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lirik lagu virus – l’ourson

[couplet 1]

le masque n’est pas la pour cacher mon visage mais le paysage
trop de virus, j’en ai mal au sinus
la noirceur t’atteins même avec l’armure d’andromède
nouvelle saveur comme seul remède
pas de salaire, mais jamais trop jeune pour porter des altères
je me désaltère, seulement de se que je déblatère
pet-t a pet-t je prends la confiance…
je ne veux pas a tout pris changer les consciences, mais rentrer dans cette demoiselle comme dans l’histoire
déployer mes ailles a l’aide de mon grimoire, foutre les rageux dans un tiroir
je veux que ma weed remplisse plus d’un tupperware
je parle de tout ça poliment, une force presque holistique, trop de compliments
je ne veux pas dénoncer, car y’aurait trop de choses a dire sur ces politiques
se n’est pas aux cieux mais a eux, que tu dois t’adresser pour tout se qui est question d’homicide
elle montre son cul pour plus de likes, son affichage se dégrade comme un bug informatique
dans ce monde peu de cadeaux, pas de radios…
si je me montre efficace comme a stalingrad es-que t’incorpore ma zic’ ?
trop de défaillances, tous considérés en échéances, en premier la méfiance puis pertes d’échanges
tu finiras -ssisté si a chaque fois tu perds au change…

[refrain 1]

intrusion système voici le virus…
si t’en sais trop, on t’emmène au terminus
regarde pour le système snowden est un virus
(un virus)
certain refuse de voir, alors ils se noient dans les dragibus
(intrusion système, voici, voici le virus)

[couplet 2]

intrusion système voici le virus, les instructions me sont néfaste
sans cesse je ress-sse les étapes, pour rester en extase, il y’a tout un tas de trucs que j’efface de ma tête
égoïste et non empathique sont mes symptômes
pas d’héroïsme, un viol en pleine rue, et tout le monde se transforme en fantôme
plus personnes culpabilise, moi c’est les récits qui me guide
ils foutent les fous dans des centres psychiatrique, puis ils s’étonnent qu’une fois sortis, ils récidivent
tu peux tenter de les laver, mais plus jamais blanche sera la lessive
entre eux et un chef d’état, il y’a peu de différences, mais eux, c’est a leurs insu qu’ils deviennent des références…
un racket dans la pénombre, je tiens tête, a l’encontre de ma tête,car dans mon téléphone y’a mes blocs notes
alors après tout, je me bats pour ma quête
je ne sais plus ou je me situe, fils de pute prends l’herbe, même si j’en garde un goût taciturne
ils me demandent, si je suis sur… chez moi, y’a pas de “casi-sur”
il y’a tout un tas de virus, mais les c-ssures n’entraînent pas ma moisissure

[refrain 2]

[couplet 3]

des profs qui se croient supérieure, tout ces ordres en désordre me rends malade
j’ai la dalle, leader pas suiveur, même si c’est plus rentable
en cage comme en cl-sse, rien à faire alors je calque l’as pour mon atlas
j’ai connu des moments plus noirs que l’asphalte, pourtant l’horreur ne m’a pas dévoré
verte, sont mes cellules nerveuses à force de planer dans un monde coloré
mon esprit est une nébuleuse, je me conforte dans mes solstices pas dans leurs sottises
parfois mieux vaux être aveugle, car regarde se qu’il s’est p-ssé a auschwitz… mais bon…

[outro]

j’oublie tout cette merde, j’éclate un pet’
puis, je trouve du sens même à l’abstrait
je trace en scred’ et je gratte des perles, mais jamais a la craie…

- lourson

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