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lirik lagu dédé – koopsala

[couplet 1]
chacun son trip, chacun sa vie, chacun ses handicaps
chacun son chemin, chacun sa route comme quand les bandits frappent
à peu près le même message, que dirait anti*flag
j’suis tombé punk par résistance, tu me diras quand y slack
j’veux rien savoir d’la société, j’sais pas c’qui m’rend coupable
ils veulent parler d’ma propreté, mais pas de l’argent qui lavent
surveille ton porte*feuille, maintenant qu’ils envisagent
de pouvoir fermer ta yeule chaque fois que l’profit parle
j’rime alhaya, un hommes des neiges de montréal
j’connais les choses en général et c’est un monde abominable
pendant qui jasent d’la bonne image, j’abats les masques impoliment
j’pas julie masse, c’est pas zéro, mais j’te fais chier si joliment
au fond du bar, au fond du cœur, au fond d’une bouteille vide
y’a dix minutes de réflexions, mais faut retourner vite
parce que la vie se gagne, on ne connait pas les riches
pour qui la vie se donne, comme moi pour un lyrics

[refrain]
au fond j’mérite juste de crever
j’suis pas assez riche pour la société
au fond j’mérite juste de crever
j’suis trop artiste, j’suis comme dédé

[couplet 2]
devant la vie, devant la mort, mes écouteurs sont antipodes
et le programme est à revoir, mon art me dit “ça prend du code”
ma tête me dit “ça prend du pot”, j’attend jeudi pour faire tout ça
parce l’autre jeudi c’tait rendu top, j’ai tout flaubé mais en tout cas
c’t’encore l’histoire d’un gars, moins la fille qu’il aimait trop
plus les paiement qui rentre en double, c’est un soupir dans le métro
on continue, c’est pas encore la fin du monde
on l’aurait su, ou pas pentoute, mais peu importe c’est l’heure du lunch
et les nouvelles sucent toujours pas, il tournent les pages, mais pas la bonne
faut dire que les avocats, le rappellent que pour la somme
parce que la défense se paye, comme si le sport est un divorce
et que les femmes sont des trophées gravés du nom des pires salopes
faut lâcher prise, reformater le triste et dur
pour dire aux jeunes la vie c’est pire et de pas lâcher leurs crisse d’études
la vie c’est juste des injustice qu’on a vu venir
comme un virus qui contamine et tu diras

[refrain]
au fond j’mérite juste de crever
j’suis pas assez riche pour la société
au fond j’mérite juste de crever
j’suis trop artiste, j’suis comme dédé

[couplet 3]
parce qu’un café ça vaut trois piasses, pis que mon rap vaut pas de la marde
j’ai le flow qui coule pour réveiller deux*trois consciences déjà dans marge
le reste est fake pis ça c’est vrai, les livres d’histoires n’ont pas d’secrets
l’histoire n’est que l’égo de l’homme, c’est derrière elle que tout se crée
pis f*ck l’histoire, c’est juste du monde qui s’la raconte
sans l’école pis les mensonges, y’auraient des rues qui manquent de nom
c’est comme des faits qui ont des allures d’une opinion
ils hallucinent devant l’effet comme des paulines su’l champignon
c’pas beau dommage, j’en fais pareil
sauf c’est du rap, c’pas toujours beau, t’es mieux d’l’avoir dans les oreilles
j’pas trop placé pour les conseils quand mes parents m’avancent une paye
pis qu’mon dealer me front un once, c’pas vraiment l’temps d’avoir une date
j’ai plus la honte d’être un poète, j’ai pas d’réserve et pas d’village
trop tout c’que j’suis pour faire parti des commérages
moi j’ai tout fait, mais surtout c’qui fallait pas
j’tais tellement riche quand j’faisais tout c’qui fallait pas
j’tais tellement riche quand j’faisais tout c’qui fallait pas
j’tais tellement riche quand j’faisais tout c’qui fallait pas
j’tais tellement riche quand j’faisais tout c’qui fallait pas
j’tais tellement riche quand j’faisais tout c’qui fallait pas

[refrain]
au fond j’mérite (au fond j’mérite)
juste de crever (juste de crever)
j’suis pas assez riche (j’suis pas assez riche)
pour la société (pour la société)
au fond j’mérite (au fond j’mérite)
juste de crever (juste de crever)
j’suis trop artiste (oh trop artiste)
j’suis comme dédé (j’suis comme dédé)

- koopsala

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