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lirik lagu venum – hornet la frappe

[couplet unique : h*rnet la frappe]

j’me dis qu’faut pas che*la comme quand j’fais du gainage
a 2.40 j’m’arrête pas j’mets du [?]
tu voulais ma peau t’as juste enlevé mon pelage
j’suis un loup d’en bas, pour eux j’reste une menace
j’veux voir ton cœur rien à foutre de l’emballage
la vie en vrai sans botox ni maquillage
trop souvent solo apparemment c’est l’âge
mais jamais sous l’eau j’les baiserai tous ces lâches
j’frappe le sac habilé tout en venum
c’еst moi l’ainé depuis mes 16 piges jе fais l’homme
la caille nous a appris à rester féroce
ça sirote le siroc en sérum
plus les années passent plus on s’éloigne
les “wesh, c’est quoi d’neuf” qui en témoignent
j’ai toujours vu loin
avec ou sans jumelles tout au fond du trou on a creusé un tunnel
t’es sorti d’ma vie, maint’nant j’vois plus net
j’étais gentil mais j’ai décidé de plus l’être
les p’tits qui contrôlent la tess, moi je les ai vu naître
combien de rêves brisés à cause de la fumette ?
font les malins mais leur équipe est si laide
j’critique pas la paire de pompes que tu cirais
j’attends pas ton ci*mer, pour les nôtres qu’on s’y met
j’ai suivi les consignes et tout ce qu’on se disait
et puis [?] tu connais chez nous c’est méchant
mais sous cali ces [?] il manque la moitié sur la photo de sixième ;
j’ai 2*3 têtes sûres pas besoin d’être une dizaine
chez nous c’est méchant mais sous cali ces [?]
il manque la moitié sur la photo de sixième ;
regarde*pas mes gains, j’te dois rien mais “tient”
en dépression, j’irais voir les miens
ma p’tite sœur médecin, pourrait faire mes soins
j’m’accroche, j’fais mes sons, toujours en mission
j’peux pas che*la, pas comme ça chez moi
j’recompte ma sse*lia, rappeur national
garde*la ta médaille, la gloire ça m’éteint ;
j’ai vendu l’écaille, j’recomptais mes gains
et celui d’départ sont plus là à la fin
l’héroïne c’est très grave, cha*crat sur les tiens ;
changer ma vie, prendre le bon train
j’préfère être aimé, j’suis personne pour être craint
j’mettais [?] aujourd’hui j’mets du céline
j’crois qu’la bourgeoisie nous a tous séduites
en nous on a tous un peu d'[?] ;
surtout quand on entend le bruit des sirènes
j’voulais le piwi en cadeau [?]
j’ai eu des platines, j’suis plus en péril
ça vient des banlieues, derrière le périf
là où c’est dangereux, pour rien on vérif’
la caille en direct, y a pas de redif
ça passe par la douane, le chien nous renifle
2 grammes de vovo dans l’sang pour qu’on se livre
2 grammes de vovo dans l’sang pour qu’on se livre
[outro]
parce qu’il est évident qu’il y a toute une génération de jeunes scénaristes qui est arrivée, de jeunes de [?]
et qui ne peuvent pas écrire ce genre d’histoires, parce qu’ils ne connaissent pas la vie ; ils ne connaissent pas les hommes
ils font du parisianisme, ils font je ne sais pas quoi ;
ils n’ont pas roulé leur bosse, ils n’ont pas vécu, ils n’ont pas souffert :
alors, comment voulez*vous qu’ils vous expliquent des histoires d’hommes?
et ceux qui connaissent les hommes d’un seul coup, petit à petit, disparaissent ; y en a plus beaucoup

- hornet la frappe

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