lirik lagu ceux qui – meis
[intro]
yo, c’est, c’est…
[couplet 1]
y’a ceux qui savent, ceux qui croient et font les savants
y’a ceux qui pratiquent, ceux qui voient, y’a ceux qui inventent
y’a ceux qui, s’avançant, vérifient et, avant, tentent
de s’démarquer, finiront hors-jeu comme un avant-centre
y’a ceux qui font couler l’sang, ceux qu’essuient
ceux qui suivent et ceux qui fuient, ceux qui vivent et ceux qui crient
y’a ceux qui triment et gardent le smile tout l’temps
les pieds sur terre, toujours en place quand tout fout l’camp
y’en a qu’ont tout, j’les entends s’plaindre, pourtant
y’a ceux qui s’font tout p’t-t, y’a ceux qui s’prennent pour grands
dans l’rouge, donc on m’a pris pour cible
le temps file, on court après comme dans une course-poursuite
y’a des crashs, la tension monte jusqu’au court-circuit
pour du cash, coup d’schl-ss comme hutus/tutsis
gars, tu veux tout tout d’suite, tu risques d’échouer
y’a ceux qui t’aident dans tes projets, y’a ceux qui veulent de les déjouer
[refrain] (x2)
y’en a qui paient pendant qu’y’en a qui comptent
y’en a qui s’lèvent pendant qu’y’en a qui tombent
y’en a qui percent, y’en a qui songent
y’en a qui parlent, du coup, y’en a qui plongent
[couplet 2]
y’a ceux qui jouent en ligue 1 et ceux qui s’font reléguer
les gars, les gamins grandissent vite, qu’a-t-on prévu d’leur léguer ?
y’a ceux qui s’limitent à imiter, faire c’que l’public aime
ont mis d’côté le thème, n’aiment que les gimmicks et le game
y’a ceux qui vendraient père et mère pour un plan d’carrière
prêts à ramper par terre pour un grand salaire
la vie : une course de haine, faut sauter tant d’barrières
y’a celles qui disent : “je t’aime”, s’font sauter sans arrêt
constate que l’intérêt prime ; les différences, on réprime
sur le qui-vive sans répit car rares sont les fleurs sans épines
bah oui, mon frère, on débite, y’a ceux qui suivent depuis l’début
y’a ceux qui m’disent que j’vais nulle part, mais j’continue, j’suis têtu
y’en a qui squattent les études sans jamais craquer, c’est rude
y’a ceux qui t’parlent de vécu, myhto, on a capté tes ruses
on a capté qu’ta parole n’était que du zef
y’a ceux qui font semblant d’avoir faim et ceux qui s’battent pour les restes
[refrain] (x2)
y’en a qui paient pendant qu’y’en a qui comptent
y’en a qui s’lèvent pendant qu’y’en a qui tombent
y’en a qui percent, y’en a qui songent
y’en a qui parlent, du coup, y’en a qui plongent
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