lirik lagu johnny delgado – jwles
[verse 1 : jwles]
attablés, on s’moque de schmocks, smoke en smoking
entre potes et une bande de coquines
puis je m’observe dans la glace, fond du couloir
sûr, bras posé sur l’accoudoir
soudainement, un type se soulève, blanc, capuché
a dû éplucher quelques infos à mon sujet
il approche, quelque chose cloche
alors je chevauche le sofa, fauche le soft à cette femme
robe mauve, regard de fauve, mais plus le temps de tomber lovah
le undercover a déjà tiré, il faut que j’me sauve
ils n’avaient pas prévu ça en s’abreuvant
courent dans tous les sens en beuglant, m’aveuglant
seul sans mon gue-gan, voguant entre les corps, vite, sors
bondis au-dessus des bornes du métro
mes progrès agissant contre mon gré
du blanc au rouge pour du vert comme la hongrie
plongé sous le tunnel, prunelles cachées sous les lunettes
sous la grimace de funès, s’image un chemin funeste (x2)
[verse 2 : jwles]
back in the stables with the horses and the corsicans
whisky levelled up by the ice, hairy knuckles collide as we toast
street gods, watch out for whatya’ say, you’re under oath
knife to the neck of the roast chicken like a hostage
all squeezed around the table like sausages
lost digits are brought up and make the wise guys fidget
cringes under the well-done fringes
but it’s got in their veins like syringes
inches of fur lengthen, goomahs with the legs thin
money in the head and s-x in the pockets
afford rockets, thanks to the large splits
spits fungus on the ground, cigars in the ritz
lungs is exhalin’ the smoke of the crown .. and then you drown
[verse 3 : jwles]
suivi comme l’on traque montana
lâche, me cache sous la tramuntana
joe montana comme p-sseur pour ma nana, de l’autre côté des alberts
la reçoit comme jerry, le soir en ferry
en bas de la péninsule ibérique
elle, hystérique, me fait regretter les astérisques de mes actes
les policiers commencent à cerner mes axes de déplacement
des placements dorénavant sécurisés
juridiquement immunisé, plus qu’une destination à viser
dérapage du boat au bord de la côte
saute aussitôt dans le zodiac
attrape zonia, m’-ssois, bientôt le cognac
et nos pieds qui s’entremêlent sur le tapis peau de yak
tellement niais de ma part de croire qu’ils n’allaient jamais m’avoir
à peine, apercevais-je ma crique privée
les hélices tambourinaient
au centre des vagues d’ondes, j’étais ciblé
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