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lirik lagu a l’ombre des feuilles – maeda

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je marche seul dans la forêt, en contrebas de fujisan
le printemps est arrivé, les fleurs de cerisier témoignent
j’imagine la vie sauvage loin de la cruauté humaine
le ciel est bleu mais il est vide, notre existence à tous est vaine
a ma ceinture pend un bokken, une arme aujourd’hui dérisoire
son bois est souple, noble et dur, suis-je le seul à pouvoir le voir ?
l’arbre devant moi m’invite, je m’-ssois pour méditer
doucement mes yeux se ferment et je laisse mon esprit vaquer
galli est belle… observe zalem de la décharge
la barge est échouée sur la berge, elle rêve aussi de prendre le large
l’albatros a de grandes ailes, une fois au sol il est moqué
si jamais je pouvais voler je ne m’abaisserais pas à marcher
toutes les créatures la terre elles sont splendides, enfin sauf une
leurs marées noires détruisent les plages, mais peu importe faut faire des thunes
les oiseaux peuvent bien couler, on partagera sur twitter
c’est la mode du naturel, les boutons « like » sont bleus ou verts

dame nature appelle à l’aide, y’en a pas un qui répond
j’entends l’éléphant barrir, ta ville rasée par le typhon
médite à l’ombre des feuilles, médite à l’ombre des feuilles
médite à l’ombre des feuilles, médite à l’ombre des feuilles
je sais que la raison du plus fort, est bien toujours la meilleure
dommage pour cette planète, que l’homme ne soit pas resté un ch-sseur-cueilleur
médite à l’ombre des feuilles, médite à l’ombre des feuilles
médite à l’ombre des feuilles, médite à l’ombre des feuilles

j’ai de la peine pour les ours polaires, de l’empathie pour les panthères
je suis peut-être né sous une bonne étoile, elle reste à des années-lumière
le petit prince est un connard, le renard arrache son visage
qui peut rêver qu’on l’apprivoise ? sûrement pas d’animal sauvage
regard perçant, inquisiteur, j’ai le don des éperviers
un seul boulot intéressant médiateur sénior chez servier
ma seule ambition faire vomir un critique de libération
je viens remettre au goût du jour la poésie de lautréamont
l’europe c’est comme animal farm, tu l’as pas lu évidemment
y’a des moutons élevés en france gardés par des bergers allemands
qui mendient les -ssédic, des crevards donneurs de leçons
je ferai seppuku sur le champ plutôt que de vivre d’allocations
bien des gens ne s’en rendent pas compte, à force je trouve tout ridicule
nos valeurs sont pitoyables, on n’est qu’un amas de cellules
pose ma prose sur un piédestal, laisse descartes et ses pommes pourries
atrahasis le supersage, mince je pense donc tu me suis

[refrain]

dieu est un ennemi coriace, lui et ses sbires veulent en découdre
parfois je me dis que c’est sur moi qu’est censée s’abattre la foudre
ils s’accroupissent devant les forts, avec les faibles sont tyranniques
après tout simon de monfort est un excellent catholique
ton pape n’est qu’un vieux puceau, ton rabin un faux surhomme
et les afros font du gospel, ils ont le syndrome de stockholm
je tagge la tombe du montreur d’ours, prends ma bile pour soigner ton rhume
arrêtons-là les métaphores, le sémaphore dissipe la brume
entre la vie et la mort mon cœur est couvert de verglas
le train fantôme est toujours à l’heure pour qui sonne le glas
pas comme la sncf et leurs collabos d’employés
j’attends la neurosyphilis, finir comme mon maître à penser
le bruit des glaçons m’accompagne, je sais que le ch-sseur tue le cerf
c’est le malheur d’être conscient, qui a les armes et qui s’en sert
dans ce monde y’a rien à faire, s’enfiler des verres de sancerre
pourtant je tire sur mon e-cig pour pas clamser d’un cancer

[refrain]

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