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lirik lagu tu m’connais – l.i.o. petrodollars

je suis pas un super héro gangster, va parler à une autre star
si ma vie était un film, je remporterai des oscars
la définition d’un ksos, je me sens bien que dans le brouhaha
j’ai la poisse d’un chat noir, j’ai grandi dans un trou à rats
des prost-tuées devant mon hall, plus d’ascenceur, le frigo vide, les fins d’mois douloureuses qui souvent donnent des briques au bide
la vie m’a fait un hold-up, mais je n’ai jamais baissé les bras
dis à un g-y “hold” -bip- , ses cicatrices seront cérébrales
les blessures sont internes, l’alcool les désinfecte
ceux qui connaissent la faim te parleront jamais de pet-t dej’ infecte
un mwanamay avec les poumons d’un amphibien
en gros un type rare comme de trouver une jeune fille bien
j’aime trop les femmes, asiatiques, latinas ou negresses
mais je te previens tout de suite, tu peux être que ma maitresse
c’est la rue qui m’a épousé, je suis en instance de divorce
j’ai vu des trucs sanglants comme un taon, j’p-sse à dix corses
la vie s’corse, et les noeuds s’tordent
j’ai plus d’un but comme wiltord,l’existence d’un big boss et c’est sans jouer les rick ross
poussez-vous d’mon chemin, j’reviens de loin, et wallah t’imagine même pas quand je te dis que je reviens d’loin !
j’ai dormi dans des métros, j’ai grandi dans des taudis
et je t’en dirai jamais trop, car j’t’aurai jamais tout dit
donc si ce son t’touche, malgré la distance
c’est que t’es un vrai et qu’on mène les même existences
y’avait des rabzouz, des pakpak et des portos
maintenant c’est chacun pour soi et puis dieu pour tous !
je me dois d’avancer tel un lion dans la savane
avant rien qu’j’les chariais, maintenant j’ris même plus quand ça vanne
ca c’est pour tous mes gars des moulinous à paris 9′
pas l’temps de freiner, s’laisser ralentir par une meuf
car pour la réussite, j’ai pris un faux départ
vingt-quatres piges toujours à iep pour le bm il faut des boires
j’veux mettre la famille bien j’men fous d’avoir un cayenne
j’veux décoller comme la fusée arianne à cayenne
toucher les étoiles avec les supporters
la tête dans les nuages et les deux pieds sur terre
on s’est tous calmé t’as vu maintenant c’est nous les grands
comme le temps p-sse vite, putain maintenant c’est nous les grands !
vieux avant l’âge sa fume des bédos entre calvities
si t’aimais pas le style, aujourd’hui en tout cas l’voici
dans le rap ou dans la vie j’nique tout avec un style unique
comme el mago j’fais d’la magie avec un stylo bic
j’fais bouger la tête des jean-luc et des mohammed
avant j’étais loyal, maintenant je compte sur moi-même
compter sur les gens, autant faire des soustractions
les équipes se divisent, les flics arrivent en faction
infractions sur infractions, pendant que tu fais des tractions
ouais, moi j’suis là comme ce son j’tourne en rond
y’a pas d’punchlines, là c’est le coeur qui parle
dans les embrouilles on fait des stratégies comme dans une guerre navale
au on fou tié-quart la merde, comme dans un carnaval
le rire cache les faiblesses car enfait, mon coeur va mal
j’suis dans l’imp-sse, foncedé j’accélère, (j’accélère)
j’fonce dans l’mur faut que j’saute j’crois que c’est l’heure ! (j’crois que c’est l’heure)
j’ai le moral d’un soldat américain chez les viets’
j’suis né pour réussir pas pour ram-sser les miettes, nan, pas pour ram-sser les miettes

wesh t’es prévenu ! pas venu là pour rien mon frère
celle-ci c’pour tous les vrais tous ceux qui croient en moi mon frère
les vrais pas les mythos mon frère

tox prod, s-xion d’-ssaut, 9ème zoo
les soukouna, morales !
dzo mon gars soin

tu m’connais, j’p-sse la plupart de mon temps à zoner
la daronne qui se tue en me répétant “faut raisonner”
-ssis sur un banc je me rend compte que j’ai déconné (oh j’ai deconné)
mais tu m’connais !! (x3)

- l i o petrodollars

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