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lirik lagu intro – lesram

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[paroles de “intro”]

[intro]
ouais
wesh, enfoiré
3.1.0

[couplet 1]
faut qu’j’bouge un peu, j’suis trop à*l
on sort des cross, on fait pas du trial
c’est la street réelle en survêt’ real
ça paie pas d’impôt, ça s’enfume comme un deux pots
ça s’fait péter par la dép’ et ça finit au dépôt
ils t’ont loupé, t’as eu du pot, y en a qui ont fini paumés
paumé, t’as croqué dans le pommier (ouais, ouais)
c’est comme ça, on peut pas changer les voyous
jusqu’à la fin, on a faim, on veut pas manger des cailloux
c’est ça, la vie : faut remplir un frigidaire vide
au pied du mur, faut faire du fric hyper vite
dans l’fond, on est p’t*être des mauvais hommes
“argent, pouvoir”, dans ma tête, ces mots résonnent
tranquille, les jours s’répètent, j’rallume un pilon en bas
faut qu’j’finisse riche, que j’trouve un filon en balle
tous les mêmes : c’est le biff que mes potos ciblent
on veut sortir d’ici le plus tôt possible (wesh, enfoiré)
mon gars, toujours avec sa chich’
j’roule un bête d’haschisch, j’suis pas une tête d’affiche (nan, nan)
toi, t’as perdu du buzz, t’as baissé en vues
mais, depuis ça, ton pote, il t’a laissé en vu (il t’a laissé en vue)
[refrain]
pour le croire, il faut qu’tu l’vois (faut qu’tu l’vois)
ça laisse un goût amer, c’est comme le goût du vin (goût du vin)
et si tu viens d’en bas, faut savoir où tu vas (wesh, enfoiré)
mais si tu montes, faut pas oublier d’où tu viens, ouais, ouais

[couplet 2]
c’est pour les mecs qu’ont la poisse, c’est pas pour les chanceux (nan)
à trop faire le modeste, tu deviens prétentieux
regarde pas l’assiette des autres, si c’que t’as, tu l’as mérité
un mensonge, c’est une plume, face au poids d’la vérité, il est tranchant
il est en fer, le sabre, obligé d’faire le sale
j’suis pas fier de ça et mes frères le savent
j’me verrais bien sur une mer de sable, mojito*glaçons
j’crois en moi, j’t’écoute pas, t’es un gros mytho t’façon
on a trimé, forcément, on veut passer du bon temps
on r’ssemble pas, toi et moi : quand t’es blasé, j’suis content
nan, en vrai, bats les couilles, j’suis pas fâché, tu comprends
au quartier, nos sentiments, ils sont cachés d’puis longtemps, ouais, ouais
j’suis dans la planque, rien qu’ça détaille le poison
mais y a des clients qui pêchent, ils veulent de l’écaille de poisson
facile de faire des rimes, plus dur des dire des choses
du genre : “faut v’nir per*cho, ici, ça tire, c’est chaud, tu vas finir qué*cho”
ça porte des affaires quechua, les p’tits s’réchauffent
sur le béton, ils doivent déjà faire des choix
alors j’m’en fous de savoir c’que toi, tu vas préférer
j’fais c’que j’aime, j’suis confiant, je sais qu’tu vas t’effrayer
c’est souvent quand tout va bien qu’ça commence à s’aggraver
t’as fait du mal à des gens bien, c’est sûr, on t’en f’ra baver
nous, on écrit sur les murs même si on sait pas graffer
la ppe*fra, ça vaut cher, la pochette est bien agrafée
et c’est pas mon but d’aller taffer au starbucks, à la caisse
c’qu’on aime, c’est faire des sous, des p’tits barbec’ à la tess
envoie un plan, t’façon, j’vais pas cracher dans la soupe
j’suis prêt à tout comme ce mec qu’est caché dans la soute
rien à faire de commander un delhi sur deliv’
ici, les jeunes, ils commettent délit sur délit
tous entassés, on empile des lits sur des lits
pour l’instant, ma vie, elle s’est pas embellie, tu délires
[refrain]
pour le croire, il faut qu’tu l’vois (ouais, ouais)
ça laisse un goût amer, c’est comme le goût du vin
et si tu viens d’en bas, faut savoir où tu vas
mais si tu montes, faut pas oublier d’où tu viens, ouais, ouais

[couplet 3]
ça part en couilles, on veut le port d’armes, faut pas nier
quand j’écris, c’est précis comme jordan au panier (ouais, ouais)
ça sent la merde si y a les gendarmes au palier
il m’faut une p’tit montre en or pâle au poignet
on dort pas, faut parier sur nous, c’est une cote à 3.10
stop, j’m’en fous des states, il m’faut les loves à travis scott
au quartier, j’suis pas méconnu
c’était mes frères mais là, ils s’trahissent comme s’ils s’étaient jamais connus
moi, j’veux gagner, nique la partic*p*tion
tous les mêmes, pas de star ici, t’façon
j’suis pas trop amical, j’suis meilleur dans les qualifications
j’marche sans canif, sinon, t’aurais une scarification, ouais, ouais (ouais, ouais)
on marche ensemble, on est liés, le ‘sin
on vient du bas de l’éch*lle comme le billet de cinq
bébé cherche un mec mortel, viens, c’est par là, ma biche
tu verras, j’bois des c*cktails et le soir, j’parle à ma kich’
eh, va là*bas, miss, triste comme karaba
j’suis pas khabat, j’tise, akha, j’triche comme karabatic
laisse*moi rabattre sh*t, be*her à des ients*cli chics, chics tah [?] (pch, pch)
y a la bac, à la base, j’voulais m’tailler loin, loin, genre en alabama
les thunes à alaba mais j’ai fini à la barre, moi
bien sûr que t’as la dalle avec même pas un scalape par mois
j’suis sûrement pas arrivé jusque là par magie
chez nous, le sh*t, c’est pas un sujet tabou
pour les vendeurs de [tamou ?], le monde est à nous (310)
tous postés jusqu’à douze heures comme des piliers
jugés sur notre couleur comme des billets (ouais)
[refrain]
pour le croire, il faut qu’tu l’vois (faut qu’tu l’vois)
ça laisse un goût amer, c’est comme le goût du vin (wesh, enfoiré)
et si tu viens d’en bas, faut savoir où tu vas
mais si tu montes, faut pas oublier d’où tu viens, wesh, enfoiré

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