lirik lagu andale – josas
[paroles de “andale”]
[intro]
alélélélélélélélélé, aylélélélélélélélé, aylélélélélélélélélé
alélélélélélélélélé, aylélélélélélélélé, aylélélélélélélélélé
[couplet 1]
tchikita, moi j’l’ai quitté parce que, elle faisait mal les sols
gamberge de l’époque, j’mettrais mes sous dans des linceuls
investis pas l’t*max kité pour au final nous faire des soleils
j’suis pas v’nu pour le succès, ouais, j’suis juste venu pour la somme
somme, somme, somme, dis*leur qu’la police, nous, on sème
on détaille que du seum, seum, on récolte c’que l’on sème
par derrière, t’es un gros traître, par devant, plein de mise еn scène (plein de misе en scène, hein)
j’suis pas v’nu pour plaire aux pu*putes et aux petites beyonce
nan, j’vais pas te fiancer, j’ai du rap à financer
j’suis pas v’nu pour plaire aux pu*putes et aux petites beyonce
nan, j’vais pas te fiancer, j’ai du rap à financer (j’ai du rap à financer)
j’suis pas là pour m’prendre la tête, envoie la bécane, j’la tate
dans la vie, y a pas d’potos, tu perds ton permis : t’retrouves à pattes
sbah rabi, ça roule des gros pét’, ouvre le terrain, détaille la patate, j’suis pas v’nu coller la petite, nan (nan)
[refrain]
allez, ça m’dit “joso, allez”
envoie d’la patate, dans l’rap ça joue les bras longs
pour rien tu veux ma peau, mon frérot, andale
plus j’t’accorde du respect, plus tu prends du galon
allez, ça m’dit “joso, allez”
envoie d’la patate, dans l’rap ça joue les bras longs
les petits sont fou*fous, ils pensent qu’à détailler
et les grands contents, rien qu’ils leurs collent des ballons
[post*refrain]
alélélélélélélélélé, aylélélélélélélélé, aylélélélélélélélélé
[couplet 2]
ça sort l’calibre dans les rues d’ma ville
bah ouais qu’ça fait “parapapa”
le deck, il veut m’palper, allez nique moi ton papa
j’cours pas vite comme mbappe, j’trottine pour faire l’rap que t’as pas
la loc’ on l’a tapé moi, dadou, mass on était khapta
maintenant, ils veulent m’appâter, faire d’moi un clown tah zavatta
d’mande à mon frérot pastis, notre vie d’raté on la loupera pas
j’peux t’faire du son d’la street ou du “lupupa, lupupa ay lupupa lupupa, ay lupupa lupupa”
dans la vie j’me fais bobo, aïe yo me hago poupa
pour m’soulager j’roule un po’*po’, l’soir j’vais voir une poupée
j’ai pas b’soin d’son affection, j’ai juste besoin qu’elle vienne pomper
j’ai tout niqué dans ma session et l’ingénieur m’cire les pompes
[pré*refrain]
faut investir dans l’pollen, voler les sous dans la mallette, y a plus de sous la faut s’mouiller, andale
y en a qui ont le sang froid, peuvent te tuer à l’arbalète, tourne leur autour, allez vas*y, andale (andale)
[refrain]
allez, ça m’dit “joso, allez”
envoie d’la patate, dans l’rap ça joue les bras longs
pour rien tu veux ma peau, mon frérot, andale
plus j’t’accorde du respect, plus tu prends du galon
allez, ça m’dit “joso, allez”
envoie d’la patate, dans l’rap ça joue les bras longs
les petits sont fou*fous, ils pensent qu’à détailler
et les grands contents, rien qu’ils leurs collent des ballons
[post*refrain]
alélélélélélélélélé, aylélélélélélélélé, aylélélélélélélélélé
[couplet 3]
big up aux anciens, paire d’airmax, veste columbia
posé dans l’t*roc, vend la coke de colombie
il s’est fait dans l’froc quand t’as sorti le beretta
le soir, ça s’gaze à finir comme des zombies
il a trop hagar donc la raclée il mérita
il faut pas s’plaindre, mon frère, de c’qu’on a subi
y a des anciens sous subu mais c’est pas la guerre de libye
la terre, elle est vaste, mine de rien, j’me sens à l’étroit
j’pourrais partir jusqu’à detroit, j’srais victime de claustrophobie
j’ai déboule sans masque, pas l’temps de compter jusqu’à trois
j’suis passé par la fenêtre, par l’toit, ouais, j’ai même pété ton gourbi (bang)
[pré*refrain]
faut investir dans l’pollen, voler les sous dans la mallette, y a plus de sous la faut s’mouiller, andale
y en a qui ont le sang froid, peuvent te tuer à l’arbalète, tourne leur autour, allez vas*y andale (andale)
[pont]
alélélélélélélélélé, aylélélélélélélélé, aylélélélélélélélélé
[refrain]
allez, ça m’dit “joso, allez”
envoie d’la patate, dans l’rap ça joue les bras longs
pour rien tu veux ma peau, mon frérot, andale
plus j’t’accorde du respect, plus tu prends du galon
allez, ça m’dit “joso, allez”
envoie d’la patate, dans l’rap ça joue les bras longs
les petits sont fou*fous, ils pensent qu’à détailler
et les grands contents, rien qu’ils leurs collent des ballons
[outro]
alélélélélélélélélé, aylélélélélélélélé, aylélélélélélélélélé
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