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lirik lagu question – lesram

[paroles de “question”]

[intro]
ouais, ouais
3.1.0
mehsah à la prod (mehsah à la prod)
pour la calle
ouais, ouais, eh
wesh, enfoiré (‘foiré, ‘foiré)

[couplet 1]
dans l’fond, on s’croit tous un p’tit peu spécial (spécial)
pareil de loin, différent d’près comme des étoiles (différent)
envoie les talles, les armes létales, qu’on les étale (envoie)
ça sent l’zetla à tous les étages (fiou*fiou)
retiens le bien (retiens), le passé vient de loin, le présent un peu moins
pour le futur, on verra bien dеmain (on verra)
le passé, l’tur*fu (ouais, ouais), j’ai la frappe qui sort du papiеr sulfu’
tu l’éclates et tu l’fumes (fiou)
c’est percutant (pah), tu perds du sang (tu perds)
j’suis dans l’ère du temps, sens contraire du vent (bah ouais)
j’ai un groove de fou (de fou), tu fumes grave du foin
wesh enfoiré, c’est comme une violente signature, un autographe de fin (ouais)
y a des pays où pour une greffe de foie, faut faire une grève d’la faim (olala)
des fois, j’m’en veux mais j’suis pas désolé non plus
tous un peu révolté, même les écoliers font l’pu
[pont]
okay les pookies, c’est bon ?
wesh enfoiré
vous êtes des pas bons

[refrain]
j’calcule pas (nan), trop d’poids sur moi
mais rassure*toi, j’me pose plus de questions (si, des fois)
j’sens que ça pète, j’me prends la tête (ouais)
j’suis dans la tess’, j’me pose trop de questions (trop de questions)
j’calcule pas, trop d’poids sur moi (eh, eh, eh, eh)
mais rassure*toi, j’me pose plus de questions (mais des fois)
j’sens que ça pète, j’me prends la tête (ouais, ouais, ouais, ouais)
j’suis dans la tess’, j’me pose trop de questions

[pont]
vous êtes tous une bande de foireux et de sales cons. vous savez pourquoi ? parce que vous n’avez pas les couilles de vous imposer dans ce monde. il vous faut des vrais mecs comme moi ! alors là, vous pointez vos pattes de rapaces !

[couplet 2]
j’veux le monde, ils veulent des os (ouais ouais)
faut que j’vois le désert (j’vois)
ou val d’isère c’est pas si loin à vol d’oiseau (pas si loin)
c’est la calle, y a des microbes qui veulent des armes (crr*crr)
qui volent des hommes, qu’enlèvent des âmes (des âmes)
faut avoir bien coffrer pour arrêter d’bibi (pour arrêter)
comme le coyote, on court après les bip*bip
mais fais bellek, y a des vils*ci, c’est trop miné
ils veulent me chopper comme titi et gros minet (ah)
j’ai l’sourire quand y a des chèques qui rentrent (ah)
j’porte une chaine brillante, j’suis sur une chaise pliante (bah ouais)
dans la jungle, on en a vu, des scènes flippantes
t’auras rien de plus même si t’es la plus belle cliente
les faux, les lâches, j’me détache d’eux (j’me détache)
tellement d’keufs, poto, ça fait des tâches bleues (ça fait des tâches)
on parle peu, on s’envoie des messages creux (ouais ouais)
on est sages que devant nos daronnes (nan, nan)
on charbonne, dehors ça boit, ça grogne mais sache que (sache que)
[refrain]
j’calcule pas (nan), trop d’poids sur moi
mais rassure*toi, j’me pose plus de questions (si, des fois)
j’sens que ça pète, j’me prends la tête (ouais)
j’suis dans la tess’, j’me pose trop de questions (trop de questions)
j’calcule pas, trop d’poids sur moi (eh, eh, eh, eh)
mais rassure*toi, j’me pose plus de questions (mais des fois)
j’sens que ça pète, j’me prends la tête (ouais, ouais, ouais, ouais)
j’suis dans la tess’, j’me pose trop de questions

[outro]
moi, je dis toujours la vérité, même quand je mens, c’est vrai

- lesram

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