lirik lagu agueusie – golgoth
(couplet 1)
hey
j’suis prisonnier dans l’scaphandre, j’fais plus qu’entertain
j’fais des beaux rêves, j’me lève du mauvais pied
même avec ma plus belle paire de snickers, j’m ‘éloigne des choses simples, tellement pas à l’aise qu’elle est dans le fond d’vos soirées
j’ai fait le tour des émotions, j’en ai fait saigné mes phalanges
la fin d’un cycle n’est pas la fin parce que bientôt lе jour commence. ça marche avеc tout, la maille, les femmes, les potes et même la famille et dans un coupé sport tu m’sors que t’es désolé de la famine. attends, attends… je prends le temps qu’il faut pour répondre peut*être quelques années. si tu m’vois regarder vers pluton, la solution c’est d’se barrer. se barrer vers une passion, une passion qui te met bien en danger. vivre dans une vie sans pression c’est vivre avec les yeux fermés. il y a des moments où j’me sens baisé, après le soleil il y a l’orage. on reconnait plus l’odeur des péchés mais le pied brulé par l’asphalte. j’me perds dans bx et ses vices . est ce que je m’inflige tous ces sévices pour pouvoir réparer mes conneries je transpire plus qu’un mec en salle. je te parle de promenades en bécane, je te parle de chaleur sur ma tempe. j’rigole avec mon gars dans l’centre même si il y a pas de raison de se réjouir. et dans le vide, j’pollue en panique
j’me crashe juste avant la ligne d’arrivée, on forme un super 8
(pré*refrain)
hey, hey, doucement respire, on dit “j’ai pas compris les premières phrases de ton couplet” no… j’voulais parler de la vie, au moins mais le thème qui trotte à chaque fois dans ma tête oh no
j’ose parler de vision de vie, très peu le font dans c’biz et quelques s’condes après oh oh, j’me sens invincible, enfant terrible, essuie ses larmes dans son carnet
(refrain)
de la lumière dans l’secteur, sentiments sous les mailles
insensible à la douleur j’dirai que je connais pas le gout des balles
de plus en plus d’assurance et de moins en moins de vie, séduit par l’odeur des femmes. je pourrais me buter au cachet mais je veux plus me cacher, perdu dans le coeur de la ville x2
(couplet 2)
un peu moins touché par le vide, j’revois les lois de la gravité
la perte, le manque, la démence s’perd, j’fais le move dans cette merde. j’réagis qu’à la violence, aux trucs qui font monter le sang. je kiffe l’odeur de l’essence et le goût de la merde
j’fais tous les jours la même chose comme une machine. j’pense que le rap va me sauver, j’devrais tenter ma chance dans la vente de cocaine. encore besoin de me déconnecter. tous seul sans mes collègues. voyage en navette, j’vois la netteté, l’ensemble de la planète. mais gavé d’images de comètes et du bruit qu’impose le silence. j’peux me plonger dans la voie lactée, quitter les arbres de ciment. j’vis en alternance. j’adore la ville ses vices et mes pulsions se mélangent. une pause au paradis décrit la nuit mais là c’est rassurant. un peu moins conscient à chaque heure passée, la soirée casse la tête. j’fais plus attention quand c’est rouge, mes sinus bouchés par la verte. c’est bon, c’est sale, j’me noie dans ses yeux bleu marin à la mer. j’voudrais dégager, j’ai pas de bouée ni de bouteille d’oxygène. oh, on est des machines brillantes, c’est quoi un platine dis moi ? besoin d’être saoul pour trouver toutes vos soirées de merde amusantes. ce soir là, elle m’a dit ” de toute façon tu pense qu’à toi” depuis, je me dis qu’on est des machines pas faites pour vivre ensemble. machine dans une machination ma chiennasse. il y a plus de magie, on calcule même le bonheur assez mal et mate ce casting, que des cols blancs qui se sont pris pour des sages. allez vas* y filme toi bébé ouais ouais prends toi pour une star. quel bail, j’voulais déjà des meufs galbées comme un hentai, maintenant, ça chauffe plus, mais j’coule je vois plus que la mer en espagne. calé comme doobie, j’ai des turbines qui fonctionnent pas dans mon moteur, technique de rookie, j’taf au mic et j’tape le beat comme les haters
(refrain)
de la lumière dans l’secteur, sentiments sous les mailles
insensible à la douleur j’dirai que je connais pas le gout des balles
de plus en plus d’assurance et de moins en moins de vie, séduit par l’odeur des femmes. je pourrais me buter au cachet mais je veux plus me cacher, perdu dans le coeur de la ville x2
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