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lirik lagu h14 – heykel

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des cris dans une allée, la bac qui fait sa ronde
les bâtiments en rénovation, des poumons remplis d’amiante
un berceau qui contient 3 kg d’innocence, les conseils d’un mutilé de guerre
une rose qui nous parle de romance, et il y a cette balance qui te menace
qui n’a pas dit son dernier mot, une guerre qui ne prendra pas fin tant qu’elle n’a pas vu son derniеr mort
pas mieux qu’un indécis pour parler des rеmords
pas mieux qu’adam et eve pour te parler des mômes
à ton avis, est*ce qu’on a créé la clé juste avant la serrure
et on t’a dit que tous les chemins mènent à rome
non, poto, là c’est le mur, la pièce n’est pas vide
elle est remplie de particules, les dépôts sont sortis, résultat tu te fais mêler par tes côtes
apparence une larme est une larme, mais en réalité elles n’ont pas le même goût
dans un cimetière ou dans une maternité, une âme qui monte au ciel défile la gravité
d’ailleurs, celle qui t’a mis au monde a des problèmes de parité

printemps dégagé par l’été, lui*même dégagé par l’hiver
c’est le fait qu’elle n’a pas de semblable qui confère de la valeur à l’idée esprit des êtres humains
qu’on a germé, attribué une pastille bleue, les deux sont faites pour valider le cerveau
comprends pas le cœur et ses filaments, pour donner bonne conscience elle veut pas dire baiser
mais faire l’amour, tu n’as pas besoin de prendre sa vie pour régler ton problème
tu as juste à lui prêter de l’oseil, si tu voulais le voir faire le mort, je rappe
si tu as une cagoule, braque, y’a la tête d’amnésia qui craque après l’embrouille pour qu’il claque
y’a le temps dans le sablier, donc méfie*toi de ses grains
je suis persuadé que même avec des milliards, on va quand même se plaindre
il y a plusieurs manières de vivre, plusieurs façons de mourir
est*ce que le fait de voler reste méprisable si c’est pour se nourrir
10 ans de placard chez la nourrice, pour quelle somme tu le risques
et je te dis la vérité, je ne sais pas comment vont finir nos reus
la peur d’approcher l’horreur, il n’y a personne qui part avant l’heure
tu peux creuser le temps que tu veux, s’il n’y en a pas, tu ne trouveras pas d’or
au même titre que dans le désert, tu ne trouveras pas d’eau
désolé mon reuf, si tu as une scoliose, ce sera chacun son dos
à force de trop douter, tu vas rester sur place
tu as encore plein de défauts, c’est ce que moi dit la glace
et crois*moi, c’est l’casse du siècle si je réussis
je me rappelle du mitard quand je parle à la fenêtre avec nassim, rien de nouveau sous le soleil à part la 5g
t’es un peu comme l’héroïne dans le sens où tu fais que de mélanger
regarde bien qui entoure la table avant de manger, vérifie que la nouvelle adresse est mieux avant de déménager
c’est une fois que le bateau coule qu’on voit si on sait vraiment nager
je connais que le vin qui prend de la valeur une fois qu’il est âgé
un peu de poussière sur un livre, les rêves dans son témoin nos lit
et comment ne pas aimer l’oseille quand on t’apprend à l’échanger contre une dent de lait
d’ailleurs, la petite souris a disparu aussi loin que je me souvienne
en même temps que nos sourires, je frôle ton âme 59 secondes la minute
je dis le contraire de ce que je pense de toi, qu’on se dispute à chacun son histoire
et moi, je suis qui pour raconter la mienne
je me méfie du sida donc évident s’appelait le sang de la veine
on parlera jamais de roi sans reine, on parlera pas de bonheur sans peine
et on parle pas d’amour sans haine
et fais pas la choquée quand t’entends parler de ça
parce qu’au final, il n’y a pas d’humanité sans ken dit la vérité
tu manges combien sur un k!ll, sans la lettre s
les fils ne tiennent que sur un fil, c’est au talent de l’acteur qu’on juge la qualité du film
tu pourras tromper toute la terre poto, mais pas de duper le fisc
une chose en cache une autre, donc quand on tire c’est peut*être qu’on a peur de se péter
et pourquoi ce serait pas la charité de se foutre de l’hôpital
j’ai la plume aiguisée, qualité optimale, le tiers monde face à nos petits malheurs
oublie pas qu’hier, c’est tout à l’heure, derrière chaque mal un bien
derrière chaque bien des sourires hypocrites, derrière l’hypocrisie il y a haine et jalousie
le dernier souffle d’un centenaire, un nouveau*né qui pousse son premier cri
le même qu’il utilisera pour guetter, si tu as des preuves, dis*moi
t’attends quoi pour péter, tu prends ce qu’on donne comme une personne amoureuse dans une amitié
le problème des points de vue, c’est qu’on oublie qu’ils ont leurs angles morts
ils veulent connaître l’histoire, ils veulent pas la régler
ils veulent connaître l’histoire, ils veulent pas la régler
j’ai vu l’orgueil, elle a des traits de ressemblance avec la fierté
une pensée qu’on développe en toute intimité
il n’y a qu’une fois qu’on t’en prive que tu comprends le sens du mot liberté
au mitard, les secondes sont des éternités, à tel point que ça démontre la théorie de la relativité
j’imagine que la lumière fut l’obscurité, tout l’espoir du monde dans une probabilité
certains silences sont le fruit de la culpabilité, on va dire que j’en abuse donc faut

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