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lirik lagu j’vais essayer – lamacheef

[couplet 1 : lamanif]
j’vais essayer… “je mets mon membre dans tous les membres du psg”
il a dit ça quand il est v’nu au rc
toi, t’es un grand grand fou, t’es v’nu en france avec des références en foot
mais c’est l’québec ici, fait qu’si tu tends l’oreille, tu peux les entendre s’en foutre
yo, les battle rappeurs, je vous aime très très peu
j’pénètre toi, j’pénètre lui et je pénètre eux
t’as dit : “j’ai dix juifs dans mon back, j’suis ténébreux”
ta mère t’a étouffé à ta naissance, t’es né bleu
les gens disent : “t’es un génie” mais j’suis pas trop pour, des comme toi, y’en a beaucoup
tu fais qu’des phases où tu places le mot “table” au bout
mais, moi, je suis le seul homme de toute la salle
je trouve ma place tout au bout d’la table
et t’es qu’une f*cking table, tu n’as rien d’formidable
sous le cul d’ta grand*mère, j’suis une chaise en formica
la seule arme dans mon caleçon : une bite, je suis génial, eux sont stupides
toi, quand tu rappes, on veut couper le son, plus d’beat ; la table reçoit une leçon : pupitre
et t’es super tactile comme une esti d’f*gget
j’arrache les couilles de cette table, t’es qu’une f*cking tablette
à chacune de mes lines, ça fait un bruit d’pompe
une pluie de balles sur cette table comme au ping*pong
j’arrive le zizi mou, tu r’pars le cul limite rouge
j’dégage la table de cette pièce : ça, c’est un living room
et tu es nullissime, nuisible
j’t’encule jusqu’à c’qu’ton cul il siffle
j’te body bag, maudite table, on n’te veut plus ici
t’es comme coco puis marie vans : ta f*cking place est dans une cuisine
mc table, j’te tronçonne comme un arbrisseau, c’est un p’tit arbre
j’ai des projets radicaux, tandis qu’moi, dans c’t histoire
j’viens diviser une table en trente*six fois : ça, c’est un deal de chez brault & martineau
de toi à moi, je préfère moi à toi
puis, en passant, swing la bacaisse dans l’fond d’la boîte à bois
[couplet 2 : cheef]
yo, j’étais à un réveillon, posé sur l’teck, j’ricane
deux têtes parlent rc, j’dis qu’j’le clashe, là*dessus, les mecs divaguent
ils m’disent : “c’est un bête de lyriciste, limite le next zidane
il choisit l’thème, contrôle, roulette sur l’même champ lexical !”
j’leur ai dit “foot / rap ?” , j’voyais pas l’rapport
j’te tape, pieds nus, sur ton terrain, avec toi dessus en mercurial vapor
t’as lu les manuels, petit, mais ta vie est ratée
atterris en rimes, ton *rs*nal épate que les moins d’quatorze
sans dec’, c’est un trip où ils tordent les rimes, puis restent
attirés par l’or, croient s’couer la langue française
ce gamin post*pubère campe dans cette vaine guerre
longtemps déjà, on sent qu’c’est un genre de grande branlette
une technique facile, parfaite quand l’inspi’ diminue
t’imagines n’importe qui en face, puis c’est craché en moins d’dix minutes
s’tu m’dis qu’j’suis personne, j’te l’dis direct fils, c’est vite fait
v’nant d’une b*tch qu’a b’soin qu’on la lui tienne pour p*sser
s’habituer à la ficelle fixée entre chaque fesse
c’est l’risque, à être juste la b*tch du fils de jack mess
casting ? carlton de nice avec dodo la saumure
dans l’parking, quatre pelotes de ficelle : sodo’ face au mur
quand il en a eu marre d’t’enfiler
il t’a emmené voir les vrais gros poissons au marineland d’antibes
fils, tu es du sud ? on va pas trop t’taper d’entrée
tu m’casses du sucre sur l’dos, passe*moi d’la pommade désormais
gros, dans mon scénar’ : sur l’tremplin, tu t’vautres, édenté
pratique, tu f’ras des pipes parfaites sur la promenade des anglais

- lamacheef

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