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lirik lagu méchant blanc – larmorikain

[intro : larmorikain]

un mot de trop, un regard, un taxage de clope
ils sont nombreux, les préparatifs
mécréant n’aurait pas dû sortir dehors
et là ils étaient deux, prêts à agir
j’vais t’crever sale blanc, sale céfran
et tend sa lame d’opinel, menace ma vie
j’ai même pas pensé à m’défendre et non
car au tribunal, c’est moi l’raciste

[refrain : larmorikain]

evidemment, c’est moi l’méchant
méchant, méchant, méchant blanc
méchant méchant méchant méchant méchant méchant méchant
blanc
méchant méchant blanc méchant
cruel et sanglant
méchant méchant méchant méchant méchant méchant méchant

[couplet : larmorikain]

f*ck ce virus c’est la cadet d’nos soucis
c’est pas du covid que j’vois les nôtres mourir
on vous a vus on a cramé vos grooming
on s’fera plus avoir pas des beaux sourirеs
c’est pour les derniеrs, blancs des cités
n’y restez pas, fuyez, partez faut courir
pourquoi rester dans une france déchirée
si c’est pour contempler sa nécrose pourrir
le déclin d’l’avenir part dans tous les sens
le mal est devant nous on peut plus faire semblant
et ne viens pas me dire que c’est tout récent
tous les ans le sol est taché du même sang blanc
le pire c’est que si t’es fier d’être né en france
que tu penses à ceux qui sont morts dans les guerres d’antan
que tes projets c’est pérenniser ta descendance
tu seras catégorisé comme une méchant blanc
je sauve les miens avant les voisins
européen est mon tempérament
dans ce sentier j’avance, comme un pèlerin
vers un terrain ou la france est la france
ou le calme règne, la campagne verte
ou l’art de faire remplace l’arme de guerre
réinstaurer nos terres, nos lois
tel est le destin du fier gaulois
[pré*couplet : kiba]

l’un, menace, de vi*ler ma fille
un autre veut schlasser mon fils
ils font des signes obscènes à ma femme
et me narguent sans cesse
dans le nuit me font des appels de phares
dans ma boîte aux lettres ce matin un message
“sale kouffar on va t’saigner avec tes enfants”
j’appelle la police, pas d’déplacement
j’m’énerve et finalement ,c’est moi l’raciste

[refrain : kiba]

[couplet : kiba]

indésirable dans mon propre pays
j’ai fui à la campagne, les villes sont envahies
j’ai conduit ma famille à l’abri
mais pour combien d’temps, pourra*t*on bien contenir l’hémorragie ?
nan, pas très longtemps
ils sont trop nombreux, l’etat nous attend au tournant
leur banlieues s’étendront jusque dans nos contrées
donc c’est maintenant qu’il faut se placer clairement contre eux
fini d’plaisanter, place aux hostilités
face à leur b*st**lité pas d’raison d’hésiter
faudra pas s’contenter d’résister si on veut continuer d’exister
leurs flics vont nous pister
on l’sait on s’tait on l’fait, on paiera le prix
l’addition s’ra salée mais leurs services sucrés vont s’épuiser
on leur laissera aucun répit
on a la vigueur et la vitalité d’une génération qui
combat pour sa vie
au diable les boomers et les droitards périmés
ces vieux débris décadents n’auront rien compris
on entreprend notre sauvetage, tous seuls en urgence
que dieu nous protège
les survivants du naufrage s’en tireront sans les chances
du white privilège
[outro : larmorikain + kiba]

du grand méchant blanc
méchant méchant méchant méchant méchant méchant méchant
blanc
méchant méchant blanc
méchant, mortellement cinglant
méchant méchant méchant méchant
pas question d’faire semblant

- larmorikain

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