a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu a 360 degrés – kalk

[intro]
et ouais je m’enferme dans cet univers
je fais le tour de la terre comme le vieux gulliver
je libère, mon esprit, pour oublier les billets verts
je veux briller frère
faire du bruit, de l’été à l’hiver

[couplet 1]
j’écris des rimes sous un rayon de soleil, je m’sens tout pet-t
comme un pion qui pour la reine donnerait même sa vie
ouais j’le ferais, pour ma mère, et même quelques de mes amis
c’est la merde, pourquoi je crame ma haine dans un petard de sh-t
j’suis comme naruto qui se fait manger par le kyubi
et puis, j’me lève tôt surtout quand il s’agit d’écrire
j’me promène dans la ville, j’observe les visages des vieux
j’remarque que le temps grave des cernes j’en ai déjà sous les yeux
il faut qu’on se soulève
comme un peuple face a la dictature
j’caractérise l’état par une caricature
faut qu’ils arrêtent c’est sur, mais la vérité fait mal
comme de dire a un aveugle de voir la réalité en face
j’ai pas de grosse barbe
mais j’dis des trucs vrais malgré mon âge
c’est dur a croire
mais j’prend de la bouteille comme mes brestois
c’est le gros brouillard, mais on fout notre boucan en bas
dans des caves remplies d’herbe tel la caverne d’ali baba
certains font les fous, se tapent pour des boules de femme
c’est cool quand même, quand on rap, devant des foules de fan
les fleurs du mal fanent
mais si je meurs c’est le bouquet final
donc la j’me bagarre pour la pierre philosophale

[refrain : x2]
et ouais je m’enferme dans cet univers
je fais le tour de la terre comme le vieux gulliver
je libère, mon esprit, pour oublier les billets verts
je veux briller frère
faire du bruit, de l’été à l’hiver

[couplet 2]
j’suis qu’un bouc émissaire, j’ai v’la le poids sur les épaules
téma le crew le théorème on fait la diff à tour de role
tout repose, sur un mélange de flow et de techniques sale
tchek
on roule des m-ssa, après s’être taper comme des maasaï
change de masque devant une femme, mais ne te voile pas la face
quand le mensonge prend l’ascenceur, la vérité finit par gravir les marches
on se m-ssacre la gueule, il m’faut un m-ssage du coeur
entre la mer et le feu j’ai choisis de bruler pour cette conne
on veut se pésa à la mode mais on est que de p-ssage sur cette planète
malhonnête, téma l’etat et les escrocs qui m’écoeure
comme robin des bois, j’vole aux riches, les pièces de valeurs
on a les veines qui hurle car y’a trop d’herbe qui brûle
a ce qui parait c’est nul mais bon
mon cul de pilon a remplacer l’arc de cupidon
j’en avais marre des trous dans le coeur
j’préfère en faire dans mes poumons, j’ai des pulsions
et la je pose mon texte fou comme un loup devant la lune
on fait les grands, mais on s’allume
effectivement, c’est la panique
on veut le grand écran, pour notre cul
mais on déteste les têtes d’affiches
les éléments, ont le dessus
mais l’besoin de puissance s’est fait sentir
plus j’y pense, plus je pense, que l’amour est impossible
nos lacunes font qu’un jour on finit par se detruire
et oui, je puise, un peu de force afin de pouvoir le dire
dans le couloir de l’avenir, les murs se rapprochent pet-t à pet-t
on sait pas comment ca se p-sse, mais peut être que la vie n’est qu’une imp-sse

[refrain : x2]

et ouais je m’enferme dans cet univers
je fais le tour de la terre comme le vieux gulliver
je libère, mon esprit, pour oublier les billets verts
je veux briller frère
faire du bruit, de l’été à l’hiver

[outro]
il est temps que tu rap frère, qu’on f-sse bouger les choses
evade toi de la terre ferme, soulève toi pour notre cause
il est temps que tu rap frere, qu’on élève le niveau
que ces malheureux comprennent quon vient faire péter le magot

- kalk

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