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lirik lagu on refait le monde – le classico organisé

[refrain : doria & graya]
la vie c’est dur, bah ouais
il faut des thunes, bah ouais
ca bossait dur de paris à m*rs*ille
oui tu sais qu’on est les mêmes
frérot c’est partout pareil

le jour j’ai zoné, la nuit j’ai volé
avec mes potes, j’voulais refaire le monde
mais j’avais pas les lovés (pas les lovés)
pas les lovés (pas les lovés)

[couplet 1 : doria]
eh poto, j’suis dans la [?]
je les faits drifter comme une allemande
j’ai mon cul sur la banquette
dans ma voiture ya pas de balances, nan
on vit la même vie ça, de paris à m*rs*ille
ca se rеfait sur parions sports alors qu’y avait pas 1 au réveil
on sera pas potes, toi tu rabaissе quand tu veux gérer l’autre
pour elle, pour lui, j’suis prêt à tuer pour la fierté des nôtres
on connait le travail qui t’achève, ici ça marche quand tu t’acharne
zerma tu pensais à moi, je sais déjà pourquoi t’appelle
ma mère m’a dit “faut pas faire de mal, tu l’oublieras après
ils retiendront que ça et tu diras j’pas fait exprès”
et demain même si je perds tout il me restera la famille
j’dis hamdoullah c’est dieu qui donne
ca se trouve demain c’est la famine
[couplet 2 : veazy]
qu’est ce que tu veux que je te dises ?
[?] rien de bien drôle pour oublier j’tease
weed, vodka, rhum ,j’ai finis comme [?]
pourtant moi j’voulais rien d’illégal
détaillé barette coco, ouais je me revois dealer grammes
ya des cross, grosse voitures de haute gamme
des coups de crosse perdus à cause de la bonne cam
c’est l’illicite, jsuis [?]
pourtant [?]
qu’est ce que tu veux que je te dises ?
j’garde le moral comme un battant (ouais)
j’suis debout, plus peur de ber*tom
j’en ai trop eu, plus rien ne m’étonne, oh no

[couplet 3 : m.o bourbier]
tu l’as senti dans mes frappes
on s’est mangé la vie
pour mon tieks, pour les [?]
on est connus pour la rue
[?]
j’ai ma place dans l’équipe à solary
je fais des [?], je fais des passes
j’reste à l’affut dans la ville
ici ça pète, on parle pas
soudé comme [?]
[?]
j’roule un gamos vers [?], ya mon blaz au velléda
vers m*rs*ille, le vélodrome, j’commence à être mélodrame
moi j’ai fait [?]
[?]
[refrain : doria & graya]
la vie c’est dur, bah ouais
il faut des thunes, bah ouais
ca bossait dur de paris à m*rs*ille
oui tu sais qu’on est les mêmes
frérot c’est partout pareil

le jour j’ai zoné, la nuit j’ai volé
avec mes potes, j’voulais refaire le monde
mais j’avais pas les lovés (pas les lovés)
pas les lovés (pas les lovés)

[couplet 4: soso maness]
a la base des bases, mon frère j’rappe pour les mecs de ma rue
[?], bien sur tiré d’images crues
face à mes potes dans l’au*delà, combien de fois j’ai failli les rejoindre ?
j’ai très vite compris que le respect se gagne avec la crainte
le daron a travaillé toute sa vie mais finalement il a que des miettes
alors j’ai jobé dans le bloc puis j’ai acheté une mitraillette
et si demain, je me confesse, j’ai de quoi choquer tous tes prêtres
et tu me verras jamais venir, comme le go donné par un traitre
la boule au ventre, j’entends les giros
et quand on cuisine le crack, c’est des cristal minéraux
les ptits sont pistés par la bac, les grands par les fédéraux
big up à tout ceux à la [?] d’un pédophile, dix coups de couteaux
[couplet 5 : niaks]
mauvais j’suis miné comme la a13 ou a7
mais tu connais je bombarde et le vieux en a jamais assez
et toute la nuit j’ai fait le [?]
j’en ai des cernes [?]
chez toi ça pue la réserve
j’ramène la fraiche, toi tu la cache
[?], sors de la dèche, j’paye les affaires cash
[?]
[?] au charbon pas de mi*temps
personne est matinal ici ça vesqui la perquis’
force [?]
[?]

[couplet 6 : mino]
posé dans le calme, j’observe le sale horizon
noyé dans l’air du temps, j’suis sincère comme le béton
nan j’ai pas baissé les armes, j’ai r’chargé les munitions
[?] même si j’ai tors, le coeur a toujours raison
j’ai le destin tracé et l’âme anthracite
noir et angoissé, j’ai le coeur qui bat vite
une vision blasée, trajectoire tragique
m*rs*ille paris c’est la même merde, y a rien de magique
on s’égare et c’est de la quali, c’est ça le flow que j’ai sorti
c’est la folie, c’est du mino, jsuis rare comme un bon amorti
jsuis dans l’esp*ce, [?]
parce que le niveau est trop haut sur la bo m*rs*ille*paris

[refrain : doria & graya]
la vie c’est dur, bah ouais
il faut des thunes, bah ouais
ca bossait dur de paris à m*rs*ille
oui tu sais qu’on est les mêmes
frérot c’est partout pareil

le jour j’ai zoné, la nuit j’ai volé
avec mes potes, j’voulais refaire le monde
mais j’avais pas les lovés (pas les lovés)
pas les lovés (pas les lovés)

[couplet 7 : jul]
la tête est pleine comme le disque dur
jobba dans la chambre pour des disques d’or
p’tit frère fait té*per jusqu’à la fermeture
le zin vient de rentrer, j’ai mis son [?]
ah, viens pas me voir quand t’es dans la mierda, t’étais pas là avant
des gens ils font les gros, je les ai vu partir en cavalant
la devise du quartier tu connais, “faut pas balance”
ils voudront tous ta vie, quand sur eux t’aura pris de l’avance
eh, mon frérot tu colles tout le monde, ne viens pas me parler des miens
a l’affut, pas de gars alors ça mettait des chaussettes sur les mains

[couplet 8 : fresh ladouille]
le benef est fait donc on s’entend khey
fais pas le macro, ça peut venir t’éteindre sur un deux temps quand tu commence à te détendre
des reufs qui tournent encore depuis deux étés
la rue c’est plus ce que c’était
un gramme de coke pour qu’il retourne ta cité
et sac à merde range moi ton glock
t’es con, tu veux que les clients courent
j’ai passé le stade, jpeux plus me permettre de prendre des sappes sur clignancourt
j’en roule un ther, j’écris encore
paro, je les vois qui partent en couilles
j’peux pas toucher l’bénef il reste 2 kils encore
cas sociaux ça fait des courses poursuites sur des bécanes volées
les p’tits en pcx, ils barodent cagoulés
t’as que de la caille donc t’étonne pas si t’as coulé
j’sors de chez la nounou, je les ai vus débouler

[couplet 9 : graya]
y a rien qui m’impressionne, j’ai vu la mort de près
les revolvers, les tenues noires, la cité c’est plus ce que c’était
tu peux me croire, on vit au jour le jour, on tend même plus la joue
on court derrière les thunes [?] car on a plus d’amour
demande [?] on s’emboucane plus
m*rs*ille c’est cramé, pour un regard ça tue
tu fais le rappeur mais tu n’as pas la gestu, la vertu, le vécu
moi, je suis venu, j’ai vaincu
j’suis dans mon hall, j’picole quand je fais les comptes
si tu payes pas à temps, c’est règlement de comptes
eh ouais mon poto, on a fait couler le sang
si t’es pas de ma famille, ne m’appelle pas le sang

[refrain : doria & graya]
la vie c’est dur, bah ouais
il faut des thunes, bah ouais
ca bossait dur de paris à m*rs*ille
oui tu sais qu’on est les mêmes
frérot c’est partout pareil

le jour j’ai zoné, la nuit j’ai volé
avec mes potes, j’voulais refaire le monde
mais j’avais pas les lovés (pas les lovés)
pas les lovés (pas les lovés)

[pont : graya]
on aime la rue donc elle nous ruse
et elle nous charme avec la drogue, la thune
on est tous camisolés (camisolés)
la came isolée (came isolée)

[couplet 10 : le rat luciano]
[?] les rois de la ville, rien qu’on consomme
qui n’est pas avec nous est contre, rien qui console
de la peine pour qui en vaux la peine, le reste c’est pas la peine
personne encaisse la perte à tous ceux qui manque à l’appel
chacun sa place, f*ck le pass, plus rien ne passe
tôt ou tard, on y passe, coincé dans l’impasse
rien à perdre, tout à prendre mais on peut s’entendre
pas question de s’étendre, [?] tout le monde peut s’en prendre
f*ck l’école et tous les codes, ça ne peut pas attendre
chemin de la déconne, tu vois le décor, ça ne peut pas s’apprendre
la vie c’est dur, bah ouais, les cœurs finissent par se fendre
poings par se prendre, armes par se tendre, types par se pendre
mon sang sur la bande son, toute ma vie tatouée
j’sais comment les gens sont mais je peux pas tout avouer
par ici, ça veut tout à souhaits, tout en mains
aujourd’hui c’est demain, toujours en chemin pour meilleur lendemain
[?], fais en sois discret
[?], jamais distrait [?]
faut pas traîner [?]
[?]
toujours pas mieux comme contenu
a chaque trahison j’suis comme nu
toujours pas eux comme convenu
mon oncle n’est pas cornu, la vie c’est dur, je l’ai pas reconnu
rend jaloux ta gadgi, je regrette pas ce que j’ai pas connu

- le classico organise

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