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lirik lagu freestyle – girard

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aight, g-rare

qu’le ciel nous regarde, les jours partent au zénith
un crew de bardes, tous coupables les coups frappent vos élites
la sunnate, l’écho sémite, la bourrasque est trop terrible
pas d’soutane, dieu est dead dans un douze pack d’eau bénite

j’t’ici pour décollé vos raids, décoré vos têtes
apprécie j’suis l’génie, t’as pas envi d’te frotter au maitre
un sonnet, et des idées brutes, pas d’sommeil, quand la suite est brume
collègue, tu connais, loin des les sommets, quand la cité brule

ma plume une arme de pointe, précise comme une frappe de drone
en dérive, j’veux les voir périr sur les marches du trône
tu voulais, une fratrie, la machine les craches
au programme, un n-z-, le baril, des bannis, la galerie des glaces

le très-haut, une pluie d’missiles, les mômes dans ta rétine
mais demande leur les signes du ciel qui tombent en palestine
les arabes, les m-ssacres russes
l’oeil malade, sombre balade, remarque j’regarde la marche sans décalage sûr

le fatal, reprend la place a raif
à rafah, des rafales de balles, se braquent sur les m-sses salafiste
m’efface la matrice, j’fais la sourde oreille, garçon
j’suis mon propre soleil, c’est la dernière fois que l’jour se lève

verse 2 :
tente mes eaux, c’est l’océan sans détroit
ici le monstre c’est le beau, allez brule ses os gros c’est l’enfant des rois
tu vois l’héro tendre, et l’ange en émoi
les cernes, le temps, le sel, le sang, et si le ciel chante emmener moi

navigue et tremble, les sirènes siffle leur mélodie
maquille les grands, arme la reine, le sir, l’heure des lobbys
oublie la marche, lutte finale, tes pénible
tu voulais un crash, le beat, j’le clash, une triste cage, vide ma rage est bénigne

guérir, non, c’est un cancer quand j’déterre le nerf
le maelstrom, j’fais une tempête dans un verre de bière
le corps nocif, la plume du cordeau siffle
j’porte nos vices, la famille c’est tendre le couteau et la corde au fils

j’brise les bornes, pas d’pitié pour les hommes dociles
sans sourciller1f qu’le vicié mâte les portes d’l’office

regard infâme, j’traine, une moitié d’brute
j’suis mon propre soleil, un autre jour où ma poitrine brule

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