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lirik lagu peur de vivre – la chronik

[intro}

c’est la chronik mon pote

[couplet unique]

écoute nos vies ne sont pas les mêmes
mes frères mangent comme des porcs
mais finissent même pas les maigres
j’ai plus de salive sous le palais mec
envoie deux trois gées*gor
un deux trois j’égorge, chaque jour l’instrumentale
j’ai besoin de vider mon sac
les plaies détruisent même mon mental
alors dit moi que décrit tu
ose parler de ma vie putain c’est toute mon écriture
ta pas compris j’y met du coeur
plus que t’en donne même à ta femme
mec elle connait bien ta faille
regarde la dans les yeu’s
oublie pas que le vent t’emporte
j’connais le prix d’une balayeuse
et dit moi pas j’men bat les lle*coui
quand toi connard tu m’idolâtre
ma mère lavait leur sols
et seulement pour 400 dollars
tu pense avoir le dos large
je sors tout droit d’un contenair
cette rage que je contient
vaut plus qu’un con dans tes ténèbres
en gros j’suis colérique hein
j’suis qu’une petite boule de nerfs
qui sent bien quand il colle des rimes
et quand t’es seul c’est pas terrible
le rap c’est qu’une bactérie
bientôt j’arrête c’est toi qui kiff
poto quand tu back tes rimes
le rap c’est pas la vie, et j’aime quand j’ai du mal à vivre

eh c’est vrai j’ai peur d’aimer car recevoir c’est difficile
on préfère décevoir, on
comble plus ses pertes ouais comme on comble un déficits
alors on se met la def ici
ocb, oh c’est bête, aller ce soir je me roule des bats et
je fume comme un bâtard
dans mes poumons c’est chant de bataille
l’amour me dit fait ci, pendant que la haine me dit fait ça
la mort nous fait des signes, mon dieu comment modifier ça
j’ai compris l’erreur ça coûte cher, on est né sans mode d’emploi
celui qu’esquivera mieux les coups de chaîne
et vas*y mon pote te escuche
c’est ce que je pensais savoir, mais j’ai compris que peur d’aimer
bah c’est bien la peur de vivre, c’est vrai je pensais qu’à moi
j’ai peur de m’ouvrir aux autres, j’ai peur de mourir aux os
enfermé dans une cage ouais ligoté par vos roseaux
mais j’ai les clés de la délivrance et puis je trouve ça même délirant
tant d’années à passer dans ce combat contre soi*même
finit de se faire du mal si c’est comme qu’on te reçoit mec

j’ai besoin de vider mon sac les plaies détruisent même mon mental

nan j’voulais pas me dépecher mais je crois qu’il est temps de me ser*po
oublie tout mes pêchés
je porterai les tiens sur mes épaules
promet moi de plus faire attention
le rap c’est pas la vie et j’aime quand j’ai du mal à vivre
big up à mon frérot kanaye
bientôt sa passe la bague
oublie tout tes soucis on se fait plus péter par la bac et
regarde c’est plus pareil
et même le groupe il disparait
chaque jours au fil du temps regarde ce qu’il disent paraitre
mon frère t’a les clefs du temple
comment te dire j’suis fier de toi
et j’te souhaite tout le bonheur du monde
le sourire de celle que t’aime frère
t’éloignera du monstre
que dire de retah mon gros tu vas devenir papa
t’inquiète oublie ton sky on ira boire du jus de papaille
écoute moi j’ai le sourire à l’heure ou j’écris ces paroles et
laisse toi guider par elles prend soin de ta princesse
regarde le rap c’est plus pareil
on a du mal à prendre plaisir
mon frère oublie le sh*t, elle rendra ta vie paisible
regarde c’est plus pareil et même le groupe il disparaît (disparaît)

- la chronik

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