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lirik lagu grande ville – m4t!4s

[paroles de “grande ville”]

[intro]
tu ne trouves pas cela, rassurant ?

[couplet unique]
j’avais besoin de changement, d’une nouvelle idée
d’un nouvel item et la semaine prochaine, on réitère
à plein poumon, j’ai tiré sur un énorme gaz
le vase est vide, mais y a une fleur qui pousse dedans
les grands, d’ma ville aiment, les meufs et les sappes, les soirées, la codé
dit moi, c’est quel genre de sapiens ? j’suis pas bien, il m’demande une taff, parce qu’il a senti mon tamien
j’suis comme l’orage après l’orage, c’est comme si la [?]
on s’revoit au bord du récif, ou d’vant les portes du rêve
j’suis comme mes poches : vides et j’sens la clope
vise, les genoux et le torse, crosses fort, sinon, c’est toi la cible
c’est tous des parasites, ma peau elle en est gravée
le cahier, sur lequel j’écrivais, n’existe même plus
même si, tu fais tout ce qu’il faut, y a une chance que ça rate
que ça rap, on sait pas quoi faire donc chez nous que ça rap
[?], n’est pas clair, t’es choqué, tu vois que ça rame
que ça rapporte ou pas, j’fais ça pour que t’écoutes
des fois j’ressens des coups, dans le fond d’l’estomac
leurs dialogues me dégoûtent, mais laissez tomber c’dommage
f*ck, j’aime son parfum, pas celui d’ta catin
sur moi, elle fait tagadam, mais j’suis dur comme un parpaing
“matias s’teuplait reviens, matias s’teuplait reviens”
sale fils de camé, j’te renvoie là où les gens t’veulent bien
je sais qu’j’suis pas l’premier, dieu merci, j’serais pas l’dernier
appelle*moi si tu veux faire mieux, j’ai la rage comme un fermier
j’suis perplexe, blesse les gens même si c’est pas fairplay
j’mets des claques à tous ces cons, comme si j’ai plus d’adversaires
j’perds pied, c’t’été, j’vais hiberner, ensuite après j’irai p’t’être mieux
p’t’être que mon objectif, c’est d’me rendre hyper fier
nouvelle, nouvelle paire de, nouvelle paire de rien du tout, j’ai pas d’biff
donc j’me prends la tête, j’prépare des plans qui verront p’t’être pas l’jour
ça vaut la peine, même si la fame c’est pas mon avenir
j’les vois v’nir, mon père a quelques défauts, mais dans ses pas, j’cours
mes sentiments t’sont étrangers, désolé, j’casse tout
les connes commentent, les jaloux font des pics, mais l’école nous a mentit vu qu’aujourd’hui, j’ai des dog coin
comme quand j’étais gosse ou comme quand j’étais affamé par le pills ou tiré par les tifs bref
vie d’merde, j’ai beaucoup d’espoir dans cette vie d’merde
vite, j’ai, compris comment s’comporter dans cette ville mère
sippe, cette p*sse du diable avec assiduité
poto, j’ai développé des pouvoirs et même assis j’lui mets
mes crises, de nerfs, on bien affaiblit ma santé
des parts de moi assemblées, forment un chaos si bien orchestré
j’voulais m’défenestrer, mais maintenant j’téma à travers, quand le ciel m’a attrapé, il m’a rendu tellement différent
j’diffère en aucun cas, les hommes, des macaques vociférants
différent, elle m’a dit si tu pleures, c’est parce que t’es différent
j’me sens tellement vulnérable, mon aigreur a fait qu’j’ai perdu des gens de grande valeur
la colère m’appelle, mais faut qu’j’te rassure ma belle, que j’aurai bientôt ma paye et qu’on pourra s’mettre bien qu’après
mais après ? qui sait d’quoi est fait après ?
à mes couilles, j’ai fait appel, j’ai un truc à faire, j’le fais après et après, j’le fais jamais

- m4t4s

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