lirik lagu hometown – loora
hometown, je ne quitterai jamais ce lieu
la fumée de mon joint dans l’ombre révèle un faisceau lumineux
hometown, j’m’acquitterai d’eux pour aller mieux
car à travers la foule j’m’entoure qu’avec des frérots luminiques
hometown, c’est ma zone de sécurité
même si le monde s’écroule j’n’aurai pas d’mal à léviter
hometown, peu importe où je me trouve
je ferai toujours en sorte de prendre appui, d’les éviter
leur existence me dégoûte, soupir
ruisselle sur ma peau comme des gouttes, j’laisse glisser
le peu d’intérêt que j’accorde à ces goules me crispe
alors j’démissionne à peu près de tout, pour glisser
j’leur en fous plein la vue c’est des kooks, maîtrise
lignes élégantes et ils sont jaloux, méprisés
journée foutue à la vue de ces ploucs, c’est triste
pour décompresser j’m’autorise un poup, mérité
leur existence me dégoûte, soupir
ruisselle sur ma peau comme des gouttes, j’laisse glisser
le peu d’intérêt que j’accorde à ces goules me crispe
alors j’démissionne à peu près de tout, pour glisser
hometown, je ne quitterai jamais ce lieu
la fumée de mon joint dans l’ombre révèle un faisceau lumineux
hometown, je ne quitterai jamais ce lieu
la fumée de mon joint dans l’ombre révèle un faisceau lumineux
hometown, j’m’acquitterai d’eux pour aller mieux
car à travers la foule j’m’entoure qu’avec des frérots luminiques
hometown, c’est ma zone de sécurité
même si le monde s’écroule j’n’aurai pas d’mal à léviter
hometown, peu importe où je me trouve
je ferai toujours en sorte de prendre appui, d’les éviter
trop peu de gens à mon goût, j’passe tout mon temps sur mes gardes
j’encaisse l’impact des coups et j’m’autorise en douce quelques larmes
parfois je n’suis pas certain de moi j’doute, et je rentre méditer au local
je me rappelle un certain mois d’août, où la vie nous paraissait au calme
des tapis soyeux p*rs*més de coussins colorés à mémoire de forme
le bruit de la console qui depuis trois jours comme le chat affamé ronronne
cette petite boule (pas de poil) noire que je découvre on l’a nommée sh*t de yon
finement entouré dans l’appart tout est si doux que je me love jusqu’aux aurores
mon nokia qui vibrait peu mais bien, nos joies nos plaisirs au quotidien
la grâce aérienne d’effy nous tuait mais promettait de belles expériences pour demain
le temps presque infini nous offrait son tempo sur lequel on jouait quelques notes
a la fin du morceau resteront gravés en moi ces souvenirs frais d’amour et de potes
le temps presque infini
le temps presque infini
le temps presque infini
le temps presque infini
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