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lirik lagu le village kokorico – lothkon

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bienvenue chez les beaufs, au pays du rouge qui tache et échauffe les chauds du football, déchus de stade pour des coups de boule. des coups de bol en sport, des coupes au bol encore ; où des boosters en bouts s’tapent des bourres sur le terrain en gore. des samedis soirs des coqs au ricard, qui crient des cocoricos. flairent la poule au comptoir, tricard, en tombant des mojitos. votent marine dans l’isoloir, et dénomine son voisin « le bicot ». des bigots sans une autre foi, qu’lui l’apéro, elle le tricot. des 13 heures de jean pierre pernaud, qui jamais ne tempèrent les erreurs de transfert, même nos mémoires, s’en perdent. sans permissions, les émissions ont mission de rendre -n-lphabète, sur une télévision qui sent bon le rendu -n-l de la bête. où on laisse zemmour sans laisse salir les ondes d’odes à la haine. où l’dimanche midi dure pas ; le débat du repas, n’en vaut pas la peine. viens où les barrés du barreau, bourrent les beurs dans les barres austères. où ya une grosse grogne, chez les bonnes pommes des colonies qu’on a mis là, mais là… faut s’taire. (viens écouter) les agrégés cracher des cours allégés à des cl-sses surchargées, obligés d’abréger, sur une guerre d’algérie, mal gérée. où on t’dit « je suis pas raciste ». ils insistent. « mais quand même !!» se sentent déranger des étrangers, et choisissent la lice des gangrènes. le royaume des droits l’homme, blanc, viril, et hétéro, où le terreau de la connerie est fertile ; faut-il bousculer les blaireaux ? que les h0m-s s’aiment aux mairies, et les nases tiltent comme à la bastille. mais les retraites et les salaires se rétractent, 3 tracts et p-sse la pastille. v’nez goûtez aux supers aprèms, en survêt’, là sûr, ya que la crème. lookés comme au j.o., pour pécho des pizzas reine. les arènes de l’achat sont devenues leur seule occupation, et les bas de plafond, des bas-fonds, tête-b-sse y foncent plus qu’à fond. ces centaines de sans-tunes qui s’endettent à n’être qu’un pion. faute de mentions, au taf ils s’font la guerre des moutons. achètent des babioles, en idole enchaînent les bagnoles. la dorlote mieux que sa minote… c’est bon ! t’as vu où le débat vole
la patrie des paranos, qu’aimeraient une caméra par panneau. qu’aiment pas nos flics, mais notifient sur tfi, qu’en fin de compte, y’en a pas trop. captent rien en politique, râlent hystériquement, mais rallient stoïquement le meilleur bilan cathodique. regarde nos campagnes sont magiques… non ?! viens voir la côte d’azur, où la tune, rend con j’t’-ssure. chaque année s’y agglutinent des chacals-nés, ou des abrutis qu’ont quitté l’usine pour se la péter chez les péteux. y’a pas d’âge pour niquer la plage, 21 jours comme seul apanage. viens p-sser les fêtes en france, outrance de bectance : une orgie. hormis, qu’devant la résidence, las de résistance, un mec mort gît. où le droit au logement ne vaut que le d.a.l., on vire même les tentes de don quichotte. ils croient au changement, mais que dalle ; toujours les mêmes hivers longs qui choquent. j’aurais pu, t’en dire plus, sur les sales cons dans l’hexagone. qu’y a des corbacs et des costards sur des balcons qui sèment la zone. vu qu’c’est ici que je suis né, (ai) fouiné, foutu le baroufle ; d’ailleurs… pas seul-tout, j’tente le bagout tailleur, sur une prod de darufweiler…

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