

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