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lirik lagu fin d’une lettre (part.1) – les songeurs

[couplet 1: apophis]
j’écris, j’accuse à la zola, le monde c’est un zoo là
on crée l’avenir on zone pas, pas d’lean on bois pas d’ces eau la
mais j’reste inspi par luv resval
le riche vie, le pauvre rêvera
si j’abandonne la zik pas sur que la miff me reverra
et y aura pas d’face reveal, et y aura pas d’phase finale
pour le cancer des flics en civil
pas de peine pour l’code pénal
lepen, je crois que ta pas lеs infos, les racistes tue
donc si j’tе croise je te saute dessus comme une nympho
on se croirait dans du post*apocalyptique
avenir dépend du code postal, c’est pathétique
tous les jours on se croirait au shtar, à s’enjailler pour un pochtar
a rêver de devenir pop*star mais à coincer parce qu’on ôse pas
donc j’rêve de sam, mathis, le feu qu’on crache m’attire
j’veux jamais qu’il s’attise
f*ck l’alcool, jamais ça tease donc
j’écris des textes grandioses en espérant cé*per tantôt
parce que je suis sur qu’être une légende j’en ai le symptome

[refrain: leyu]
wow je voulais juste parler, le rap mon parloir pour partir loin d’ici
avec l’esprit reposé, au stud je sais qu’il sont fiers
voici une petite pépite produite et rapper par deux frères
wow je voulais juste parler, le rap mon parloir pour partir loin d’ici
avec l’esprit reposé, au stud je sais qu’il sont fiers
voici une petite pépite produite et rapper par deux frères
[couplet 2: leyu]
j’aimerais triompher à la luther, dans ce monde que les mots luttèrent
que le coup ne résout rien mais cette mesure j’observe que les oiseaux se taire
un milieu hostère ou nos pensées sont hostiles
c’est dur pour l’estime de soi, il faut être docile
facile? je crois pas, ta vu les griffures et les ratures?
le toit est devenu confession avec mère nature
toutes les larmes, l’envie des lames m’ont senti comme tué
marre de faire semblant pour me dire “tu es bien comme tu es”
et je sens que je les frustre car mon l*stres reste allumé
toute la nuit, comme si l’anesthésie était annulée
j’écoute donc ce qui me rend triste
des vieux sons où les vieux sont dans des ehpad à pourrir
normal de finir mal luné, m’amuser c’est fini
faut qu’j’bosse, que j’boxe l’instru de joie de vie
dévie pas la réalité que j’pense injuste
mais un zeste, de leur rap indigeste, me fera faire plus d’un geste

[refrain: leyu]
wow je voulais juste parler, le rap mon parloir pour partir loin d’ici
avec l’esprit reposé, au stud je sais qu’il sont fiers
voici une petite pépite produite et rapper par deux frères
wow je voulais juste parler, le rap mon parloir pour partir loin d’ici
avec l’esprit reposé, au stud je sais qu’il sont fiers
voici une petite pépite produite et rapper par deux frères
[couplet 3: apophis]
rap, un parloir malhonnête, depuis qu’être triste c’est devenue stylé
ils le feintent pour que le son soit plus streamé
dans leurs discographie que des sons tristes, en mode tu pleures depuis 2010?
ta juste compris qu’un dépressif ça faisais des chiffres
mais bon faut bien que j’exteriorise que
malgrès mes bienfaits ils me méprisent, ils le l’aient prise
rallume un j qu’il reprenne l’emprise
encore une nuit où je vais pas dormir, dans ce corps dont je peux pas sortir
avec ces pensées qui filent, qui me rappelle cette fille
si mes potes étaient pas la, ce soir là
j’aurais grave pris les six médocs
voir si on garderais mes to*ph, si vivre j’en avais l’étoffe
bref, quand j’irais mieux le rap pour moi ça s’arrêtera
en attendant je cache mes lames et je craches mon âme
car j’ai seize ans, l’enfer je connais tout ces endroits
l’échéance ferme des jeunes en droits
les jeûnes sans choix ont forgé ma jeunesse
ils feintent d’être triste, j’ai faim de plus l’être
en bref j’suis sûr que je verrais pas la suite de ce monde
c’est ce qui conclut la fin de ma lettre

- les songeurs

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