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lirik lagu acrobates – ltf

[intro : so-lock]
so-clock, l.u.c.i.d
m le maudit, ltf gros !
des putains d’acrobates

[couplet 1: so-clock]
la vie n’fait pas d’débat moral, il faut modifier son point d’chute
gravir des tas d’échafaudages, optimiser son point d’vue
bien sûr, si tu joues trop l’acrobate rien n’est moins sûr
et quand éclatera l’orage, accroche-toi bien les mains dessus
la haine paiera vos armes, paix à vos âmes
moi j’ai vendu la mienne au diable, et j’le r’croise vite a l’occase
beaucoup vivent la vie d’alloc’, pas la vida loca
et c’est vital au cas où tu rêves de vivre là où xxx
rêvant d’un château d’cartes visa dans un château d’sables mouvants
le diable adopte 4 visages et te sabotera le mouvement
dans un sarcophage de tourments, dans un mirage
quand tu aborderas le tournant prends bien l’virage sans un miracle, merde
mais l’capot large comme l’ancien pirate en chien d’pillave dans un pillage
j’suis sparo jack ou l’barbosa ou l’chapeau d’paille
ltf sur drapeau noir, mille sabord à l’abordages
a l’-ssaut caporal, pas d’otages chaque bateaux fera naufrage
devant l’avocat on dit qu’on a nos droits mais on faisait pas nos d’voirs
pour trouver sa route y’a plein d’panneaux mais pas d’autre voie
j’réalise ça trop tard, quand 3 grosses barres me tapent au crâne
t’as joué les acrobates, c’est bien triste à notre âge

[refrain : m le maudit] x2
m, so-clock, lu’cid, les futuristes en featuring
qui tiennent en équilibre au d’ssus du vide au file d’une rime
une gymnastique vocale à leur actif
juste des accro, qui tentent des tas d’flows acrobatiques

[couplet 2: lu’cid]
j’vois qu’le vice dans mon sky coca, (pfff) moi trop là j’le vide
crame le spliff, mon crâne se vide quand j’vends mon âme au diable
ce sale connard raque le biff, quoi qu’je kiffe sa morale
a se nuire, on gâche notre avenir
alors j’me livre, j’crois qu’au rap, pour lui j’ai l’béguin dis-toi
que j’finirai par lui p-sser la bague au doigt
c’est quoi l’délire les gars, j’évite les lâches, ces charognards
qui s’défilent le temps d’une accolade, méritent qu’un sale molard
des tartes gros, j’marche, han, la ville comme sarcophage
technique de shadowman, j’avance dans l’ombre, le ventre vide le macdo m’nargue
et quoi que les mômes f-ssent, leur éducation s’ra la même
les stups, la zonz’, la galère, tout ça entraînera l’naufrage
c’est triste la vie quand j’y pense, on s’nique l’ami, tranquillement
effrite la weed qu’on quitte la ville, vers d’immenses plages au large
il faut qu’les boloss pigent (yeah), j’vis une odyssée
toujours en haute voltige avec la virtuosité d’un acrobate

[couplet 3: m le maudit]
v’la les 3 salopards, qui t’répondent au tac au tac
quand l’meilleur des anges devient l’pire charognard
anormal, comme ces amitiés en placo-plâtre
dans mon 30 mètres carré, rêvant de plage accostable
j’veux pas entendre leurs papotages, v’la l’caporal (chuuut)
le coupable s’tait comme quand s’lève l’avocat
des bastonnades j’en ai vu plein, roule deux joints
mon quartier plus chaud qu’un jour de juin, ou qu’une sauce samouraï
j’amène le smoove marxiste, couz’ reste cool admire
au c-sse-pipe loin d’tes flows rapides, à croire qu’j’suis un dos d’âne

[outro : m le maudit]
so-clock, le parti, l.u.c.i.d, mendosa
m le maudit, c’est comme ça qu’ca s’p-sse
tontons flingueurs, flingue ça, yeah

- ltf

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