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lirik lagu gattaca – mars l’artefact

ma-ma-ma-rs
ma-ma-ma-rs

couplet 1 :

“t’arrete pas” m’a dit mon auriculaire, “ton âme est a réguler »
à l’heure qu’il est, je le vois gesticuler sur mon curriculum
rythme ennuyeux : marre de reculer
trop de requiems pour m’aiguiller, je trouve l’anguille sous roche en plein ton écuelle
rengaines hostiles éc-ment les rames, cuvent, l’étude les las, ça..
m’déplait pour eux, dénoue les noeud les plus tenaces
lacunes et larmes s’mèlent, au retour de la semaine, et quand la lune est large
des prunelles sales sont à un cheveux, d’allumer la mèche !
j’m’imagine a invoquer shenron
réglé papier à musique ma note enfante en crescendo..
ce qui te plait chez l’un t’emmerde chez l’autre
l’humain ne souhaite qu’empocher l’or
et pour l’atteindre il ne fera qu’endosser des rôles
lacher les rom’s et -ssumer vos propres erreurs
données érronées pour les robots dont le coeur n’est qu’cd rom
satan règne, bien trop d’monde perd ses neurones sur la chaine
le bonheur des heureux se calcule en fonction des 0 sur le chèque…

pont :

humanoïdes automatisés, tous égoïstes
l’égo attisé, des coffres et des poches a ratisser
est ce plus carré d’être organisé ?
ici bas même les pet-ts sont démoralisés

refrain :

des failles, des failles, des failles, des failles
niché sur la cime ( sim ) tu crois que les pires erreurs s’effacent
mais l’édifice comporte des failles des failles des failles des failles
de la pyramide, lévite, mais moi j’m’évade m’évade m’évade…

couplet 2 :

je tourne en rond comme leurs saps au lavomatique
“paye ta morale mars” c’est qu’l’eau qui dort s’agite
vu l’ampleur du numérique : couplets s’informatisent :
“des virus des virus ”
t’en deviens nostalgique…
au stade où je suis, je veux plus qu’on m’tende la main
pense à te faire la malle, appréhendons la vie qui arrive demain
on m’a dit : ” l’rap arrête” ouvertement !
seulement ici les faux se vautrent et seuls les vrais s’démènent
les faits s’démèlent et pour la moindre faute même tes plus proches démentent
et merde, regarde c’est qu’les plus riches s’délectent
ils sortent la carte bleue et se disent ” j’ai carte blanche ”
politiciens hauts placés, que des machines défaillantes aux manettes
un q.i déficient, ton crâne s’agite sous des visions
essaye de mettre un terme à l’obsolescence programmée..

pont :

la haine monte en puissance comme un ghetto blaster
tous en quête d’un prochain eldorado
oui rétrograde les esprits ; reste calme
7 milliards mais l’impression de vivre avec des ectoplasmes..

refrain :

outro :

bienvenu à gattaca !
le futur est si proche on dirait alcatraz
bienvenu à gattaca !
des hommes machines à foison, dans l’ombre des armadas ( de fer )
bienvenu à gattaca !
société d’immondices se crée une agartha :
bienvenu à gattaca !
décousue comme kitano, la hantise d’karl lager(feld)

- mars lartefact

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