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lirik lagu écorchure – madj (krystal)

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[paroles de ” écorchure”]

[couplet 1]
c‘t‘époque n’est bonne qu‘à enrichir des clowns comme zaz ou pokora
qui montent le gaz à l‘eau d‘orage, j‘trouvé l‘salut dans l‘jazz et l‘opéra
seul ; dans une ville bien trop grande au beau milieu d‘novembre
un million d‘rimes au fond du ventre et j‘réussirai jamais à vendre
même pas mignonne et immature, j‘suis là à faire le beau
dire que j‘avais jadis une reine belle et pure, commе une perle d‘еau
j‘passe mes heures creuses à m‘défoncer en bas
on r‘connait la vie heureuse à la déflagration qu’elle fait quand elle s’en va
picasso, la période bleue, j‘aurais pu la peindre en mieux, tellement j‘ai l‘désespoir sérieux dans l‘isolement d‘ce train d‘banlieue
un cœur de glace pour cracher des phases de feu, j‘sais que j‘aurais jamais la place que j‘veux
c‘mode de vie là, [???] m’a amputé d‘mes cheveux
j‘suis en conflit avec moi*même, comme les arabes et les hébreux
la communauté m’aime tellement qu‘elle me traite comme un lépreux
que dieu m‘aide à dégoter une poule à qui j‘pourrais acheter une bague
quand tout s‘écroule, la famille seul reste plus qu‘un concept vague

[refrain]
même pas foutu d‘tomber amoureux, ne serait*ce qu‘un tout petit peu
quand j‘suis en couple mon cœur creux ne cesse de crier “sauve*qui*peut”
on exige plus d‘un homme qui boit, qui fume des kilos d‘beuh, d‘aller s‘approprier c‘qu‘il lui revient de droit quand il le veut
c‘qu‘un homme de grande valeur peut perdre pour une tasse‘ lâche dégueu
j‘parle pas d‘tes footballeurs, bien qu‘ils comprennent c‘que j‘dis et pas qu‘un peu
si j‘préfère demeurer seul, qui sait, c‘est p‘tête par c‘que : dans la vraie merde ou dans l‘divin, on n’y va seul pas à vingt*deux
j‘végète au fond d‘la mer, scred comme un chinetoque, désespéré comme un terrien perdu en mer sur une bicoque
c‘t‘hiver j’ai juste besoin d’une petite dévouée comme une bi*goth‘
y a des relations qui nous libèrent et y en a d’autres qui nous ligotent
[couplet 2]
paris l‘automne meurt et la couleur des quais
l’hiver au fond d‘un cœur qui n’aura jamais voulu passer à l‘heure d‘été
les flashs de mon enfance m‘anéantissent, englué dans la fénéantise, toutes ces années qu‘j‘ai sacrifié au sh*t et à la tise
sans oseille, que m‘reste*t*il avant d‘passer au lit : un fond d‘bouteille, quelques poèmes, un gigantesque grain de folie
j‘ai abordé toutes sortes d’hommes, de femmes (ok), presque tous m‘ont mis d‘côté quand j‘leurs ai parlé d‘réelle beauté
l‘enfant vif, assis en tailleur devant bioman est devenu un drôle d‘adulte oisif et rêveur comme un opiomane
vivre du vol, du troc, accessoirement du deal de drogues, c‘est paradoxal mais ça a gonflé mon style comme 10 kil‘ de pot‘
il aura jamais trouvé sa belle, il s‘vente [???] au scalpel, il boit jusqu‘au point d‘en oublier comment l‘prophète s‘appelle
l‘espoir est dans l‘ciment, les carottes sont cuites quasiment, il a perdu pratiquement toutes ses dents dans un accident

[refrain]
même pas foutu d‘tomber amoureux, ne serait*ce qu‘un tout petit peu
quand j‘suis en couple mon cœur creux ne cesse de crier “sauve*qui*peut”
on exige plus d‘un homme qui boit, qui fume des kilos d‘beuh, d‘aller s‘approprier c‘qu‘il lui revient de droit quand il le veut
c‘qu‘un homme de grande valeur peut perdre pour une tasse‘ lâche dégueu
j‘parle pas d‘tes footballeurs, bien qu‘ils comprennent c‘que j‘dis et pas qu‘un peu
si j‘préfère demeurer seul, qui sait, c‘est p‘tête par c‘que : dans la vraie merde ou dans l‘divin, on n’y va seul pas à vingt*deux
j‘végète au fond d‘la mer, scred comme un chinetoque, désespéré comme un terrien perdu en mer sur une bicoque
c‘t‘hiver j’ai juste besoin d’une petite dévouée comme une bi*goth‘
y a des relations qui nous libèrent et y en a d’autres qui nous ligotent

[couplet 3]
et quand ma mère ne sera plus là, j‘me demande bien c‘que j‘vais devenir
j‘t‘ai déjà dit cent fois, comment ce monde me donne envie d‘vomir
j‘aurais voulu être un artiste comme stravinsky, m‘taper des rails de coke purs et du whisky en faisant du ski
d‘aucuns diront que j‘me suis pas suffisamment investi, le pire bah c‘est qu‘ils ont raison, que j‘garde ça bien à l‘esprit
j‘fume face au spectacle de mon bonheur goudronné
les rebeux me disent : pourquoi si peu d’honneur avec un si gros nez ?
moi qui prônais un mode de vie d‘homme libre, où j‘en suis aujourd‘hui à dérober des livres pour survivre
j‘ai voulu faire d‘la chirurgie, ivre les yeux rouges comme du cuivre
matière cérébrale anesthésiée comme un bloc de givre
j‘ai pas encore gagné ma vie, c ‘est l‘moins que l‘on puisse dire
rien qu‘ça donne à mes faux amis de quoi s‘taper des barres de rire
maman pardon, j‘sais que tu veux pour ton enfant ; un fiston et une meuf
dur pour un fiston qui a même plus de quoi s‘payer un veston neuf
[outro]
même pas foutu d‘tomber amoureux, ne serait*ce qu‘un tout petit peu
quand j‘suis en couple mon cœur creux ne cesse de crier “sauve*qui*peut”
on exige plus d‘un homme qui boit, qui fume des kilos d‘beuh, d‘aller s‘approprier c‘qu‘il lui revient de droit quand il le veut
c‘qu‘un homme de grande valeur peut perdre pour une tasse‘ lâche dégueu
j‘parle pas d‘tes footballeurs, bien qu‘ils comprennent c‘que j‘dis et pas qu‘un peu
si j‘préfère demeurer seul, qui sait, c‘est p‘tête par c‘que : dans la vraie merde ou dans l‘divin, on n’y va seul pas à vingt*deux

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